Mercredi 2 septembre 3 02 /09 /Sep 22:20

J’ai crée une véritable pépinière de bons copains, plus beaux et frétillants les uns que les autres. Luc est mon préféré, celui qui s’est montré le plus motivé, volontaire et doué. Nous avons découvert tranquillement ensemble ses envies profondes et secrètes. Son truc, c’est d’être commandé, d'obéir. Il m’a permis de découvrir le pouvoir que l’on peut exercer sur un autre.

Je suis devenu jaloux, de ses yeux qui partaient dans le vague, de son visage ravagé et contracté par l’attente, la surprise, la douleur et le plaisir que je lui infligeais. À force, j’ai voulu, moi aussi, devenir l’objet privilégié d’un fou.

Ce samedi il faisait très chaud. Même si on ne bougeait pas, on transpirait à grosses gouttes. C’était la première journée si chaude de ce mois de juin. Ça m’a rendu heureux dès le lever. J’ai décidé d’aller au lac. C’est un endroit aménagé pour la baignade. Je sais que l’eau n’y sera pas encore très chaude, c’est ce qui me plaît. J’ai l’expérience de cette lourdeur qui me permet de me baigner dans de l’eau qui pourrait être aussi froide que celle de l’arctique. Il y aura peu de monde; la majorité attend que l’eau soit plus chaude. Moi ça m’excite ce contraste. Ressortir, couvert de chair de poule. C’est vivifiant.

Les quelques kilomètres que j’ai à faire en vélo sous la morsure de ce premier soleil me font dégouliner de transpiration. Ça ne me gêne pas, au contraire; le moment où je plongerai dans l’eau n’en sera que meilleur. Mais, c’est une autre idée qui titille ma tige enfoncée dans mon maillot de bain bleu électrique sous mon short. Je sais qu’il souligne mes formes tendres et généreuses. J’ai conscience de vouloir rencontrer quelqu’un qui saura me guérir de l’irritation que me cause Luc avec sa trop sage servilité. Je sais qu’il y aura un regard de chasseur qui dès mon approche, me scrutera.

Je pose et fixe à mon vélo un antivol. Je me sens déjà observé. C’est pour ça que je suis venu. Rencontrer le propriétaire d’un regard envieux qui m’intéressera. Je le sens sur moi, comme les rayons du soleil. J’arpente la plage à la recherche d’un endroit où me poser. J’étale ma serviette, je me dévêtis. Je me dirige vers l’eau, j’y entre en faisant le numéro du mec qui hésite, qui prend son temps. Elle est très fraîche, surtout au niveau du bas-ventre.

Je l’ai déjà repéré, seul, sur sa serviette, ne ratant rien de mon immersion. Ça accentue mon plaisir. Je sais d’avance qu’il ne ratera rien de ma sortie, le maillot gorgé d’eau fraîche qui soulignera mes belles formes. Il me trouvera parfait. La fraîcheur de l’eau sur ma peau ravivera mes jeunes muscles, tendus par mes quelques bornes en vélo, et mes brasses joyeuses. Je croise son regard. Il ne sait pas que c’est moi qui le choisis. Je m’offre à sa vision. Je lui fais le numéro de celui qui prend le temps et recherche des visages connus parmi les courageux baigneurs.

Je vais reprendre mes affaires et m’installe tout près de lui. Un jeune homme bien fait qui rêve comme moi, sur cette plage de cailloux, d’une rencontre imprévue, secrètement désirée.

—  - Alors, elle est bonne? - Oh, ouais, j’aime bien, quand il y a peu de monde et qu’elle est bien fraîche... tu te baignes pas? - J’y suis allé.

Il pose sa main sur ma cuisse.

—  - C’est vrai qu’elle est fraîche.

Je lui souris, il comprend ce que je suis venu chercher. Sa main reste sur ma cuisse et s’y promène doucement, avec calme et chaleur. C’est ce genre de gestes que je souhaitais me voir offrir. "Ben le terrible" ne s’est pas trompé.

Il me propose de me faire découvrir un super endroit tranquille, pas très loin de l’autre côté du coude que fait le plan d’eau. Ce n’est pas surveillé. Nous avons juste à faire cinq minutes de voiture sur un petit chemin qui le contourne et traverser un parc à vaches pour une baignade au naturel. Est-ce que ça me tente?

—  - Cool! Mais J’ai mon vélo! - Tu peux le laisser là! Ça craint pas. Ou on peut, en baissant les sièges de ma petite voiture, le transporter. Après je pourrai te déposer où tu le souhaiteras. - J’aimerais autant qu’on l’embarque. - Ok, let’s go!

En nous dirigeant vers sa voiture, il me raconte qu’il a 20 ans. Il étudie l’histoire. Il m’a confirmé qu’il m’avait déjà vu l’année dernière.

On a chargé le vélo. Je suis monté à côté de lui dans la voiture. Je suis resté en maillot de bain. Il a pris son temps pour démarrer, il m’a détaillé de la tête aux pieds. Ça me plaisait bien. Il n’y avait personne sur le petit parking et on n’était pas pressé. Il était plein, ce jeune étudiant, de désirs, de promesses, de fureur. Des choses qui passent, étranges dans un simple regard, qui me tenaillaient autant qu’à lui. Il a manifestement du mal à démarrer. Il doit se demander si il rêve. Il était auparavant dans la simple idée de prendre le frais entre deux cours, des écrits en retards, des livres à lire.

—  - Ben, tu es... un garçon surprenant. - C’est peut-être pour ça que l’on me surnomme: "Ben le terrible".

Sur ce, il a démaré, enclenché une vitesse, roulé au pas et promené sa main sur mon corps. Ma bite avait réagi avant ses douces et tendres caresses. Nous progressâmes tranquillement pour rejoindre un petit chemin. Sa main me découvrait partout. Tant que cela ne l’empêchait pas de veiller scrupuleusement à notre route, pas de problèmes. J’avais hâte d’être arrivé et de retourner dans l’eau. J’étais excité mais j’avais surtout très chaud.

Il se gara dans l’herbe à l’abord d’un champ. Je suis sorti de la voiture, ma bite désespérée tendait le tissu de mon maillot de bain. J’ai pris mes affaires, lui les siennes. Nous passâmes la clôture et après, il se tourna vers moi pour faire courir ses doigts sur ma peau et la bosse qui déformait mon maillot. C’était si bon que je serais bien resté là à me faire tripoter mais la chaleur cruelle m’appelait à aller au plus vite me rafraîchir. Je me sentais vivre un moment de bonheur et de liberté intense. Je sentais que ce petit gars était bouleversé, entre y aller tranquillement ou me sauter dessus. Bien qu’il ait remis son jeans et son tee shirt, je devinais facilement la barre et la tension qui s’animait dessous.

Au bord de l’eau, nous balançâmes nos affaires. Je me suis jeté illico dans l’eau. J’en ai ressenti et exprimé avec grands cris un bonheur sauvage. Mon étudiant se bagarrait avec son jeans, vira tout, slip compris et me rejoignit nu, sa belle bite tendue vers l’eau comme une bête assoiffé. Il plongea, magnifique. J’ai feint de lui échapper en quelques crawls. Puis, je l’ai laissé me rattraper. Je lui ai demandé de m’attendre, le temps d’aller enlever également mon maillot. J’ai pris ceci dit le temps de me frotter à lui, le temps de sentir l’énorme barre gorgée de désir qui s’animait entre ses jambes fortes et vigoureuses. C’était un beau spécimen.

Il stationnait dans l’eau et criait: "Yeah, yeah, yeah... come on!" J’enlevais mon maillot en jouant au type prude. Je lui donnais à voir dans un premier temps mes fesses. Je me suis retourné et me suis exposé nu. Puis comme si il n’était pas là, je suis entré tranquillement dans l’eau. Il fonça sur moi et m’attira contre lui avec force et m’embrassa. Je me suis laissé aller à son baiser passionné. Il promena ses mains sur tout mon corps. Je sentais sa bite dure contre la mienne. Elle chercha à s’insinuer entre mes cuisses. Je les ai écartées légèrement et, j’ai emprisonné sa tige durcie juste sous mes couilles. Il se collait à moi, me portait, aidé par l’eau. Sa bouche cherchait la mienne. Sa peau était aussi douce que la mienne. Il m’embrassait langoureusement. J’étais gagné par une excitation que je n’avais jamais encore ressentie. Nous décidâmes de ressortir de l’eau.

Nous étions nus, en érection, seuls au monde. Nous étendîmes nos serviettes et mon étudiant, qui s’appelait Olivier, me déclara qu’il allait me faire jouir grave, qu’il n’avait jamais rencontré un aussi beau garçon. Je me suis allongé sur ma serviette. Il a repris la découverte de mon corps, que le soleil n’avait pas eu encore le temps de réchauffer, avec sa langue chaude et vigoureuse. Je me laissais aller à elle et aux rayons de l’astre généreux. Il se montra talentueux. J’étais comblé. Il agaçait maintenant le bout de ma tige qui n’avait pas débandé depuis ma rencontre avec lui. Il jouait de mon plaisir, prolongeant avec savoir ma tension et mon attente comme jamais on ne me l’avait fait. Je venais de rencontrer un garçon bon et intelligent, qui devinait mes envies. Je priais de ne pas devoir faire autre chose que de le laisser faire. J’étais bien, sur ma serviette, nu, au soleil, avec sa bouche charmante. Il semblait aux anges cet adorable grand garçon. Il prenait manifestement beaucoup de plaisir à s’occuper de moi. Je le lui rendais à ma façon, en bandant comme jamais.

C’était vrai j’avais l’impression que ma bite allait exploser, qu’un geyser de sperme allait en jaillir s'il continuait à m’agacer le bout avec autant de conviction. Il râlait mon petit étudiant, s’affolait en me léchant et me tripotant. Je lui plaisais grave. Il s’arrêta, se rejetant à plat dos sur sa serviette. Je devinais qu’il voulait se reposer de toutes ses attentions et voir si je pouvais à mon tour lui garantir quelques plaisirs. Je ne me suis pas privé de promener mes mains sur son corps tendre, bien que plus adulte que le mien. Mais à part plus de poils sur le pubis, finalement, je me défendais bien, voire mieux. Je l’ai déjà dit, j’ai un sexe qui a enthousiasmé beaucoup de mes petits camarades.

Olivier s’est tendu, offert à mes caresses. Je n’ai pas prolongé trop longuement. Je voulais qu’il garde son énergie pour moi. Il l’a fait sans que l’on se parle, un mouvement naturel, une posture, une forme de plaisir personnel. Juste me laisser faire, ne pas être à l’initiative. Il s’est emparé de mon sexe et m’a sucé. Il l’a fait avec dévotion, soucieux de mon plaisir, en oubliant le sien. Il m’a pompé et salivé sur le nœud comme si sa vie en dépendait. Je n’étais que sensations brutes et terribles. J’ai joui en criant, en me cambrant, il ne m’a pas lâché, il ne fallait pas. Il m’agrippait aux fesses, aux cuisses, me palpait avec force. Sa bouche m’absorbait la tige complètement et avidement. J’ai joui comme jamais. L’étudiant semblait savoir et comprendre.

Il s’empoigna la queue se caressa et se masturba. Il me laissait libre de participer ou pas au plaisir qu’il voulait aussi obtenir. J’ai apprécié son attitude et je n’ai pas hésité à me saisir de ses couilles lourdes, les lui caresser et avec ma bouche, lui gober ses tétons, que j’ai même pincés entre mes dents, comme ceux de Luc. Il s’est branlé devant moi, sous mes caresses, comme une sorte d’offrande à notre première rencontre. Il a éjaculé en hurlant comme un loup, à la force de son poignet et de mes caresses que je pensais expérimentées, en tout cas suffisantes pour le faire jouir. Il a braillé.

J’ai bien fait de lui demander d’embarquer mon vélo, cela ne venait que de commencer entre nous. Dans son appartement m’attandait un tas de gadgets sympathiques...

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : Gay
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