Le blog de Lucas
Je passais depuis longtemps, chaque soir en rentrant de la fac, devant un petit magasin de disque. Il était tenu par un très joli garçon, vingt-cinq ans environ. Je le voyais tous les jours à travers la vitrine. Il était très sexy. Mais bon quand on rentre de la fac, je n’avais malheureusement pas que ça à faire de m’arrêter: dissertation, révision et autres cours à relire.
Mais bon je ne pouvais pas ne jamais m’arrêter et lui parler. Alors un jour particulièrement pénible, j’ai décidé de passer me cultiver dans son magasin. J'entre, il m’accueille avec un grand sourire. Il n’y avait personne dans le shop, il était rarement blindé mais il y avait toujours deux ou trois clients. Aujourd’hui, j’étais le seul.
Je commence à lui demander ce qu’il avait à me conseiller comme sortie récente, dans le genre electro tranquille. Il me sort deux ou trois CD, il les met sur les platines et nous les écoutons en silence. Je ne pouvais arrêter de le regarder, j’avais peur de le gêner. En attendant, il me demande si je veux quelque chose à boire, je ne dis pas non mais lui demande ce qu’il propose. Et me voilà dans un magasin de disque, buvant une bière avec un beau gosse nommé Tim... Il me demande mon prénom, Phil, et ce que je fais dans la vie. Je lui raconte tout ça sur un ton plutôt platonique.
— Tu t’ennuies dans la vie? me demande-t-il.
— Plutôt oui, mais je ne me plains pas pour autant.
— Moi aussi j’aime ce que je fais, mais y’a bien que ça qui me plaît dans la vie...
— Comme je te comprends.
On avait malheureusement déjà fait un tour rapide des CDs que je voulais écouter. Je paye et je m’en vais, non sans quelques regrets. Il me dit heureusement de repasser quand je veux pour un verre et quelques bons morceaux... sans préciser de quels genre de morceau il parlait... mais je ne me fais pas d’illusions.
Le lendemain, cours annulé, aprem tranquille. Je vais boire deux bières avec un pote de fac, j’avoue que à 4 heure de l’aprem, ça m’a un peu éméché. Je rentre chez moi et je passe devant le petit magasin. Sur le perron, Tim se fume une cigarette (ce que je n’avais jamais remarqué vu que je passe rarement devant chez lui en pleine aprem). Il me regarde arriver, sourit et, quand je passe à sa hauteur, me demande si je veux une bière. Je ne réponds pas non. Et me voilà assis au comptoir de son shop à boire des bières. On discute de choses et autres, le temps passe vite, déjà sept heures... Il doit fermer mais à ma grande surprise, ferme le magasin et me dit de passer dans la pièce à côté. J’ouvre un rideau, je trouve une porte qui donne sur une petit salon et un escalier, il me propose de m’asseoir.
Et me voilà dans son salon, on continue à boire... beaucoup! Après quelques autres bières et un petit mais excellent repas, il me fait visiter son appart: la cuisine attenante au salon, et un escalier qui donne sur deux chambres, une salle de bain et une cour intérieure. Arrivé dans sa chambre, il me regarde. Il regarde le lit, ça y est, j’ai compris où il veut en venir. Il me fixe, ses yeux dans les miens et il m’embrasse. Mon dieu qu’il embrasse bien. Deux secondes après, il me jette sur son lit. Il me fixe toujours du regard, prend quelque chose sur la commode, appuie sur un bouton et met de la musique. Il me regarde et se glisse sur moi.
Je sens sa bite bien raide qui commence à frotter sur mon entrejambe, qui lui aussi grossit. Il retire mon pull, déboutonne ma chemise et commence à me lécher les tétons. Ils se durcissent. Ça y est, je suis torse nu devant lui. Mais il ne compte pas s’arrêter là. Je n’ai qu’une envie: le voir à poil aussi. Je me relève et commence à lui enlever son t-shirt. Son torse est bien poilu, comme je les aime. Je lui mordille aussi les tétons. Puis je passe ma langue sous l’une de ses aisselles dont l’odeur m’emmène au paradis. Sa bite m’appelle irrésistiblement. Il est à genoux sur le lit, moi allongé, son entrejambe est au niveau de ma tête. Je commence à déboutonner sa braguette, son boxer noir apparaît; il semble bien rempli. Alors je me penche, descends son pantalon sur les genoux et je commence à lécher sa queue à travers le tissu. Une grosse trace de bave défigure son caleçon au niveau de sa teub.
Il pose ses mains sur ma tête et me plaque sur son entrejambe. Je baisse alors son caleçon et sa bite jaillit. Elle me frappe sur le visage, j’ouvre grand la bouche et je la prends en main. Je commence par lentement lui lécher le gland que ma langue enveloppe. Puis elle descend tout le long de sa verge que je branle lentement. Sa queue a un bon goût musqué très excitant. Je ne peux plus attendre et j’enfourne sa belle queue dans ma bouche. Manifestement, lui aussi n’attendait que ça car quand sa queue atteint le fond de ma bouche, il pousse un grand râle. Mes lèvres serrent fort sa queue et je commence à monter et descendre sur son beau chibre. Avec ses mains, il imprime le rythme qu’il veut à ma fellation, il me dirige. Ma main droite enserre toujours le bas de sa queue et je peux ainsi le branler tout en le suçant.
Il m’allonge alors sur le lit et me colle sa queue dans la bouche. Je ne peux plus rien faire, c’est lui qui fait entrer et sortir sa queue de ma bouche comme il le veut. Ses couilles frappent sur mon menton. Lassé par ce traitement, il retire sa queue de ma bouche pour me rouler une pelle. Ses mains s’immissent dans mon pantalon qu’il dégraffe et il commence à caresser ma teub à travers mon caleçon. Il cesse de m’embrasser et descend sa bouche jusqu’à mon nombril. Il m’enleve mon pantalon, puis mon caleçon; me voilà à poil devant lui. Je bande bien raide. Il n’hésite pas et fait pénétrer ma queue dans sa bouche. Lentement ses lèvres vont et viennent sur mon chibre raide. Quand ma queue est bien au fond, je sens sa langue qui tourne autour de mon gland; c’est exquis! Mais il ne compte pas en rester là.
Il me relève les jambes pour accéder à mon trou. Il commence à lentement passer sa langue dessus. Il me bouffe littéralement le cul. Puis il me met un doigt, sans prévenir. Je pousse un soupir de bonheur. Son doigt gigotte dans mon trou. C’est génial. Il le retire et m’en met deux. C’est encore meilleur. Je murmure: «Prends-moi...» Il me regarde pour savoir si c’est bien ça que je veux et d’un regard je confirme. Il se leve et prends une capote dans la table de nuit en coiffe sa queue. Il la colle sur mon anus et la pousse. Elle pénètre lentement dans mon intimité. Il est au bout, je le sens bien en moi. C’est trop bon. Il commence à me prendre lentement. Il accélère progressivement. Je sens son chibre frotter contre ma prostate et me donner un pur plaisir à chaque passage.
Il se retire, me plaque sur le lit. Je suis allongé, je ne peux rien faire. Il écarte mes fesses et replace sa queue dans mon repaire humide. Il ne prends plus de précautions et me bourrine franchement. Je suis au ciel. Au bout de dix minutes de ce traitement, il se retire, me met à qutre pattes et recommence à m’enculer. De temps en temps, il se retire complètement et replonge en moi. Je peux me branler, je me branle frénétiquement. Je sens que son orgasme n’est pas loin et le mien non plus. Il accélère encore. Ma branlette aussi. Il vient alors dans la capote et jouit en moi. Je sens les spasmes de sa queue qui déclenchent alors mon orgasme. Je jouis sur son couvre-lit...