Le blog de Lucas

Cet été là, comme chaque année, nous étions allés camper dans nos Ardennes, au bord d'une rivière, la Semois. Le terrain était entouré de bois et nous étions réellement perdus au milieu de nulle part. Seul quelques canoés descendaient parfois la rivière. J'attendais le camp avec impatience d'une part parce qu'il représentait le couronnement d'une année, d'autre part parce que souvent il me permettait de mener mes désirs les plus fous.

Les chefs partaient toujours trois jours plus tôt pour installer leurs tentes, explorer la région, prendre des contacts, mettre la dernière main aux jeux et commencer les constructions.

Nous étions sept dans le staff. Pour moi cela allait être mon troisième camp en tant qu'assistant, l'année suivante j'allais devenir le chef de troupe aussi j'avais bien l'intention de profiter pleinement de ce dernier camp sans trop de responsabilités. Cette année, il y avait deux nouveaux dans le staff, Nicolas et Julien. Ils avaient tous deux été scout cinq ans au préalable aussi les connaissions nous bien. Nicolas était grand et très mince. Pour ses dix-huit ans, il semblait plutôt jeune et était quasiment imberbe à part quelque poils épars sur ses divins mollets. Nageur confirmé, il avait un torse très joliment dessiné. Julien, lui était plus petit, plus râblé, plus costaud. Une fine toison s'élançait déjà du haut de son short vers sa poitrine. Tous les deux très différents, ils avaient chacun beaucoup de charmes et savaient en user avec les filles qui ne restaient jamais de glace face à leurs airs triomphants.

Nous logions tous les sept dans la même tente. Par habitude plutôt que par obligation, nous étions installés tous du même côté et par ordre décroissant d'ancienneté. Je me trouvais juste à côté de Nicolas à ma droite tandis que David, aussi ancien que moi était à ma gauche. Le chef de troupe et ses deux assitants les plus anciens commencaient la rangée. Le premier soir, je fus un des premiers couchés; j'aime lire avant de m'endormir. Les uns après les autres, chacun regagna la tente afin de s'y préparer pour la nuit. La nuit allait être chaude aussi chacun préférait rester torse nu pour se coucher. Levant les yeux de mon livre, j'admirais tous ces corps qui se dévêtaient petit à petit. À côté de moi, assis sur son sac de couchage, le plus discrètement possible, Nicolas retirait son boxer pour en enfiler un autre. Quel ne fût pas mon étonnement d'apercevoir un instant la belle pièce qui s'y cachait. Même bandé, jamais je n'avais vu pareil engin. J'avais déjà pu remarquer la bosse qui déformait le short en jeans de Nicolas mais j'étais loin de m'imaginer ce que cette bosse cachait en vrai. Aussi fugace que fût cette apparition, elle me déconcentra pour de bon. Nicolas surprit mon regard. J'étais le seul qui pouvait bénéficier de la vue, les autres s'affairant à ranger leurs affaires. Nicolas me sourit, sourire que, quelque peu gêné, je lui rendis. Il avait déjà glissé une jambe dans son nouveau boxer, il lui en restait une à enfiler avant de pouvoir le remonter jusqu'à sa taille. En quelques instants, mû par je ne sais quelle énergie, son sexe déjà énorme se gonfla et se dressa jusqu'à dépasser son nombril. À cette vue, le mien se força un chemin jusqu'à l'air libre et émergea de mon caleçon, je le sentais palpiter contre moi. Nicolas enfin, remonta son boxer et entra dans son sac de couchage. Nous n'échangeâmes pas un mot mais je le vis pointer son regard en direction du renflement provoqué par mon érection.

Ce soir là, j'avais envie, les lumières éteintes de tendre ma main vers ce voisin mais j'avais peur de sa réaction et surtout d'être vu par les autres. De plus, il parla pendant longtemps avec Julien étendu à sa droite. Bien que parlant fort bas, je les entendis narrer leurs différentes conquêtes féminines et comparer les vertus des unes et des autres. J'eus bien du mal à m'endormir avec le souvenir de cette vision et l'érection qui en avait découlée. Celle-là était toujours bien présente et mes mains n'avaient de cesse d'y mettre un terme mais je dus malheureusment m'en abstenir.

Le lendemain la journée fût dédiée à la coupe des perches nécessaires à nos constructions. Celles-ci une fois élaguées, nous les ramenions au camp. Sous cette chaleur, tous les torses étaient nus et c'était un régal pour mes yeux de croiser ces poitrines aux muscles bandés par l'effort, luisantes mais fraîches à la fois. David et moi devions manager les plus jeunes aussi nous les étions nous partagés. J'aurais sans doute préféré Nicolas mais son air froid ce matin m'avait persuadé de coacher plutôt Julien. Ceci dit, je m'entendais très bien avec lui et il était assez doué pour ce travail de bûcheron. Quand nous transportions les arbres je me mettais toujours à l'arrière pour pouvoir admirer son petit cul bien moulé dans son short qui se trémoussait au rythme des oscillations du terrain accidenté. Il était assez bien construit pour son âge. Ses larges épaules carrées surplombaient de beaux pectoraux déjà bien travaillés. Il était assez rieur et n'arrêtait pas de siffloter en travaillant. Bruns et bouclés ses longs cheveux descendaient jusqu'à la base de son cou. Hormis une petite pause pour avaler un morceau de baguette avec un peu de charcuterie, toute la journée se déroula de la sorte, coupe et transport.

Au dernier voyage, Julien et moi décidâmes d'aller nous plonger dans la rivière, en amont du barrage. À cet endroit l'eau était assez profonde et permettait presque de nager même si nous avions toujours pied. Débarassés de notre short, les pieds nus, j'hésitai un instant avant de retirer mon slip, n'ayant pas emporté de maillot. Julien conscient de mon hésitation me dit «Allez, on le retire, après tout on s'est déjà vu à poil!» Je n'en avais pas de souvenirs mais vu que cela ne semblait pas lui poser de problèmes de retirer son slip, je fis de même. Je le laissai entrer dans l'eau le premier. Son petit cul, à l'air libre était encore bien plus tentant que sous son short. Le blanc de sa peau contrastait avec le teint déjà hâlé de ses jambes et de son dos. Il plongea d'un coup, comme un fou et se mit à m'asperger. Je déteste ça. Bien résolu à me venger, à mon tour, je fonçais dans l'eau à sa poursuite. D'un bond, je fus sur lui, je l'entourai de mes bras dans l'intention de le renverser mais le contact de sa peau contre la mienne me fit perdre toute hargne. Je désserrai mon étreinte et me laissai emporter par le courant. Lui n'avait nullement l'intention d'en rester là, il voulait continuer le petit jeu et voir lequel d'entre nous coulerait le premier. Entretemps, mon sexe s'était gonflé et bandait déjà bien fort. J'essayais de le laisser dans l'eau mais Julien plongea, passa entre mes jambes et remonta le long de mon corps sans doute afin de me retourner à son tour. Je sentis son torse frôler ma zigounette bien dure puis venir se loger entre ses cuisses. Il resta ainsi un temps qui me sembla assez long, sa bouche à deux centimètres de la mienne, ses cuisses enserrant mon engin. Je sentais lentement que cette étreinte ne le laissait pas indifférent. En effet, quelque chose remontait doucement entre nous. Il me demanda: «C'est l'eau ou c'est moi qui te fait cet effet là?» Je n'eus pas le temps de lui répondre car les cinq autres arrivaient bruyamment. David lança même: «Ben il est temps qu'on arrive!»

Julien désserra son étreinte et me rendit ma liberté. J'aperçus Nicolas qui me regardait avec un air farouche, voire déçu. Nous continuâmes nos ablutions et le souper arriva vite. Le soir je passai tout mon temps avec David pour préparer des azimuts sur carte en vue du hike. Quand nous eûmes tout terminé tous les autres étaient déjà couchés. Je n'avais même pas eu droit à un bonsoir ni de Julien, ni de Nicolas.

Le lendemain nous pouvions enfin commencer les constructions. Malheureusement, David et les trois plus anciens allaient vite nous quitter. Ils devaient en effet rentrer pour accompagner les scouts le lendemain durant le voyage, en train puis à pied. Cela me réjouissait mais me faisait peur à la fois. Je ne savais pas encore si j'allais oser m'affranchir d'avantage. J'essayai bien d'amener le sujet durant l'après-midi, parlant de filles puis de sexe, me renseignant sur leurs différentes performances, jusqu'où ils avaient déjà été.

J'en vins alors à parler de masturbation, désireux de savoir s'ils le faisaient parfois et s'ils avaient besoin de support pour cela. Julien moins pudique nous narra qu'à la maison, il la faisait presque tous les jours, parfois même matin et soir et qu'il aimait bien lire des histoires cochonnes genre SAS pour se motiver quelque fois. Nicolas, lui, a préféré éviter le sujet. Je leur demandai alors s'ils l'avaient déjà fait à plusieurs et là, tous les deux échangèrent un regard qui en dit long. Je voulais absolument en savoir plus et Julien me raconta que l'année passée, pendant le hike, un soir, toute la patrouille s'était branlée en même temps pour faire un concours que Nicolas avait remporté haut la main. Je commençais à être très excité et j'avais bien envie de leur proposer de voir si Nicolas pouvait toujours gagner mais je n'étais pas encore prêt. Pour me calmer je leur proposai d'aller nous baigner. Nicolas préférait continuer le boulot mais Julien se décida à m'accompagner. Comme la veille, on plongea nus dans la rivière. Après quelques courses, exténué, je vins me coucher au bord de l'eau. Les yeux fermés, je profitais du soleil mais aussi de la fraîcheur de l'eau. Je n'entendis pas Julien qui se coula jusqu'à moi. Il vint poser sa tête sur mon torse, son torse sur mon pubis

— Alors, hier qu'est-ce qui t'a fait bander? Me demanda-t-il.

Je ne sais trop si c'est sa question ou le fait de le sentir sur moi mais instantannément, mon sexe se gonfla à bloc.

— Houla, je crois bien que c'est moi alors! Me dit-il.

— Oui, je crois bien que c'est toi. Tu sais, il suffit de peu de chose parfois, un frôlement, une idée.

— Et bien moi, c'est la même chose mais c'est la première fois que je fais bander un mec.

— Tu regrettes? Cela te fait peur?

— Non, pas du tout, je trouve même cela plutôt agréable de pouvoir faire bander quelqu'un mais le plus drôle c'est que cela me fait bander aussi.

— Tu sais, cela ne veut rien dire. Il s'agit plutôt de circonstances.

— Toi, tu as déjà branlé un mec?

— Oui, quelques fois, même!

— Et un mec t'a déja branlé aussi, tu as aimé, vous avez été plus loin?

— Oui, oui, oui! Écoute, je sens bien que l'expérience te tente, si tu te laissais faire?

— Ha, non, pas question de me laisser faire, je veux participer pleinement!

Julien me tira par les deux pieds et je me retrouvai pendu à son cou, mon petit trou titillé par son sexe tendu. Houla, ce garçon allait bien vite! Je repris pied (dans l'eau) et tout contre lui, je commençai par lui caresser doucement les couilles. Il fermait les yeux. Je remontai lentement pour entourer de ma main sa bîte bien dure. Je faisais de lents va-et-vient et son souffle s'accélérait déjà. Je plongeai la tête dans l'eau et enfournai son dard dans ma bouche, remontant de temps en temps pour respirer. Je le sentais tendu, prêt à se laisser aller. Lors d'une de mes prises d'air il me tira à lui et m'embrassa fougueusement, sa langue tournant dans ma bouche, l'explorant de haut en bas, de fond en comble. En même temps, il s'était mis à me branler, méthodiquement, comme à l'exercice. À son tour, il plongea sous l'eau et ses lèvres enserrèrent mon gland, sa main me malaxant les couilles pendant que l'autre me massait le scrotum, délicatement. Je n'en pouvais plus, je devais me retenir, tendu à l'extrême. Lui, il continuait, son doigt ayant trouvé son chemin s'enfoncait puis se retirait délicatement de mon petit trou. Mes deux mains enserraient sa tête, guidant ses aller-retours. Nous nous étions rapprochés du bord aussi n'était il plus obligé de faire de l'apnée. Je voulais retirer sa tête mais aussitôt je voulais l'enfoncer davantage. Soudain, je ne sus plus me retenir et de longs soubressauts en larges jets, je vins en lui, enfoncé au plus profond de sa gorge et retenant même un cri. Il se remit debout satisfait et vint m'embrasser à pleine bouche, sa queue se faufillant entre mes cuisses. Tout en m'embrassant, il se faisait aller alors que ma main lui massait doucement ses petits sacs. Le goût de mon sperme n'était pas désagréable et sa langue n'arrêtait pas de se promener en tout sens quand j'entendis de petits râles venir du fond de sa gorge. Ses mouvements se firent plus saccadés et de longues secousses parcoururent mes cuisses qui emprisonnaient son bel engin.

— Merveilleux! Me dit-il. Jamais je n'avais fait cela dans l'eau et encore moins avec un mec, merci!

— Mais de rien, tout le plaisir était pour moi, on recommence quand tu veux!

Je sortis de l'eau afin de me sècher, lui préférait profiter encore un peu du soleil et se reposer tout à son aise.

Je remonte alors vers le camp et cherche Nicolas du regard mais je ne le vois nulle part. En approchant de la tente, j'entends de légers bruits d'étoffes. Je m'avance doucement sur le seuil et là, étonné, je découvre Nicolas, étendu sur mon sac, nu, en train d'aller et venir comme s'il faisait l'amour à mon sac de couchage. Ses fesses montent et s'abaissent au rythme de ses ondulations. J'avance doucement, m'allonge sur le sac de David et je pose ma main sur ses petites fesses bien captivantes. Surpris, il se retourne, me regarde et j'aperçois son bel engin, énorme où une petite goutte de rosée pointe à l'orée de son gland. Il est surpris mais n'a pas l'air gêné comme s'il m'attendait.

— Je suis descendu vers la rivière pour me baigner avec vous mais j'ai bien vu que je risquais de vous déranger alors je suis remonté.

— Tu nous as vu, heu, nous amuser?

— Oui! En fait j'aurais bien aimé être à la place de Julien. J'ai bien vu comment tu me regardais l'autre soir et toi tu as pu voir que cela m'excitait.

J'ai remis ma main mais sur son torse cette fois. Du bout de mon index j'ai fait le tour de ses têtons qui durcissaient déjà.

— Oui, j'ai bien vu et je dois bien avouer que j'ai très envie de toi aussi.

Ma main est descendue lentement, évitant son pubis pour atteindre sa cuisse puis je suis remonté à nouveau pour masser son torse. Lui, il a posé sa main sur ma cuisse et la déplaçait de bas en haut, lentement. Ma main est redescendue à nouveau vers sa cuisse mais en remontant, j'ai pris ses bourses et les ai soupesées.

Là, il s'est mis à souffler très fort. J'ai déposé un petit bisou sur son cou, puis un autre sur sa poitrine et avec ma langue, j'ai parcouru tout son torse jusqu'à son gland. Du bout de ma langue, j'en ai fait le tour. Il était chaud et je sentais battre son coeur dedans. Son souffle s'est fait plus fort et encore plus rapide. J'ai voulu mettre son gland en bouche mais même en l'ouvrant au maximum, il ne rentrait pas. J'ai donc continué mes jeux de langue pendant que ma main s'affairait autour de la base. Son souffle s'est encore accéléré et il est très vite venu en longues saccades. Ma bouche posée à l'extrémité de son gland, j'ai tout pris. Ses râles venaient du plus profond de son corps, tous ses muscles étaient contractés mais en même temps son visage était radieux. Il m'a pris dans ses bras, m'a serré très très fort et m'a sussurré un "Je t'aime" dans l'oreille.

Je n'en revenais pas, en moins d'une demi-heure j'avais fait jouir deux magnifiques jeunes corps. Tout cela m'avait bien excité à nouveau et ma queue n'arrêtait pas de tressauter comme pour réclamer sa part de plaisir également.

— Houla, j'arrive trop tôt ou trop tard? dit Julien en entrant dans la tente à ce moment.

Nicolas et moi étions toujours serrés l'un contre l'autre, nus, moi, ma queue bandée à l'extrême et Nicolas le ventre maculé de salive et de spermes mélangés.

Julien vêtu de sa seule serviette, s'est jeté sur nous, voulant absolument nous séparer pour voir dans quel état nous nous trouvions. Ses deux mains se sont emparées de nos deux bites respectives pour les palper et déclarer que s'il était arrivé à temps pour moi, il se faisait fort de ranimer Nicolas. Déjà sa jolie petite queue circoncise pointait entre les pans de sa serviette.

Je passai à mon tour ma main derrière son essuie de bain pour y sentir ses couilles encore humides de l'eau de la rivière. Son essuie fût retiré très vite et je me décidai à prendre les choses en main. Puisqu'il voulait s'occuper de Nicolas, je demandais à celui-ci de se mettre à genoux guidant la bouche de Julien vers la queue reprenant vigueur de Nico. Il approcha ses lèvres, tirant la langue pour titiller le gland turgescent de Nic. Moi, je me mis debout, et approchai à mon tour ma queue de la bouche de Nic. Celui-ci l'ouvrit toute grande, la referma délicatement sur mon prépuce et je n'avais plus qu'à me laisser aller pour sentir le plaisir monter en moi.

La main droite de Nicolas jonglait entre ma queue et mes couilles tandis que sa gauche branlait la queue de Julien. Je me demandais lequel allait jouir le premier! De temps en temps la main de Nicolas s'approchait très près de ma rondelle toute luisante. Je le sentais hésitant mais désireux de rendre visite à ce trou noir pourtant bien sondable. Julien avait autant de mal que moi à enfourner plus que le gland de Nicolas mais il semblait bien s'amuser et les yeux fermés de Nicolas me laissaient imaginer que cela lui plaisait assez.

Le doigt de Nicolas se faisant plus téméraire, cela m'avait donné l'envie d'aller voir de son côté comment cela se passait mais je n'avais pas envie de troubler notre belle figure.

— Nicolas, j'aimerais bien que tu me suces aussi, dit Julien.

Nous allions devoir changer de position. Tous les deux se couchèrent tête bêche et leurs bouches grandes ouverte enfournaient en cadence chacune leurs centimètres de chair luisante.

Oui, mais et moi!? En fait, attiré par la rosette de Nico, je m'en approchai. Moi aussi, avec ma langue, je pouvais faire des prodiges. La tête scotchée contre ses belles petites fesses, ma langue pointa en direction de cette petite grotte merveilleuse. J'en fis le tour bien goulûment avant de l'entrer délicatement. Nicolas semblait apprécier mais je ne sais si ses gémissements venaient de la pipe que Julien lui faisait ou de mon introspection. Ma queue, bien qu'excitée, se sentait un peu délaissée. Ma bouche quitta lentement les fesses de Nicolas pour remonter le long de son dos et embrasser sa nuque. J'étais en position!

Je posai mon gland à l'entrée du petit trou de Nicolas et poussai délicatement pour le faire disparaître à l'intérieur. Je sentais Nicolas se contracter quelque peu aussi n'allais-je pas trop vite ni trop fort, c'était la première fois qu'il avait une telle visite. Je reculai un peu pour avancer à nouveau et plus profondément cette fois. Nicolas commençait à se laisser aller et je pus entamer un va-et-vient d'abord lent puis de plus en plus rapide. J'avançais maintenant bien profondément lui titillant la prostate du bout de ma queue. Julien, toujours occupé à pomper joyeusement Nicolas, après avoir mis son index en bouche, se l'introduisit dans l'anus. Visiblement je lui avais donné des idées ou des envies.

Je me retirai de Nicolas, fit le tour et retirant le doigt de Julien, je m'introduisis à mon tour en lui. Ici, je ne sais si le travail effectué par son doigt m'aidait ou bien s'il était simplement plus ouvert mais je n'eus aucun mal à m'insinuer de suite à fond. Je donnais des coups de reins de plus en plus violents et je n'allais pas être long à décharger. Les deux compères ne cessaient pas leurs jeux de bouches pour autant. Aidés de leurs mains, ils s'en donnaient à coeur joie. Je voyais la queue de Julien disparaître entièrement dans la bouche de Nicolas tandis que Julien semblait avoir trouvé le moyen d'enfourner au moins l'entièreté du gland de Nic. Ils haletaient de plus en plus et leurs mouvements se faisaient plus rapides et plus énergiques.

Nicolas me dit que si j'étais prêt à jouir, il aimerait que je le fasse en lui. Il était temps qu'il me le dise! Après encore quelques coups de butoir dans Julien je me retirai donc pour à nouveau faire le tour et cette fois sans trop chichis, me coller contre Nicolas et l'enculer bien à fond. Le temps de reprendre mon rythme et le plaisir était à nouveau prêt à jaillir de mes couilles. Nicolas gémissait de plus en plus et Julien n'en menait pas plus large, son doigt ayant repris la place de ma bite démménageuse.

Je sentis mon plaisir atteindre son point de non-retour, mes couilles se contractèrent et lachèrent tout leur suc en longues rasades dans le cul de Nicolas. En même temps, celui-ci se contracta davantage, ses muscles enserrant réellement ma queue alors qu'à son tour tout en criant il lâchait sa semence dans la gorge de Julien. Celui-ci vint juste après et ses râles emplirent la tente. Mon Dieu, quel après-midi. Je n'en pouvais plus. Blottis les uns contre les autres, nous nous endormîmes ainsi.

Lun 13 avr 2009 1 commentaire
serieusement c'est tres bien amené .Je sais pas si cela s'est réellement passé mais ca fais réver
sylvain - le 27/08/2009 à 03h59