Samedi 14 février 6 14 /02 /Fév 20:47

Encore quelques minutes de cours, et la sonnerie va retentir. J'en ai un peu marre. Vivement 17h et la fin des cours. Dring, ça sonne. Toute la classe se lève et se précipite vers la porte.

— Jean, attends s'il te plaît, me demande le prof.

Jean, c'est moi!

— Quoi, pourquoi?

— Rien de grave, tu sais, à propos de ton exposé, pour jeudi...

— Oui?

— Et bien...

Maintenant toute la classe est sortie. Il ne reste que le prof et moi.

— Et bien... ton exposé, il faut que je te montre un document que j'ai trouvé.

— Ah oui, bon ok, mais vite alors, j'ai un car à prendre!

— OK. Une minute max. Viens, suis moi.

Il se dirige alors vers le petit bureau, à coté de salle, où se trouvent un ordinateur et son bureau. Je le suis. Si j'avais su... Il se penche sur son ordinateur, réactive l'écran, en veille.

— Là, regarde.

Je me penche sur l'écran, et... Bong! Le coup résonne dans mon crâne! La douleur est insupportable. Je me sens partir et vaciller... Bong! Le deuxième coup me rend inconscient. Je tombe par terre.


Aïe Aïe... La douleur me vrille la tête. Je me réveille doucement. Mais que s'est-il passé? Mes bras? Mes bras sont menottés dans mon dos. Je suis allongé sur un lit. Je ne connais pas cette pièce. Mais où suis-je? Et pourquoi je suis là? Je reprends mes esprits doucement. La douleur s'estompe peu à peu. Ça va mieux. J'essaie de faire le point. Je me rappelle le bureau, l'écran, et les deux coups!

Une rançon. Immédiatement, je pense à un kidnapping. Le prof va demander une rançon à mes parents. Mon père est médecin, il est riche, il peut payer! Putain de prof! Me kidnapper moi! J'ai plus qu'à attendre quelques heures ou quelques jours et je devrais me sortir de cette galère sans mal. C'est alors ce que je pense...

J'ai maintenant retrouvé tous mes esprits. Je n'ai plus mal à la tête. Je reprends l'exploration du regard de la pièce. Je me retourne, couché sur le lit. Merde! Je suis enchaîné: les menottes qui relient mes poignets sont elles mêmes reliées à une chaîne, fixée sur le mur, à côté du lit. 50cm de long. Je ne peux quitter le lit!

Je parcours alors la pièce des yeux. Outre le lit, il y a une douche ouverte, un WC, et plus loin... oh mon Dieu! Mais c'est quoi ce truc? J'ai déjà vu, mais qu'en photo! Je reconnais un lit genre lit médical avec des étriers devant. Mais c'est pour accoucher, ce genre de lit! Pourquoi y a ça ici?! Je commence à prendre peur. C'est pas normal ça. Pourquoi un tel lit pour attendre une rançon? Je vois aussi que la pièce ne comporte pas de fenêtre, juste une porte en fer et... des crochets et des anneaux au plafond! Merde! C'est une salle de torture ou quoi? Mais qu'est-ce que je fais ici? Je panique! Mes mains se mettent à trembler...

Du calme! Il faut que je calme! Pour le moment, tout va bien. Je suis con! C'est juste que je dois être enfermé dans un cabinet médical; mais y'a pas de douche normalement dans un cabinet médical! J'essaie alors de réfléchir calmement. Et si c'était pas pour le fric que je suis là? Mais pourquoi alors? J'ai 18 ans, j'ai rien moi, je suis juste étudiant. J'ai même pas encore le bac!

Un pervers? Mon prof serait un pervers? Et s'il m'avait kidnappé pour mon corps? Faut dire que je suis pas mal d'après mes copines du lycée: assez mince, un peu sportif, 1m75, 65kg. Coiffure en brosse. On me dit mignon... Je continue à trembler; de froid ou de peur, je ne sais plus. Je me recroqueville sur le lit. Les heures passent. J'ai perdu la notion du temps. J'ai pas de montre, la pièce n'a pas de fenêtre. Y'a que la lampe qui brille au plafond.

Soudain, j'entends un bruit de pas. La porte de métal s'ouvre... Un homme masqué avec une cagoule entre et se dirige vers moi. Il tient une matraque à la main! Il se place devant le lit.

— Tu es réveillé?

Je ne reconnais pas sa voix. C'est pas mon prof! Il est plus grand, plus musclé.

— Oui vous voyez bien! Libérez-moi!

Aïe! La matraque tombe mes côtes, violement! Je hurle!

— Silence! Tu es prisonnier. Tu réponds à mes questions et c'est tout! COMPRIS?

Je veux pas reprendre un coup de matraque.

— Oui, répondis-je.

— Bien! Si tu restes sage, je ne serai pas violent avec toi. OK?

Il me montre la matraque...

— Ok, ok!

Merde! C'est quoi ce cinglé! Mais je ne peux rien faire. Je suis enchaîné, à sa merci... Alors autant éviter les coups pour le moment.

— Bien, tu vas te mettre à poil, complètement.

— Hors de question! Allez vous faire foutre!

Aïe! Aïe! Il me redonne un coup de matraque au même endroit! Je hurle et me tords de douleur. Les larmes coulent de mes yeux. J'ai du mal à respirer! Puis tout doucement, la douleur s'atténue...

— T'as compris cette fois? Tu dis RIEN, tu OBÉIS! OK?

— Oui... oui... pitié... l'implorai-je. Plus de coups... pitié...

— Je vais enlever tes vêtements. Tu vas rester attaché et te laisser faire.

Il commence par enlever mes baskets et mes chaussettes. Il déboucle la ceinture de mon jean.

— Lève les fesses, laisse passer ton fut!

Je m'exécute, sans broncher. Inutile de recevoir encore un coup. Il tire mon jean complètement.

— Bien, le haut maintenant.

Je le vois alors sortir une paire de ciseau de sa poche arrière.

— Bouge pas! Je veux pas te blesser!

Je bouge pas. Je suis terrifié. Je me laisse faire. Il découpe les manches de mon sweat et finit par me l'arracher. Mon maillot finit de même. Je suis maintenant torse nu. Il ne me reste que mon boxer.

— Allez on termine!

— Non! Pitié! Pas le boxer!

— Silence!

Il reprend sa matraque, posée au pied du lit!

— Ok ok...

Ma voix est faible...j'ai peur... Il met alors ses deux mains de chaque côté se mon string.

— Lève les fesses!

Je lève les fesses. Que puis je faire d'autre? Mon boxer rejoint alors mes autres vêtements au pied du lit. Je suis nu devant lui...

À suivre...
Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : blog sexe des amis
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