Le blog de Lucas
Si ses premières questions étaient assez anodines, très vite il aborda des sujets plus personnels. Lorsque je lui ai dit que j'étais du genre assez stressé, il a commencé à me poser des questions plus orientées:
— Je suis assez peu sûr de moi...
— Complexé?
— On peut dire ça, oui!
— Vous m’avez pourtant l’air d’être très intelligent et votre physique est plutôt avenant...
— Justement! Je sais que mon physique attire les regards... et j’ai d’énormes difficultés à affronter le regard d'un autre sur mon corps.
— Vous avez une petite amie, une amie tout court?
— Non... pas pour l’instant...
— Le stress peut-il provoquer chez vous... des érections?
Immédiatement, j'ai rougi et sentis mon sexe grossir un peu.
— Euh... oui, ça est arrivé...
— Bien. Voyons cela! Otez votre chemise et allongez-vous ici...
Il a procédé à un examen tout à fait ordinaire. Je n’arrivais pas à me détendre et il m’en fit la remarque à deux reprises:
— Avez-vous peur de moi?
— Non...
— De tomber de la table d’examen alors?
J’ai levé les yeux. Je tenais les bords de la table en serrant.
— Ça aiderait vraiment si vous pouviez vous détendre.
— Je vais essayer!
Il s'est penché au-dessus de moi pour me palper le foie et, comme il se collait contre le bord de la table, ma main a touché son corps au niveau de son sexe. J’ai senti une bosse bien dure au niveau de son bas-ventre. J’étais encore plus troublé. Lui continuait sans marquer la moindre émotion. Il a continué à me palper le ventre et il a changé d'endroit en frôlant ma main. Lorsqu'il a eu fini ce premier examen, il a déboutonné la ceinture de mon pantalon en m'expliquant qu'il trouvait que j’étais noué au niveau du ventre et qu’il voulait aussi palper mon pubis.
— Il faut être prudent avec ce genre de symptômes!
Il a glissé sa main sous la ceinture. Mon slip était tout gonflé à cause de mon début d’érection. Mon pantalon accusait une légère bosse révélatrice. J’aurais pu être mal à l’aise. Comme j’avais constaté qu’il bandait lui aussi, je me sentais assez à l’aise...
Il s’est éloigné de moi pour aller noter quelque chose dans mon dossier. Quelques instants après, il est revenu:
— Pourriez-vous enlever tout à fait votre pantalon?
Ce que j’ai fait sans rechigner. Il a fait glisser ses mains à l’intérieur de mes cuisses. À partir de ce moment là, j'ai un peu perdu le contrôle de moi-même. Il faut dire que je suis très sensible de cet endroit-là. Mon érection a encore pris de l’ampleur. J’ai vu un léger sourire sur ses lèvres. Il a fait glisser ses mains vers mes mollets. Il avait pris conscience de l’infinie sensibilité de l’intérieur de mes cuisses. Il a soulevé mes jambes pour vérifier mes articulations: genoux, chevilles... Il a finalement décidé de revenir vers mes cuisses. Sa main droite a effleuré la bosse de mon slip. J’ai poussé un long soupir et mon pénis s’est glissé sous l’élastique de mon slip. Je redoutais que le gland ne sorte tout à fait pour venir pointer vers mon nombril. Le médecin ne pouvait plus rien ignorer de l'effet que me faisaient ses attouchements.
— Dites-moi, vous êtes très sensible!
— Plutôt, oui!
Ses palpations sont peu à peu devenues des caresses et je me suis mis à me tortiller sur la table d’auscultation. À plusieurs reprises, mes fesses se sont soulevées de la table. Le médecin a profité du fait que je soulevais les fesses pour glisser un ou deux doigts entre mes testicules et mon anus. Il a doucement caressé mon périnée. Toujours accroché aux bords de la table, je gémissais de plaisir comme une pucelle.
La suite est arrivée très vite et sans commentaire. Son pantalon est allé rejoindre le mien sur la chaise et nous avons frotté nos bosses l’une contre l’autre. C’était divin! Son gland est apparu et j’ai pu constater qu’il était monté comme un âne.
— Tu aimes? m’a-t-il demandé.
— J’adore.
— Tu peux en faire ce que tu veux...
Sans hésiter, je me suis agenouillé et j’ai embouché sa grosse queue raide. De la mouille coulait le long du méat et j’y ai passé la langue. J’étais très excité. Il a poussé sur ma tête pour que j’avale son engin jusqu’à la glotte. J’étouffais presque sous ses coups de butoir et j’ai dû faire un terrible effort pour ne pas vomir.
— Pompe bien...
Ma langue titillait le gland puis avalait la hampe qui entrait complètement dans ma gorge. Avoir ce morceau de chair en bouche me donnait des frissons de plaisir. Je le laissais coulisser entre mes lèvres avec le même plaisir qu’un enfant qui savoure un sucre d’orge. Je pinçais les lèvres et il soupirait de plaisir.
— Tu suces mieux que ma femme! dit-il en extase.
Sucer une queue est un vrai art et il est certain qu’un mec est beaucoup mieux placé pour savoir ce qui fait grimper un autre mec aux rideaux. Après la pipe, il a voulu m’enfiler et là aussi, je ne me suis pas fait prier. Un sexe bien dur me comble autant à l’arrière qu’à l’avant. En appui contre la table d’auscultation, j’ai tendu la croupe et il s’est planté en moi. Il était très excité; en manque peut-être? Il y a des hétéros qui comblent leur manque de sexe avec des putes, d’autres avec des gays. Le mien semblait apprécier les culs. Il caressait le mien et le claquait en le pilonnant vigoureusement. Il était sur le point de jouir lorsqu’il s’arrêta:
— J’aimerais faire ça dans un lit.
— Je vis seul...
— Génial! Je pourrais passer chez toi d’ici une heure. Je n’ai plus qu’un patient après toi.
Moi, je n’ai pas osé lui dire que c’était le fait de me trouver dans son cabinet qui m’excitait le plus. On s’est encore un peu pelotés et puis je suis rentré chez moi. Je l’ai attendu une petite heure...
Ce soir-là, il a dû inventer un gros mensonge pour sa femme car on a baisé plus de deux heures. Il m’a sucé puis limé virilement. J’ai joui deux fois... presque trois... Il m’a vidé les couilles et moi, j’ai asséché les siennes. Depuis, il vient chez moi deux fois par semaine et il me baise comme sa salope. Il est doué, l’enfoiré!