Mercredi 13 mai 3 13 /05 /Mai 21:57

Cette histoire s'est passée en 2008. C’était un vendredi... en février...

Ce jour-là, croyez-moi, j'ai pris dans mon cul une queue énorme, très large. C’était vraiment la plus grosse bite que j'ai jamais vue: la bite de mon coiffeur. J'allais régulièrement à son salon et j'avais remarqué que je ne lui étais pas indifférent. Yves ne s’était jamais caché de son homosexualité et il nous arrivait de parler de ce sujet à l’occasion. Pour lui, j’étais un «bi» très tentant.

Un soir, étant le dernier client, il me fit asseoir dans le fauteuil et me dit:

— Il est l'heure de fermer, je vais baisser le rideau. Je suis épuisé par cette longue journée et je n’ai pas l’intention de prolonger plus tard.

Il me demanda comment je voulais être coiffé, passe ses mains sur mon cou et me caresse les épaules. Il les massa même un peu. Voyant que je ne protestais pas, il continua à me tripoter tout en parlant. Immédiatement, mes bouts de seins – je suis hyper sensible de ce côté! - se dressèrent et je sentis ma queue se raidir. Yves avait dû ressentir mon émoi, mon état fébrile. Il tourna le fauteuil, se pencha et m'embrassa. Il glissa sa main entre mes cuisses qui s'ouvraient en compas. Il commença à me caresser l’entrejambe et siffla d’admiration.

— Si j’avais su que c’était si gros! J’aurais jamais attendu si longtemps!

Il voulait que j’entre dans l’action et il posa ma main sur sa braguette et, à mon tour, je sentis une énorme bosse. Malgré les grosses bites que j'avais déjà rencontrées, je n'avais jamais vu une énormité pareille.

— Tu aimes les grosses, toi aussi?!

— J’adore!

— Sors-la de sa cachette!

J’étais tout excité à l’idée de voir la taille de son membre. J'ai ouvert son pantalon comme un automate et j’ai sorti sa queue. Son mastard, oui! Je n'en croyais pas mes yeux! Il souriait en constatant mon étonnement.

— Et je ne te raconte pas la sensation lorsqu’on l’a dans le trou de balle!

Sa bite était vraiment énorme, d'un diamètre exceptionnel, large comme une cannette de bière, d’au moins 8cm de diamètre sur 25. J’étais hyper excité par cet engin de science-fiction.

— Suce-moi, mon garçon! Tu dois être doué pour ça!

— Hé, je suis doué pour tout...

— C’est ce que tu vas me montrer!

Il se redressa et présenta sa queue devant mon visage.

— Putain, Yves! J'adore sucer une bite et une de cette taille m'excite encore plus.

— J’en suis ravi!

J'ai voulu me montrer directement à la hauteur et j’ai ouvert la bouche toute grande pour gober ce monstrueux tuyau. J’ai commencé à le sucer comme jamais je ne l'ai fait.

— Oh la, du calme... J’ai pas envie de jouir trop vite! Calmos!

J’ai repris mon travail doucement en engloutissant un maximum de son membre dans ma bouche.

— Aaahh! Tu suces comme une vraie salope!

— Ça je le savais déjà!

— Oui, mais moi pas!

Je me régalais à sucer cette énorme queue. Mon esprit s’est un peu mis à vagabonder et j’ai imaginé l’engin dans mon anus.

— Elle est énorme, Yves! Tu arrives souvent à enfiler des culs avec ça?

— Tu rigoles? Je fais ça presque tous les jours et plutôt deux fois qu’une.

— Si tu m'encules, ta bite ne rentrera jamais dans mon cul. Je suis trop serré!

Il s’est mis à rire. D'un coup, il a sorti sa queue de ma bouche, a passé ses mains sous mes cuisses et m'a arraché mon pantalon et mon slip.

— Je déteste laisser un mec dans le doute! Tu vas voir de quoi il retourne! Assieds-toi sur le fauteuil et mets tes cuisses sur les accoudoirs, je vais te lécher la raie!

Je suis bien ouvert en sentant sa langue qui m'écartait le cul, s'enfonçait dans mon conduit serré. Je gémissais.

— Ahh ouiiiiiii, c’est boooon!

— Tu n’es pas au bout de ton plaisir...

Je jouissais comme une salope, surexcité en voyant sa monstrueuse queue, raide comme un gourdin. Je savais que j’allais la recevoir à un moment ou un autre. Il pointa à nouveau sa langue sur mon anus et commença à l'enfoncer à petits coups dans mon trou qui s'ouvrait tout seul.

— Cette fois, je n’en peux plus, Yves! Baise-moi! Je veux ta queue! Je veux ta bite, ta grosse bite, ta grosse tige, ta saucisse...

— Calme-toi, mon lapin! Tonton Yves va t’engrosser. N’aie aucune crainte là-dessus!

Il me caressa le trou avec son énorme gland, le glissa entre mes fesses et le poussa en moi. Je gémis en sentant son énorme pieu m'écarter l’anus.

— Aahh! Quelle est bonne ta grosse queue!

— Tous les mecs en raffolent! Tu as beaucoup de chance de l’avoir ce soir! Il m’est impossible de tous vous satisfaire. Vous êtes si gourmands. N’est-ce pas que tu es gourmand?

— Je suis glouton, Yves!

— Je le sais.

Il me baisa à grands coups de bite, comme un salaud de violeur. Je sentais ses grosses burnes qui tapaient contre mes fesses à chaque fois qu'il s'enfonçait en moi.

— Putain, Yveeees! Je jouis comme une salope!

— Pas trop vite... Tu aimes sentir coulisser mon vit en toi?

— Oui.

— Alors déguste!

— J'adore me faire enculer, mais ta queue est trop grosse! Elle provoque de trop fortes sensations... C’est trop difficile de retenir sa jouissance!

Il se cabra un peu pour me montrer sa supériorité.

— Je t’interdis de jouir maintenant.

Je sentais mon anus écartelé et son pieu énorme me dilatait le ventre.

— Ooh! Tu me déchires!

— Je te défonce. C’est ce que tu mérites!

Il donna un coup violent. Je sentis ses couilles contre mes fesses.

— Voilà, je suis au fond! Il me semblait que tu n’y croyais pas...

Je n'en croyais pas mes yeux: j'avais pris sa monstrueuse bite toute entière dans mon cul. Il continua à m'enculer à grands coups de bite.

— Aah! Qu'elle est grosse! Qu’elle est bonne! Encule-moi comme salope! Défonce-moi le cul, salaud! Ne la sors plus! Envahis mon anus béant! Casse-moi le cul!

Il semblait apprécier mes commentaires et il m'enculait comme un fou. Il m'empalait sur sa gigantesque bite en me criant:

— Tiens, salope! Prends-toi ça dans ton cul de salope! Je vais jouir dans ton cul. T’engrosser comme une pute. T’es qu’une pute à coiffeurs! Dis-le!

— Je suis une pute à coiffeurs! Je veux leurs bites!

Il m'a enculé pendant plus d’une heure, et d'un coup, il m'a rempli l'anus de son sperme. Enfin, la capote qu’il avait déroulée sur sa queue! Je ne me suis plus jamais fait enculer par une bite de cette taille depuis ce jour-là.

— Tu reviendras?

— Pour une coupe?

— Non, pour une saillie!

— Oui, je crois... Je veux encore que tu m'encules avec ta grosse queue!

Je suis rentré chez moi, avec mon trou du cul tout excité. Mon coiffeur a déménagé trois mois plus tard sans que j’aie l’occasion de...

Dommage!

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : Gay
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