Le blog de Lucas
Quand j'étais à l'armée, j'ai récolté une corvée de nettoyage: je devais nettoyer les douches du gymnase. J'ai dû faire ça tard le soir, après que les dernières équipes soient parties.
J'étais en train de passer la serpillière entre le vestiaire et les douches. Absorbé par mon boulot, j'étais pressé de terminer pour me barrer, je ne voyais ni n'entendais quoi que ce soit. Soudain, devant mon balais brosse, une paire de rangers. Je lève les yeux et je découvre l' adjudant responsable du gymnase. C'était un gars qui impressionnait tous les bleus lorsqu'ils arrivaient: une sorte d'armoire à glace, avec un treillis qui semblait cousu sur lui, les coutures prêtes à lâcher sous la pression des muscles que cachait le tissu. Avec ses manches relevées sur des avant bras puissants et velus, son cou de taureau et les poils qui sortaient toujours de son encolure, il faisait figure de bête. Ajoutez à cela un regard noir et vicelard et une sacré bosse sur le devant du pantalon de treillis que remarquaient même les plus hétéros des nouvelles recrues, et vous aurez une idée de l'impression de virilité que dégageait ce gars. Il peuplait parfois les discussions les plus délirantes des chambrées, juste avant que les feux s'éteignent, mais cette fois, il était là, devant moi.
— Tu vas faire des traces avec tes godasses! Enlève les! me dit-il.
Comme ce n'était pas le genre de gars dont on pense tout de suite à contester les ordres, je m'exécutai. Je n'avais pas fini de quitter la première rangeo qu'il ajoutait:
— Et tant que tu y es, déssape-toi complètement. T'as l'air pas mal foutu, tu peux te permettre.
Un moment plus tard, je passais donc la serpillière complètement à poil. L'adjudant s'était mis dans un coin du vestiaire, appuyé au mur. Je risquai un regard en coin; ce salaud était en train de se caresser la braguette. Il y allait carrément: sa grosse main pétrissait un bon kilo de viande!
— T'as un beau cul, dit-il tout d'un coup.
Je le regardais et mon regard glissa vers sa braguette. Il avait lâché son morceau pour arranger son col. La bosse sur le devant du pantalon était impressionnante. Sans la moindre gêne, il se mit alors à faire glisser la fermeture-éclair de sa braguette et sortir avec beaucoup de peine un sexe énorme, à la peau un peu foncée, jaillissant de quelques poils noirs. Il se mit à se caresser d'une main tandis qu'avec l'autre, il passait et repassait ses doigts dans la toison épaisse qui recouvrait ses pecs, larges comme des assiettes. Je me remis à mon travail, me demandant comment j'allais pouvoir cacher l'érection qui montait entre mes cuisses.
Au bout de très peu de temps, il se planta à nouveau devant moi, mais cette fois il était nu. Ses cuisses de rugbyman, poilues, semblaient soutenir avec peine deux énormes boules de poils et ce sexe tendu vers le plafond, décalotté, au gland luisant. Il m'ordonna de le sucer, ce que je fis immédiatement, surpris tout de même que je ne puisse prendre la bête en entier dans ma bouche. Je manquai vomir plusieurs fois tant ce gourdin allait loin dans ma gorge. Il me donnait le rythme en tenant ma tête. Il me lima dans la bouche de longues minutes puis il s'allongea sur le dos sur un banc, et m'attira sur lui en 69.
Alors que je reprenais avec ardeur mon travail buccal, il disposa mes cuisses sur sa poitrine et se mit à me bouffer le cul de manière goulue, violente. Je sentais à peine sous mon ventre et ma poitrine, ses poils épais tant il me donnait du plaisir avec sa langue et ses lèvres. De mon côté, je tenais à pleine main son sexe dur, chaud, sur lequel allait et venait ma langue. Je ne sais plus combien de temps ça a duré. Je sais qu'à un moment je me suis retrouvé à quatre pattes sur le sol; il me donnait de tels coups de reins que chaque fois mes mains et mes genoux avançaient sur le carrelage, sans parler de cette impression que j'avais de me faire défoncer par un bulldozer. Il donna libre cours à son rut une partie de la nuit et me laissa sur le sol, usé, épuisé, souillé de longues traînées de sperme gluant.
Une fois rhabillés, il me donna en guise d' au revoir une pelle longue et baveuse qui finit de m'étourdir.
Par la suite, il m'a invité plusieurs fois dans sa piaule. Il a abusé de mon admiration pour son corps, de mon dévouement à son plaisir, mais ça c'est une autre histoire!