Le blog de Lucas
Au lycée, j'étais assez discret sur ma sexualité. Mis à part quelques discussions généralistes sur le domaine, je m'enfermais dans ma chambre pour me masturber chaque fois que j'en avais envie, c'est vous dire ce que j'ai pu passer comme temps dans ma chambre... Mais un jour, ça ne m'a pas suffit: ainsi, entre 12h et 13h30, il m'arrive d'aller me réfugier dans les toilettes et je me masturbe debout: j'adore voir mon sperme gicler un peu partout. Bref, j'essuie le tout, je ressors, et je me sens beaucoup mieux.
Mais un jour, qui allait changer ma vie, est venu: j'ai appris que deux potes à moi se retrouvaient régulièrement chez l'un d'entre eux pour mâter des films X et se masturber. Rien qu'à les imaginer, vous ne pouvez pas imaginer le nombre d'éjacs que ça m'a motivé... D'un côté, il y avait Tim (pour Timothée), brun bien foutu, assez grand, avec un bon potentiel d'imagination jouissive. Puis il y avait Guillaume, beau blond, qui aimait parler de cul mais sans jamais se montrer en action (en même temps, les occasions sont rares). Il avait un beau visage, tout à fait le genre à vous faire jouir dans l'immédiat pour le moindre sourire. Bref, j'ai appris qu'ils se connaissaient donc très bien.
D'ailleurs, cette nouvelle s'est confirmée quelques semaines après: on est tous partis faire un voyage en Italie et la classe était répartie dans plusieurs chambres (évidemment, la répartition n'était pas mixte). Bref, l'heure fatidique du coucher étant tombée, chaque chambrée devait aller se coucher. Mais bien sûr, la soirée n'en finissait pas là: il y avait des concours de branlette entre chambrée: ainsi, tous les participants devaient se masturber, et chaque premier de chambrée devait concourrir contre les autres premiers; en ce qui me concerne, j'ai fini premier, car j'étais le seul à avoir joué dans ma chambre de 3, mes deux autres potes refusant de jouer. Tim, qui était dans la chambre à côté, est venu discrètement frapper à notre porte:
— Alors, ça donne quoi là-dedans?
— Ben, je suis le premier. Et vous?
— Pour nous, c'est bon, mais y'a Antoine qui n'arrive pas à se finir.
— C'est con, ça.
— C'est clair.
La discussion s'est terminée là-dessus. Tout le monde s'est couché, et le petit-déjeuner du lendemain a permis de définir la composition de la chambre des plus rapides. Au final, Tim est arrivé le premier. Qui dit jeu dit effet d'incitation: le premier du groupe avait le droit de demander ce qu'il voulait (de sexuel) au bon dernier. Malheureusement pour moi, j'étais stressé ce soir là, et tout le monde me regarda en train de me vider les couilles. Tim eut donc le droit de quelque chose sur moi. Bizarrement, il attendit la fin du séjour. C'est au cours du retour qu'il me demanda de le masturber dans le bus, discrètement, la nuit. Je l'ai astiqué et il me demanda d'avaler son jus, histoire de le mettre quelque part. Il jouit rapidement, nettoya sa queue dans mes cheveux, et se rhabilla. Puis il ne m'adressa plus la parole jusqu'au retour en cours.
Je repris mes masturbations solitaires, jusqu'au jour où Tim me proposa de venir bosser un exposé chez lui. On a bossé une bonne heure et demie ce mercredi après-midi, quand la sonnette retentit. C'était Guillaume. Il me dit:
— Salut, ça va?
— Heu, oui, et toi? Qu'est-ce tu fous là?
— Ben, je passais au hasard...
Tu m'étonnes. Il était déjà chaud dans son jean, on le voyait au travers. Puis Tim me proposa:
— T'as aimé, dans le bus?
— ...
— Parce que si tu veux, on va mâter un bon porno, là, donc si tu veux te soulager un peu...
— ...
— Bon, écoute, c'est toi qui voit, nous on y va.
Les deux potes s'installent dans le canapé, et lancent un DVD X. Les positions sont chaudes, je bande comme un fou, mais ne bouge pas. Les deux autres compères se déssapent pour sortir leur engin, et commencent à se masturber. Je n'en peux plus, je m'assieds à côté d'eux, baisse mon jean et mon caleçon, et sors ma queue. On aurait dit un rêve. À un moment donné, le beau blond se saisit de la bite de Tim pour la branler vivement. Son propriétaire acquiesca, et saisit lui-même la bite de Guillaume, et la double branlette s'accéléra. Je ne regardais plus le DVD, mais ces deux beaux garçons qui prenaient leur pied ensemble. Tim commença à gémir, puis lâcha un long jet de semence qui permit à Guillaume de s'amener au point de non retour, et qui lâcha à son tour son nectar. Je ne tenais plus. Deux aller-retours en plus, et sous les sourires de mes deux compagnons, je me vide comme jamais avant. Les jets s'enchaînent, j'en fous partout. Mes potes me tendent des mouchoirs, j'essuie ce que je peux, et tout le monde se dit au revoir. Le soir, je peux vous dire que j'ai remis ça!
Le mercredi suivant, Tim me proposa de venir peaufiner notre exposé... ce que nous fîmes, pendant au moins... 10 minutes! Puis Guillaume arriva, et tout le monde s'installa sur le canapé. Guillaume me lança:
— Bon, ça te dit de nous sucer?
— ...
— De toute façon, t'as pas le choix!
Puis ils me sautent dessus, et me présentent leurs membres. ll ne faut pas beaucoup me pousser pour avaler ces queues. Je commence par celle du beau blond. J'avale le gland comme une belle glace et me saisit de la queue de Tim pour entretenir sa forme. Puis je le suce à son tour, branlant Guillaume. Tim se raidit, me retint la tête et éjacula au fond de ma gorge. Guillaume, fortement excité, se vida sur ma joue en me traitant de "bon ami du mercredi". Pour me remercier, ils me firent asseoir, baissèrent mon caleçon et me masturbèrent vivement chacun son tour. Guillaume eut raison de moi et me fit éjaculer dans un verre toute la semence que je pus lui donner. Puis je dus ravaler ma contribution à l'acte.
Ces branlettes continuèrent chaque mercredi. Un jour, Guillaume me suça, mais ça ne dura que 10 secondes, la sauce étant montée instantanément. Une autre fois, mes deux potes avaient ramené trois autres amis à eux. J'étais pas au courant, c'était une mauvaise surprise je trouvais, mais Tim avait l'air au courant. Ils se jetèrent sur moi, me déshabillèrent, et je me suis retrouvé à genoux entre eux, à poils!
— Qu'est-ce que vous voulez?
— Nous, on veut que du plaisir, et notamment le tien...
— ... (j'ai pas trop de répartie)
— Tu vas nous sucer, avaler nos semences, et tu nous diras qui a le meilleur goût.
— Quoi? Mais je peux pas sucer tout le monde! C'est pas que je veux pas, mais il est déjà tard et je dois rentrer, et...
— Avale et tais-toi.
Je me suis ainsi retrouvé à sucer les jeunes bites de mes pôtes, à avaler leur semence. Je gardais Guillaume pour la fin, j'adorais vraiment le goût de cette chaire durcie par le plaisir. J'ai sucé avec plaisir son membre, le menant avec subtilité au point de non retour où il me combla.
Je définis Guillaume comme étant le meilleur goût. Il se donna le droit de me remercier et inaugura mon cul en l'honneur. C'était ma première sodomie et pour lui aussi. Il m'encula vivement pendant que les autres mataient, en se masturbant. Il jouit au fond de moi et proposa à ses potes de faire la même chose. Tout le monde s'est alors essayé à la sodomie, éjaculant par ci par là. Je gardais Guillaume pour moi. Il me suça. Jusqu'au bout. Je pris sa tête, pour tenir mon membre bien au fond de sa gorge. Je me retirai d'un coup sec puis me masturbai sur sa joue et ses cheveux d'or.
C'était le début d'une bonne année scolaire en perspective. Il y eut d'autres mercredi comme cela... peut-être dans une prochaine histoire!