Le blog de Lucas

Afin de gagner un peu d’argent pour payer mes études, je m’étais déniché un job d’été comme vendangeur saisonnier dans une société viticole dans le sud de la France. Je n’avais que 16 ans, mais ma robuste corpulence allait me permettre d’endurer les efforts physiques qui m’attendaient. Je serai nourri, vêtu et logé moyennant deux semaines de cueillette intensive. Le travail serait pénible sous le soleil, mais généreusement payé.

J’avais prévenu le gestionnaire que je n’arriverais que le dimanche soir, tard dans la nuit. Malgré l’heure avancée, celui-ci m’attendait et me fit visiter brièvement les lieux. Nous gagnâmes rapidement le dortoir à la simple lueur d’une lampe torche pour ne pas réveiller les autres saisonniers déjà en plein sommeil. En fait, c’était tous des espagnols qui avaient traversé la frontière pour trouver ici des conditions de travail et financières plus avantageuses.

Le réveil étant matinal, genre dans les 6 heures du matin, le gestionnaire, M Michaud, prit congé non sans me donner ma tenue vestimentaire offerte par la maison: t-shirt, salopette, casquette, slip, chaussettes et une paire de skets d’occasion. Le tout sentait bon le frais et fut déposé dans le vestiaire commun, dans un casier ouvert à mon nom. Une vingtaine de casiers était ainsi à disposition où l’on pouvait deviner les équipements de chacun. Une seule douche jouxtait le vestiaire.

Puis il me désigna ma couchette. Une grande salle commune avait été aménagée en dortoir, en séparant les lits par des cloisons mobiles afin de préserver un minimum d’intimité. Le nombre de saisonniers présents étant supérieur aux prévisions, le gestionnaires m’expliqua qu’il avait dû équiper certains boxes de grand lit double en attendant de recevoir d’autres couchettes individuelles. C’est donc dans un box à deux places que je fus dirigé. Son occupant actuel ronflait étendu en travers du matelas. Ça commençait bien.

Remerciant M Michaud, je pris possession des lieux. Je me mis rapidement en caleçon afin de profiter de quelques heures de sommeil. Me glissant sous le drap, je réussis à faire déplacer mon compagnon de nuit pour pouvoir dormir à mon aise. Quelques ronflements plus ou moins sonores berçaient cette douce nuit. L’atmosphère était chaud et moite. Des relents de sueur flottaient dans l’air et venaient chatouiller mes narines.

Je m’aperçus que mon voisin devait contribuer largement à cette bonne odeur ambiante. Je soulevai discrètement le drap de son côté et un courant d’air pestilentiel tomba sur moi, mélange d’odeurs de chaussettes et de panards, de foutre et de pisse au niveau de son slip, et de sueur émanant de son t-shirt. Cette composition olfactive eut pour effet immédiat de me donner une trique d’enfer. Je tentais de calmer mes sens puis, tombai dans un profond sommeil.

Bien plus tard, je me réveillais brusquement et pris quelques secondes pour appréhender la situation. Mon voisin, toujours dans un profond sommeil, était venu se plaquer contre moi en se retournant, et avait passé un bras par dessus mon torse. J’avais le contact de ses poils de son torse imbibés de sueur dans mon dos. Son aisselle ruisselante était proche de mon nez. Sa teub s’était placée tout naturellement dans la raie de mes fesses.

La situation me plaisait fortement et je repartis pour une bandaison du meilleur effet. Sa main se posa sur mon caleçon, puis s’introduisit sous l’élastique et empoigna ma bite bien bandée. À quoi rêvait-il? Toujours est-il qu’il me caressait longuement mes couilles, les pressait, fourrageait dans mes poils; mon gland fort baveux n’était pas oublié. Je ne résistai pas longtemps et lui crachais mon foutre dans sa main, qu’il conserva au chaud encore plusieurs minutes avant de se retourner complètement dans le lit...

Mort de fatigue, je fus réveillé au matin par le gestionnaire qui me demanda de me presser pour retrouver le reste de l’équipe qui prenait déjà le petit-déjeuner. De fait, je constatais que j’étais le dernier à quitter le dortoir. Je courrais rapidement vers le vestiaire pour endosser rapidement ma tenue. Et là stupeur! Le contenu de mon casier avait été complètement chamboulé. Je retrouvais bien en vrac une tenue complète, mais on m’avait tout échangé hormis la salopette et la casquette. Je n’avais pas le temps d’enquêter. Je dus donc me résoudre a enfiler ce qu’on m’avait laissé.

J’endossais donc en toute hâte un tee-shirt auréolé de traces suspectes jaunâtres sous les avants-bras. Le slip était d’une taille XXL et avait manifestement déjà été porté pendant plusieurs jours. Je constatais que l’intérieur du slip venait d’être copieusement inondé de foutre par quelqu’un qui venait de s’y branler. Sans doute une branle matinale essuyée avec le slip porté pour dormir. Les chaussettes de laine dégageaient une odeur infecte. Elles me collaient déjà à la peau alors que la journée allait seulement commencer. Après la salopette et la casquette, il me restait à mettre les skets, de deux pointures trop grandes pour moi, d’où émanait une forte odeur de panards mal lavés.

À mon approche, le gestionnaire me conseilla de prendre une bonne douche le soir après le boulot. L’heure du départ sonnait déjà. Pour rejoindre le lieu des vendanges situé à une vingtaine de kilomètres, nous nous entassâmes donc à une vingtaine dans un minibus. Les sièges avaient été déposés pour dégager le maximum de place. Mais nous étions quand même tous très à l’étroit, debout, s’agrippant à des barres centrales ou fixées au plafond.

Je me retrouvais le nez plaqué contre l’aisselle d’un bras fort poilu tenant une barre centrale. Je sentis rapidement des attouchements discrets sur mes fesses. Devant mon acceptation tacite, c’est carrément une main ferme qui vint me peloter. Je regardais craintif mon entourage, qui se montrait totalement indifférent, ou alors complice à en juger par les clins d’œil échangés ou les pouces levés en signe de victoire.

La main entreprenante fit tomber la salopette sur mes pieds, puis se faufila dans mon slip poisseux. Elle saisit ma bite pour lui faire subir une branlette redoutable. Pendant ce temps, je sentais un sexe hyperbandé se frotter sur mon cul. Je transpirais un max. Mon slip tomba à son tour, et je ressentis plusieurs jets de foutre s’écraser en haut de mes fesses.

Nous n’avions parcouru que quelques kilomètres. Un autre saisonnier vint se placer derrière moi. Il entreprit un doigtage de ma rondelle en introduisant deux doigts préalablement trempés dans le foutre craché par le précédent. Un gland que je devinais champignonesque vint se positionner à l’entrée de mon cul. Mais celui-ci avait du mal à rentrer. Un espagnol qui observait la scène en se massant la braguette se mit à déchausser l’une de ses skets et me la plaqua contre mon nez. Une odeur irrespirable de sueur et de crasse se dégageait de la chaussure. Ce fut comme du poppers pour moi et mes sphincters se détendirent soudain pour laisser rentrer plus profondément en moi la grosse queue qui m’entreprenait. Aidé par les soubresauts du véhicule, je sentis bientôt des couilles velues en contact avec mes fesses.

Le saisonnier me laissa quelques secondes de répit, puis entreprit un va-et-vient régulier dans mon cul. Je laissais échapper quelques cris. Pour m’obliger à rester silencieux, la sket fut remplacée par une chaussette tout aussi humide et puante qui vint servir de bâillon. Je mâchonnais la chaussette pour essayer de m’en défaire, ce qui m’obligeait à avaler un jus âcre et acide distillée par la chaussette. Pendant ce temps, je continuais à subir les assauts du vendangeur. Il se crispa soudain et je sentis plusieurs jets de foutre dans mes intestins. J’éjaculais à mon tour. Je pensais qu’ayant bien joui dans mon cul, il allait se retirer mais il gardait fermement la position. Soudain je sentis un liquide chaud dans mes boyaux. Cela n’en finissait pas et je sentais le liquide sortir par mon trou. Il venait tout simplement de pisser.

Le véhicule s’arrêta soudain, nous étions arrivés à destination. J’essayais de me rhabiller prestement, mais ma salopette était toute trempée. Nous n’étions qu’au premier jour, mais je devinais que d’autres hétéros en manque allaient vouloir me rendre visite...

Dim 31 aoû 2008 1 commentaire
Très excitant, même si cela sent la sueur et la luxure....
dedel90 - le 11/10/2008 à 20h26