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Ce vendredi-là, ce n'était pas la joie. J’étais de garde pour le weekend. Me faire chier pour surveiller une quinzaine de glandeurs qui peuvent pas rentrer chez eux et des consignés. Et ma femme qui passerait la soirée du samedi à me réconforter au téléphone... Putain de chierie, me réconforter, avec son blabla sur les gosses, les ennuis de la semaine, le programme à la télé... Et moi, là, assis dans mon bureau, les couilles gonflées à bloc d’avoir bandé durant une heure de surf devant les photos de petits pédés sur le net.
— Oui, ma chérie, samedi prochain on ira acheter un nouveau lave-linge... Promis!
Putain, à trente ans, j’attends autre chose que ça dans la vie! Nom d’un chien, j’aimerais que ça bande!
Dans la semaine j’avais fait mettre au trou un bleu qui avait pas mal merdé en manoeuvres lors des tirs à balles réelles, au point de faillir me blesser en manipulant son fusil. Je supporte pas ce gars. Depuis début avril qu’il est arrivé, il joue l’asocial pour être réformé. Il parle pas. Je sens la combine. Combien de fois j’ai eu envie de la cogner pour lui tirer trois mots autres que “À vos ordres mon Lieutenant!” C’est le genre lopette, timide, apeuré dès qu’il entre dans la chambre où sont une dizaine d’autres bleus. Il va toujours aux chiottes ou aux douches quand il y a personne. C’est un apeuré de naissance. Une fille, quoi? D’ailleurs, à le regarder, il a les traits fins, pas encore de barbe, la peau claire d’un bébé, une gueule de môme pas torché. Son corps est élancé, souple, quand il passe, on dirait un courant d’air. Il est pas efféminé, non, mais y’a quelque chose qui fait pas viril chez lui. Il baisse toujours les yeux, rampe le long des murs. Le soir, il reste assis des heures en haut d’un escalier d’où personne peut le voir. Je me suis juré d’avoir sa peau, enfin, je veux dire de savoir ce qu’il mijote: c’est pas avec moi qu’il sera réformé, s’il me connaît pas, il aura vite compris.
Ce vendredi-là après onze heures du soir, je descendis faire un tour dans la cour. Ennui mortel. Pas un rat. Rien. Seul. Je venais de passer près d’une heure à chatter avec un pédé bien chaud en quête d’une cyber branlette. Ça m’avait pas mal excité. Mais pas fait lâcher la purée.
Je rentrai dans le bâtiment et sans réfléchir je descendis au trou. Fallait s’amuser un peu. J’allumai ma lampe-torche plutôt que les plafonniers. Je tournai la clé de la porte de la cellule lentement en faisant un maximum de bruit, l’ouvris et dirigeai ma lampe sur le bleu allongé sur son lit. Il dormait. J’attrapai le lit par le pied et le secouai fortement dans un grand bruit de ferraille.
— Debout! Debout bleubite de mes couilles!
Je fis voler la couverture par terre. Le gars était en caleçon.
— Où sont tes rangers?
— Là mon Lieutenant.
— Au trou, tu dois dormir avec tes rangers et chaussettes aux pieds.
— Oui, mon Lieutenant.
Déjà le prisonnier s’asseyait sur son lit pour enfiler et lacer ses pompes. Je l’avais toujours vu obéir à tout... le seul truc, c’est qu’à part le minimum obligatoire, il parlait pas aux gars de sa chambre ni a personne.
Je l’avais déjà vu plus ou moins désappé au détour du couloir qui mènent aux douches. Assez grand, mais pas autant que mon 1m88, mince mais musclé assez fin par je ne sais quelle pratique sportive, il était totalement imberbe sur le corps, les cuisses et les jambes... Pas un poil, ce qui était surprenant pour ses vingt ans. Tête blonde, peau claire, il devait venir du nord. Moi aussi à son âge je n’avais pas encore de la barbe, et même, depuis, j’ai dix ans de plus que lui, je suis encore imberbe de corps, mais au moins je suis brun, mes cuisses sont fermes, solides, pleines de muscles bandés par l’effort, plus épaisses et plus viriles que ça.
Le bleubite se releva et prit le garde-à-vous:
— À vos ordres mon Lieutenant!
— Prends ta couverture et suis moi.
— Dans cette tenue, mon Lieutenant?
— Ferme ta gueule et suis moi.
En avril vers minuit l’air est doux... paraît-il.
Je me dirigeai vers l’arrière des cuisines. Arrivé là, je le fis mettre contre le mur pas trop loin d’un réverbère histoire d’y voir et je m’approchai très près de lui en le regardant bien dans les yeux, presque nez contre nez.
— Garde-à-vous!
Son corps se raidit immédiatement pour prendre la pose.
— Enlève tes rangers.
— À vos ordres mon Lieutenant!
— Et cesse de rabâcher toujours la même chose. Si tu sais pas dire aut’chose, tu fermes ta gueule... tu fermes ta gueule et tu obéis.
Et je lui crachai en plein visage. Il ne broncha pas, ne s’essuya pas d’un revers de main, s’agenouillant docilement pour enlever ses pompes.
Je fis quelques pas de côté pour attraper un tuyau d’arrosage qui sert à rincer les grands plats de la cantine et ouvris le robinet. Le bleubite avait instinctivement repris son garde-à-vous devant le mur. L’eau était assez froide. Je réglai le débit à la force maximale et d’un coup braquai le jet puissant sur la poitrine du bleubite, descendant immédiatement à l’endroit du sexe pour bien le lui faire sentir, là et sur les couilles.
— Tourne-toi et penche-toi en avant.
Le jet s’amusa en plusieurs allers et retours dans la fente des fesses.
— C’est bon? demandai-je.
L’enfant de pute ne répondit pas.
— À 4 pattes bâtard!
Il se mit à quatre pattes aussitôt.
— T’as pas de langue mais t’as la trouille, tu obéis à tout et n’importe quoi... Debout! Enlève moi ce caleçon de merde, et vite!
Il se tourna face au mur...
— Face à moi connard! Ton cul, tu me le montreras plus tard.
Déjà il s’était remis face à moi, déjà son caleçon passait les chevilles et tombait par terre.
— Garde-à-vous!
À deux mètres de distance, le jet s’écrasa sur le bas-ventre, le sexe, les couilles.
— À genoux! ... Debout! ... À genoux! ... Debout!
Chaque fois qu’il s’agenouillait, le jet frappait son visage, chaque fois qu’il se relevait, il pointait l’entre-jambe.
— Tourne-toi.
Je visai entre les épaules, descendis lentement le long de la colonne vertébrale...
— Penche-toi en avant!
... m’inscrustai dans la raie des fesses en m’approchant d’assez près.
— C’est bon, hein?
— Mon Lieutenant, j’ai envie de pisser...
J’arrêtai le jet.
— À genoux.
L’eau par terre avait fait une flaque de boue assez grasse. Il tomba à genoux là-dedans. Je débouclai ma ceinture et ouvris la braguette de mon treillis.
— Couche-toi sur le dos...
Il obéit, se couchant de tout son long dans la boue, les bras le long du corps. Son sexe était ridiculement petit, comme au sortir de la piscine et ses couilles étaient compactées en une petite boule très serrée.
— Vas-y mon gars, j’ai jamais empêché quelqu’un de pisser. J’espère simplement que c’est pour une bonne et vraie envie que tu m’as fait arrêter ton drécrassage.
Ses yeux me fixaient intensément, ne lâchaient pas prise sous mon regard en lame de couteau. L’heure était au défi, entre lui et moi.
— Objectif à atteindre: ta gueule. Sinon, c’est du bleuf ton envie de pisser. Compris?
Il prit sa petite queue ramollie entre deux doigts et la dirigea vers son ventre. Il me regardait droit dans les yeux, muet, étalé dans son bain de boue. Un jet de pisse bouillonnante éclata sur son ventre, prit aussitôt de la vigueur et de la force, atteignit les pectoraux, s’emplifia encore, puissant et dru, bruyant comme une source jaillissante, baptisa le menton et arrosa copieusement le visage, les lèvres, les joues, les yeux et le front jusqu’aux cheveux.
Je m’approchai alors de cet amas de boue, sur le côté du corps. Le regard du bleubite resta accroché droit devant lui. Je posai un pied boueux sur la poitrine en l'écrasant sans forcer. La pisse glissa sur le cuir de ma rangers mais ne dévia pas la direction de son jet. Puis, continuant à marcher le long du corps, à hauteur de l'oreille, je claquai mes semelles dans la flaque. Des tâches de boue giclèrent et vinrent s'écraser sur les épaules et les lèvres. Parvenu derrière la tête, je m'arrêtai, calai mes rangers à peu de distance de chaque côté du crâne et soulageai soudain toutes les envies de pisser que j’ai jamais pu avoir durant toutes mes nuits de garde depuis treize ans de service sur cette gueule muette et figée.
Ouvre la bouche!
Je pissais dans cette gueule ouverte. Ça bouillonnait avec un bruit de chute d’eau dans une caverne. Ça dégoulinait des lèvres, ça coulait de chaque côté du menton et du cou. Il avait fermé les yeux. Il se mit à tousser...
— Avale! tu t’étrangleras pas.
J’entendis le flot de pisse passer dans la gorge débondée. Je pissais toutes les marées du monde, ça devait aussi lui sortir par le nez mais il ne bronchait pas, les bras bien droit collés au corps et les jambes serrées, l’écartement des pieds réglé à 45°... au garde-à-vous même couché dans la boue. Du fond de ma bite à la puissance de sortie du jet on me tirait des litres et des litres d’un brûlant et délicieux soulagement... Qui n’a jamais après des heures libéré une envie de pisser si longtemps retenue ne peut pas comprendre cette jouissive décontraction.
Pour me finir, j’arrosai le trou de chaque paupière, et en me rebraguettant trouvai sous ma langue deux crachats à balancer dans la gueule restée ouverte juste sous moi.
— Ferme-la!
Son obéissance était-elle motivée par la peur? Parfaite, au doigt et à l’oeil. Depuis son incorporation, il n’avait pas fait un pet de travers, sauf sa mauvaise manipulation lors du chargement du fusil pendant les jours de manoeuvres qui avait bien failli me coûter trois semaines d’hosto. Son sexe ne montrait aucun signe d’excitation, pas un frémissement, rien, muet comme cette sale caboche de réfractaire. Sûrement pas un de ces petits pédés. Au doigt et à l’oeil! j’aurais gueulé: rampe, il aurait rampé dans la merde; à quatre pattes et bouffe, il aurait bouffé la gadoue à pleines mains, cul en l’air et troulliomètre à zéro.
— Va t’essuyer le dos et les fesses contre le mur et ensuite remet des rangeos.
Il se leva, alla se coller dos au mur et se frotta contre le béton râpeux. Au doigt et à l’oeil... et tout aussi attentionné dans sa tâche. Il décapa ses épaules en bombant le dos et en faisant des petits cercles, vira côté gauche puis côté droit pour nettoyer ses flancs, se pencha pour décrotter ses fesses au mieux qu’il put faire, les écartant même avec ses mains, le tout en se pressant fort bien sur les grains de béton et pour le plaisir de ma lampe-torche qui suivait ces tortillements de croupe et des reins.
Pas pédé pour un sous le mec, mais beau gosse, bien balancé et pas mal ficelé par un bon jeu de muscles finement dessinés, ventre plat dur et lisse, abdos de nageur, poils courts et bas au pubis, taille étroite, joli cul bombé sous des reins bien cambrés.. un chouette mouvement d’ensemble...
— Rangeos!
Il bondit en avant pour les ramasser. D’un coup de pied bien jugé je les envoyai valser à un mètre de là juste comme il allait prendre la première. Courbé, il les suivit docilement, m’offrant comme je l’avais prévu le spectacle de son arrière-train. Dans le faisceau de ma lampe je vis son dos éraflé, et le temps qu’il enfile ses pompes, je matais la fente de son cul et son petit trou bien exposé. Vraiment pas pédé! Une allumette n’y passerait pas. Il rompit le charme en s’agenouillant pour nouer les lacets et fermer les boucles. Sa peau frissonnait dans l’air de la nuit.
— N’oublie par ta couverture.
Je partis vers la cour principale en évitant le poste de garde... vite rattrapé par le bleu aux fesses et au dos salement griffés par le dur crin du béton. Il commençait à ressembler à quelque chose, mon gars, et ce n’était que le début du week-end.
J’ouvris l’intendance et lui fis prendre un sac à dos. Depuis la séance de pisse, son regard me fuyait en étant toujours tourné vers le sol.
— Tu m’as dégueulassé les pompes... couverture, astiquage... que ça brille.
Il s’agenouilla et frotta.
— Tu finiras par parler, que ça te plaise ou non fils de pute et d’enculé... Les festivités commencent à peine. T’as deux jours pour piger ça. Deux jours. Allez frotte! Où alors tu passeras de sales moments jusqu’à la fin de tes classes. Je peux faire de toi un bon soldat... ou un enculé, c’est au choix. Mais quoi qu’il en soit tu parleras. T’es obéissant, t’es bon tireur... reste à voir si t’as du cran et de l’endurance... Je pourrais faire de toi un bon soldat. T’as tes chances. Remarque, côté cul aussi t’as tes chances... Moi aussi je suis bon tireur... face à un beau p’tit cul comme le tien... une belle cible à mettre en plein dans le mille... et si je fais pas de toi un soldat, je veux te voir ramper à mes pieds, je veux t’entendre me dire: «Oui mon Lieutenant, encore, enculez-moi encore... j’aime votre grosse queue.»
D’un coup du pied sur l’épaule je le fis tomber sur le cul dos au mur et je plaquai ma semelle pleine de boue sur son menton et ses lèvres.
— Lèche!
Il resta pétrifié.
— Lèche!
Il ne bougeait pas, les yeux fixés par terre. J’appuyai ma rangers un peu plus fortement, touchant cette fois le nez avec le bout.
— Regarde-moi connard!
Son regard se leva aussitôt vers moi. Je lui décrochai un mollard juste entre les deux yeux.
— Lèche!
Il me fixait d’un air hébété. Mon pied sur sa gueule maintenait sa tête coincée contre le mur. Je lui crachai dessus encore une fois ou deux en visant les yeux et tout en forçant avec ma rangers, écrasant cette fois le nez.
— Lèche, lèche... ou parle!
Instantanément, je relâchai la pression pour le laisser choisir. Il me dévisageait. Sa bouche s’ouvrit... J’écartai un peu plus mon pied de quelques centimètres pour libérer ses lèvres... Il avança le visage pour se libérer de l’écrasement du mur, ses yeux toujours plantés dans les miens... et je vis apparaître le bout de sa langue qui commença à lécher la semelle.
— Saleté de bâtard!
Je reculai ma rangers, son visage s’avança. Je la déviai à gauche, sa tête suivit à gauche, j’allai à droite, il suivit à droite.
— Fils de pute!
D’un coup j’écartai mon pied d’un bon mètre: il se dressa sur mes mains et s’avança à quatre pattes pour la suivre... la langue collée comme une ventouse à l’astiquage.
— Putain de chienne!
Y'avait pas à chier dans la colle. Ni à couper les cheveux en quatre. J’avais une putain d’érection! Une putain de trique gonflée plein régime à en péter tous les culs de la bleusaille de ma section l’un après l’autre! Une gaule du tonnerre et de tous les diables à le voir à quatre pattes suivre et lécher ma rangeos... Putain d’enculé! Mes doigts serraient ma bite sous mon treillis au point de l’arracher, et je continuais à balader le bâtard dans la pièce. Il astiquait, la langue bien pendante, bouffant la boue et la merde accumulées dans les crans. Son cul se dandinait...
— Enculé par ton père!
Ma boucle de ceinture sauta vite fait bien fait... le zip de la braguette descendit sans même avoir le temps de s’en rendre compte.
— Enculé par tes frères!
Ma bite bondit hors de mon slip, prête à servir.
— Regarde le morceau!
J’attrapai le chien par la tête et le relevai à mi-hauteur tout en faisant un pas en avant. Avec mon autre main je dirigeai mon gland sur ses lèvres, prêt à forcer l’endroit. Le bleubite louchait dessus d’un air complètement hagard.
— C’est du gros et du long à te casser le cul.
Je battis de plusieurs allers retours de mon bel instrument chaque joue.
— ... et crois-moi, c’est de l’endurant au boulot! T’en auras plein ton cul et pour un sacré bout de temps.
Le chien était toujours sans réaction, fixant droit devant lui les poils de mon pubis.
— Pendant ce temps, tu vas te branler le cul comme une petite garce.
Et d’un coup je forçai le barrage des dents et plantai ma 22 par 6 dans cette bouche que j’espérais profonde.
— Au travail feignasse!
Mais il se mit à tousser comme un qui va crever. Je sortis de sa bouche et lui envoyai une torgnole dans la gueule. Il valdingua par terre.
— T’es bon à quoi, sale connard?
J’attrapai une chaise et m’assit en face de lui. Il se frottait la joue tout en la massant avec lenteur et en regardant par terre.
— Viens ici.
Tout en le regardant, je m’astiquais tranquillement la queue, les cuisses écartées.
— Viens ici, j’ai dit, donc c’est un ordre!
Il se releva, se mit debout...
— À 4 pattes entre mes cuisses...
Il replongea sur le sol.
— ... et tu me pompes à fond, j’ai dit!
Il arriva, tête baissée, se cala entre mes cuisses. Je n’eus pas besoin de lui imposer ma main sur la nuque. Son visage se releva sur ma bite, sa bouche s’ouvrit et sa langue chaude et humide lécha mon gland... D’elle même elle s’enhardit en descendant peu à peu autour de la tige. Les lèvres s’entrouvrirent un peu plus, charnues, et un peu plus encore, chaudes, humides et douces.
Question pompage, le puceau avait des leçons à prendre, mais cinq minutes plus tard je lâchai mes giclées de foutre au fond de sa gorge.
Pour clore cette première nuit de garde, dans le noir je l’emmenai au terrain d’entraînement. Je lui fis ramasser dix kilos de grosses pierres, les lui fit mettre dans le sac à dos et, une fois le sac sur le dos, lui donnai l’ordre de parcourir dix tours de terrain au pas de course sans s’arrêter. C’est dur le métier!
Ensuite, sa couverture sous le bras, je le conduisis à l’endroit où il devait passer sa nuit de bâtard à ma disposition. Une cellule spéciale dans les caves d’un entrepôt isolé et désaffecté depuis un bout de temps. Dans le faisceau de ma lampe-torche, il trouva sur le sol de terre battue au milieu de quelques détritus et papiers sales qui avaient dû servir à en torcher plus d’un, une vieille paillasse puant la pisse.
— Tu dormiras ici. Donne-moi tes poignets.
En deux clics bien fermes il eut les poignets menottés.
— Genoux à terre, gueule ouverte.
J’avais à nouveau envie.
— Tiens cette casserole sur tes cuisses.
Je sortis ma queue et lui pissai dessus.
— Va te coucher. Dans la casserole, c’est pour si t’as soif.
Il se dirigea vers la paillasse, s’y allongea et tira avec difficulté sa couverture sur lui à cause de l'entrave des menottes. J’avais déjà passé la porte et je tournais lentement en faisant un maximum de bruit la clé dans la serrure de la porte de la cave.