Dimanche 12 avril 7 12 /04 /Avr 11:28

Depuis bien avant ma naissance, le temps de la chasse aux cerfs est une tradition, en novembre, parmi les hommes dans notre famille. C'est un rituel masculin des Ardennes belges dont les femmes sont exclues, un temps où les hommes gagnent le fond des bois pour camper et chasser ensemble.

Imaginez une dizaine d'hommes, des jeunes et des entre-deux âges qui chassent, boivent, parlent entre eux de sexe toute la journée et qui, une fois la journée passée, campent dans de petites tentes pour y dormir comprimés les uns contre les autres.

Après quelques années d'attente, je suis devenu assez âgé pour me joindre à eux. J'étais considéré comme assez habile pour manier la carabine et mûr pour participer aux conversations impudiques ainsi qu'aux insinuations qui remplissent les journées des hommes qui vivent en groupe.

Finalement, un matin, notre petite caravane de camionnettes et de voitures est partie pour la chasse. Par anticipation, je me suis demandé bien souvent comment allait se dérouler la semaine à venir.

Je m'appelle David et j'ai seize ans. Mon corps vient tout juste d'aborder le début de sa maturité. Le mélange des membres de notre famille a produit un très bon capital génétique. Ma mère est italienne basanée aux cheveux noirs avec des traits tranchants et des yeux olive verte. Mon père est grand, 1.90m, de type norvégien avec des cheveux blonds et un bronzage d'or.

Ma poitrine forme juste une amande avec de tout petits poils blonds qui tourbillonnent sur mon estomac. Déjà mon entrecuisse et mes jambes sont couvertes d'une épaisse couche de poils qui descendent vers le bas. Mon sexe en érection mesure 16cm et ne présente aucun signe de ralentissement de croissance. À peine, puis-je juste l'entourer complètement de mes doigts!

Le premier jour de notre arrivée à notre terrain de camping, nous avons consacré la matinée à nous installer. Une tente centrale était destinée à la cuisson et à se rencontrer pour prendre nos repas. Tout autour, étaient plantées cinq tentes plus petites dans lesquelles nous devions dormir deux par deux.

J'étais heureux de voir que je n'étais pas le seul nouveau venu. Il y avait mon cousin et le jeune mari de Linda qui se prénomme Kevin. Je me demandais comment son nouveau sang affecterait l'apparence de la famille. Il était d'origine irlandaise, robuste, avec des cheveux roux clairs, une peau sans défaut et les yeux verts.

Nous finissions juste dîner lorsque Kevin décida d'aller dormir dans la tente encore en désordre. Il était le premier à se déshabiller.

J'ai dû réprimer un sursaut quand son tee-shirt ramené au-dessus de sa tête m'a révélé une large étendue de poils roux qui couvraient sa poitrine et son ventre. La chose la plus belle que je n'aie jamais observée de lui, c'était, entre ses mamelons, des poils épais qui couvraient approximativement dix centimètres de surface de peau.

D'où je me trouvais, au pied du lit de camp, j'avais une vue parfaite de son entrejambe au travers de son petit slip visiblement bien rempli. Ses deux noix énormes et velues se dessinaient parfaitement. Quand à sa bite elle paraissait de bonne longueur car elle était près de jaillir spontanément de la limite du petit slip. Elle devait donc être de très belle dimension!

Nous étions tous tellement fatigués que la première nuit, je ne me souviens même pas de m'être couché. Mon partenaire pour la chasse était le plus jeune frère de ma mère. Il s'appelait Tony. Juste avant l'aube, il me secoua pour me réveiller. Il était déjà habillé et prêt à partir.

En entrant dans la tente centrale toujours en désordre, j'ai aperçu mon Oncle Jeff qui préparait la cuisine. Il m'a dit qu'il n'avait pas été en mesure de réveiller Didier un cousin et m'a demandé d'aller le secouer. Il m'avertit que cela ne serait pas facile car ils avaient discuté très tard avant d'aller dormir. Après avoir traversé notre petit camping, je suis arrivé à la dernière, tente, celle de Didier, et y suis entré. Ma première perception fut une odeur, un fort parfum d'hommes virils.

J'ai alors, fait une double constatation.

Didier dormait sur le dos, son sac de couchage baissé jusqu'aux genoux. Il devait connaître les derniers moments d'un rêve érotique car son sexe était en pleine érection! Un sexe d'une très bonne grosseur, sûrement près de 7 centimètres. Quand à la longueur, il lui arrivait presque jusqu'au nombril.

Dans son sommeil, Didier donnait de petits coups de reins comme s'il avait fait l'amour à une autre personne. Tout à coup, devant mes yeux ahuris, il a lâché avec puissance ses premiers jets de sperme. Il lui en arrivait dans les poils de sa poitrine et un jet a même atteint sa joue, en travers de ses lèvres et dans la fissure profonde de son menton

Sa poitrine éclaboussée ruisselait de sperme; les poils étaient complètement mouillés de ce jus. La grande mare qui avait rempli son nombril s'écoulait des deux côtés de son abdomen.

Il dormait encore très fort et je ne voulais pas le réveiller. Donc j'ai attrapé une serviette proche. Après quelques moments passés à l'éponger, la serviette était joliment bien trempée de sperme. Didier était maintenant près de se réveiller. Ses yeux se sont enfin ouverts et, en clignant, il m'a regardé tout en prenant conscience de ce que je terminais de faire avec la serviette. Il m'a souri timidement et dit quelques plaisanteries maladroites au sujet du manque de femme ou quelque chose de similaire. Je ne m'en souviens plus très bien.

Mes pensées alimentées par ce que j'avais vu de Didier m'ont gardé si excité toute cette journée que mon esprit n'était pas trop porté sur la chasse. Mon oncle Tony n'a pas paru y faire très attention; finalement les heures sont passées assez vite.

Après le dîner qui avait été très vite pris, je pouvais attendre pour voir sans peine mon oncle Tony se déshabiller et ce soir je n'étais pas somnolent. Il avait cet extraordinaire corps d'italien sombre. À 18 ans, son corps approchait le sommet de sa maturité et je dois dire que je le trouvais vraiment superbe.

Des poils noirs lui couvraient la poitrine ainsi que la partie charnue de la peau du ventre strié. En dessous, les jambes étaient également velues. Même les pieds et les orteils étaient couverts de poils merveilleusement sombres.

Il portait un éblouissant petit slip blanc et le monticule du devant était rempli par un pénis d'apparence douce ainsi que de belles balles. Je pouvais facilement deviner ce qui se cachait derrière cette étendue mince de tissu, sûrement un gros sac de balles velues montées l'une à côté de l'autre sous une bite qui tenait à peine dans ce slip. S'il avait toussé ou même s'était raclé la gorge cette verge serait certainement sortie seule de ce petit sous-vêtement magnifique.

Il faisait vraiment plus froid cette nuit et quand Tony s'est glissé dans le sac de couchage double, il est naturellement venu se coller contre moi. Il a enveloppé mon corps de ses grands bras musclés et m'a tiré contre lui, doucement. Je me suis mis à frissonner quand j'ai senti toute cette fourrure. Il m'a dit qu'il se sentait bien mieux ainsi, au chaud contre moi. Ce à quoi j'ai répondu que moi aussi, je me sentais bien ainsi. Nerveusement je me suis demandé s'il n'avait pas remarqué l'inquiétude dans le ton de ma voix.

Après approximativement quinze minutes, je pouvais entendre le rythme de sa respiration. Son sommeil était apparemment stable. J'avais mon dos contre lui et pouvais sentir la chaleur de son souffle dans mon cou. Je percevais aussi son monticule chaud qui appuyait sur mon derrière.

J'ai commencé à remuer le cul très lentement et à masser son pénis avec mes fesses. En un instant, j'ai senti son serpent qui se faisait plus épais. J'ai ramené mon slip très très doucement vers le bas tout en sachant qu'il était important de maintenir l'illusion que j'étais toujours endormi. Je l'ai baissé aussi loin que je le pouvais. La tête de son pénis avait sûrement dépassé le dessus de l'élastique de son slip car je pouvais maintenant en sentir le prépuce qui reculait doucement pour laisser sortir la tête du gland au fur et à mesure que sa bite grandissait. Ses hanches ont commencé à se déplacer mais vraiment lentement, presque imperceptiblement. Il coulait tellement de lubrifiant de son méat que bientôt mon cul en fut habilement bien lubrifié.

Je n'avais jamais été baisé auparavant. Pourtant j'y avais pensé et je l'avais souvent souhaité mais jamais je n'avais essayé. Tony était grand et beau. J'allais tenter de le faire s'introduire à l'intérieur de mon corps. J'aimais le sentir s'appuyer sur moi, sentir sa respiration dans mon cou. Je désirais tellement qu'il s'introduise en moi.

Finalement la tête de son pénis s'est placée contre mon anus. Il a dû sentir son gland appuyé contre mon trou ainsi que la dimension de celui-ci. Avec l'aide du lubrifiant qui coulait encore de son pénis, il a poussé et la tête s'est glissée à l'intérieur. Son membre a encore avancé d'à peu près 2 ou 3 centimètres. Je me suis senti labouré! Je croyais éclater.

J'essayais de ne pas crier. Je sentais combien son manche était gros! J'avais peur qu'il me déchire. Mais encore, j'ai essayé de faire semblant de dormir. J'ai découvert, lorsque je soulevais un peu ma jambe droite, que la pression était beaucoup moindre. Finalement l'incommodité s'est apaisée et s'est même transformée en une incandescente chaleur très agréable.

Je sentais enfin son manche fou appuyer ses poils velus contre mes fesses; je savais ainsi qu'il était totalement enfoncé. Là, il devait être long de 20 centimètres au moins et épais comme un poignet; le tout introduit dans mon anus vierge et serré! Au moins ainsi, il s'est rendu compte qu'il était dedans et que j'aimais ça. Presque trop tôt, j'ai ressenti une pression chaude éclabousser mon rectum; je savais qu'il tirait sa charge. Ce n'était pas un orgasme sauvage et passionné mais une déferlante qui m'a procuré une sensation de chaud délice.

Après approximativement dix minutes, son pénis qui n'avait rien perdu de sa dureté a repris des mouvements de va-et-vient de plus en plus longs. Un grognement assourdi se faisait entendre chaque fois que sa tringle baisait mon anus.

Maintenant que la lubrification s'était ajoutée à sa première et massive jouissance, je n'éprouvais plus rien si ce n'est un vif plaisir. La large tête du pénis massait ma prostate et les poils épais du bas de son manche venaient taquiner agréablement mon sphincter.

Comme jamais auparavant, sans avoir touché à mon propre pénis, j'ai joui bruyamment avec de grands et soudains jets qui ont atteint mon visage. Une grande giclée a même surpris ma bouche entrouverte. Le reste des jets a inondé ma poitrine et le sac de couchage. À ce moment, Tony n'a pas su se retenir plus longtemps et a également joui dans mon anus pour la deuxième fois, en longs, très longs jets chauds. C'était vraiment bon de sentir ses salves de sperme chaud en moi.

Il est alors resté sans bouger, collé contre moi, avec sa grande et grosse tringle à l'intérieur de mon derrière. Mais j'en voulais plus! Je lui ai laissé le temps de reprendre son souffle tout en massant de temps en temps son pénis toujours en place afin de ne pas le laisser sortir seul.

Après 15 minutes, je me suis remis à le travailler avec mes fesses, sans arrêter. Ce pénis qui avait un peu diminué de taille (mais pas de beaucoup), n'a pas attendu plus de deux ou trois minutes de ce traitement pour me procurer une sensation de dureté et aussi de longueur comme auparavant.

Doucement, j'ai entendu la respiration de Tony prendre un rythme plus rapide. Il a recommencé ses va-et-vient dans mon anus. Je les sentais plus profonds encore. La main qu'il avait posée sur ma hanche a glissé sur mon bas-ventre et s'est attardée un peu dans mes poils qu'il caressait en petit cercle. Puis doucement, il est allé vers mon pénis qu'il a effleuré du bout des doigts. Cela m'a fait frissonner de plaisir; il a dû le sentir.

Ensuite il a contourné mon sexe pour caresser mon entrejambe tout en remontant vers mes balles qu'il a prises en main et qu'il a massées légèrement. J'en étais tout excité. Il a alors abandonné mes testicules pour venir prendre mon pénis à pleine main. Il a entrepris de me le masser doucement. Je n'en pouvais plus! J'ai joui à nouveau en longues salves. Il s'est alors arrêté de me branler. À mon avis, il a été surpris que je jouisse si vite mais avec le traitement qu'il venait de me faire subir, il n'y avait rien d'étonnant à cela.

Il a gardé mon pénis en main tout en caressant mes balles avec son petit doigt. Il ne fallait rien de plus pour que mon érection reprenne de plus belle. Je pense que c'est ce qu'il attendait! Pendant ce temps, il me labourait l'anus profondément et massait ma prostate avec son gland.

Il s'est alors remis à me masturber. Il avait une manière de procéder bien à lui. Il avait un je ne sais quoi de particulier qui m'excitait terriblement. Il arrivait à faire monter et descendre la peau de mon pénis non circonci, très haut et très bas le long de la tige de mon membre, ce qui avait pour particularité de le décalotter quand il allait vers le bas, et de le re-calotter quand il la remontait.

Après un moment, j'ai senti que ses mouvements commençaient à être légèrement saccadés et j'ai compris qu'il allait encore venir en moi. Ses secousses devenaient de plus en plus rapides. Je l'entendais émettre quelques grognements de plaisir. Je sentais son souffle chaud et rapide dans mon cou. Il recommençait tout comme moi à avoir le sperme qui bouillonnait dans ses balles, signe que nous allions jouir ensemble.

Lorsque j'ai été sur le point d'éjaculer, j'ai accompagné ses mouvements dans mon cul, en pressant mon derrière contre sa bite. C'est à ce moment que nous avons giclé tous deux dans un râle de bonheur. J'ai tellement émis de jets de sperme que je pensais ne plus jamais parvenir à m'arrêter de jouir. Nous étions l'un et l'autre secoués comme par de petites décharges électriques tellement notre plaisir était intense.

Après avoir évacué les dernières gouttes de notre jus, nous avons repris notre souffle, ma queue dans sa main et sa grande tringle dans mon cul. J'étais tellement épuisé que mon manche était devenu flasque et je sentais aussi le sien le devenir.

Il m'a alors donné un petit bisou doucement et tendrement dans le cou. Il m'a dit un merci profond et langoureux et j'ai fait semblant de me rendormir. Dans le fond de mon être, j'étais enfin heureux et satisfait de cette merveilleuse expérience. Ensuite nous avons replongé dans le sommeil, tous les deux dans cette position.

Au petit jour, après que Tony ait retiré son pénis qui avait passé le reste de la nuit en moi et qu'il ait enlevé sa main de mon membre, il s'est habillé. Moi pendant ce temps, je faisais encore semblant de dormir. Lorsqu'il est sorti de la tente, je me suis senti aussi rembourré qu'une dinde de Noël. À tel point que j'ai enfilé mon slip et que j'ai rampé à toute vitesse hors de la tente tout en essayant de retenir la charge déposée dans mon rectum. Cependant, je percevais de petits ruisseaux de sperme épais qui coulaient le long de mes jeunes jambes velues, jusqu'à mes chevilles.

Quand j'ai été assez loin du camp, j'ai baissé mon slip en vitesse et ai laissé sortir ce que j'ai cru être au moins un quart de litre de sperme italien chaud qui avait été injecté dans mon trou pendant que mon Oncle Tony me baisait.

La journée suivante a été comme la première. J'étais tellement distrait que l'on m'a demandé si je le faisais exprès ou si j'étais toujours aussi maladroit. J'ai répondu que la chasse était une nouvelle expérience pour moi, qu'il fallait que je m'y habitue et que j'aimais le contact avec la nature.

Au soir, mon oncle Tony est resté à parler avec un de mes cousins. Il tenait une discussion qui ne m'intéressait pas du tout. J'ai donc annoncé que j'allais aller me coucher espérant qu'il viendrait ainsi plus vite. Après une demi-heure à les entendre bavarder bruyamment au travers la toile de la tente, je me suis levé pour leur demander de parler plus bas.

Mais à ma grande surprise, mon cousin m'a dit que si je le voulais, je pouvais aller dormir dans la tente avec Kevin. Comme elle était plus éloignée du centre de notre camp que la mienne je ne les entendrais sûrement plus parler. C'est alors que mon oncle Tony m'a dit:

— Oui! Pourquoi pas? Vas-y. Moi je dormirai avec ton cousin Jeff.

Ce faisant, il m'a fait un clin d'oeil qui en disait long sur sa pensée profonde. Je suis donc allé chercher mes affaires et me suis dirigé vers la tente de Kevin. Je l'ai ouverte et l'ai trouvé encore éveillé. Il a allumé une sorte de petite veilleuse. Je lui ai expliqué le pourquoi de mon arrivée dans sa tente et il m'a souri en me disant que j'étais le bienvenu.

Il m'a annoncé que je n'avais pas de crainte à avoir à cause du froid. Comme il n'était pas encore endormi, j'ai pris le temps d'installer mes effets. C'est alors que j'ai observé que les bagages de mon cousin Jeff avaient curieusement disparu. On aurait dit qu'il avait prévu dormir dans une autre tente.

J'ai ensuite commencé à me déshabiller pour la deuxième fois mais cette fois sous le regard de Kevin. Sachant qu'il me regardait, j'ai fait en sorte de mettre en valeur les formes de mon corps. Quand je me suis trouvé en slip, je l'ai regardé et ai vu qu'il rougissait car j'avais remarqué son regard posé sur moi.

Il a essayé de dire quelque chose mais il a bégayé. Il s'est très vite repris en me demandant si je voulais bien mettre mon sac de couchage avec le sien afin de ne plus en constituer qu'un seul. Je lui ai dit que je préférais cette façon de procéder car on avait ainsi plus chaud. Il faut reconnaître que nous étions en forêt, au mois de novembre, et que les nuits étaient assez froides.

Pendant que j'attachais nos deux sacs, j'ai pu apercevoir que Kevin était nu dans le sien. Il a remarqué mon regard et m'a dit que de cette façon on avait plus chaud qu'en sous-vêtements. J'ai lu, je ne sais plus très bien où, quelque chose de semblable et me suis donc mis complètement nu sous le regard de Kevin qui m'a dit, en remarquant mon hésitation, que je ne devais pas avoir honte de mon corps, que j'étais très bien fait et même plus que très bien.

J'ai éprouvé une grande fierté, moi qui n'ai pas encore 17 ans, vous pensez bien! Je me suis alors introduit dans le sac et Kevin a éteint la petite veilleuse qu'il avait allumée lors de ma venue dans la tente.

Quelques petites minutes s'étaient écoulées, quand j'ai senti le sac de couchage bouger vers le haut puis vers le bas et ainsi de suite, assez doucement, mais suffisamment pour que je n'aie plus aucun doute sur ce qu'il faisait. J'ai alors demandé à Kevin ce qui se passait. Il m'a répondu que sa femme lui manquait et qu'il essayait de se soulager en pensant à elle. Je lui ai aussi demandé si elle était dure (bien que je l'aie vue lorsque je l'avais épongée).

Il m'a glissé à l'oreille que si je voulais la toucher pour m'en rendre compte, il était d'accord. J'ai alors faufilé une main en direction de sa bite et suis arrivé dans les poils. Il en avait beaucoup par rapport à moi. Je suis alors descendu en une lente caresse vers sa queue que j'ai empoignée avec ma main droite. Il n'a pu réprimer un profond soupir d'aise.

J'ai alors mis mon autre main autour de ses couilles et lui ai dit qu'il avait un sexe très grand et terriblement dur. Avis dont il m'a remercié. J'ai continué à le tenir par les balles et à l'aide de ma main droite, je l'ai décalotté pour saisir son gland dans le creux de ma main bien chaude. Il a de nouveau soupiré, même un peu plus fort.

Il s'est excusé. Je lui ai demandé de quoi tout en faisant semblant de rien. Il m'a dit que lorsque je le touchais comme cela, ça lui rappelait les mains de sa femme et que de cette manière je lui faisais le même effet.

J'ai alors retiré mes mains de son corps et me suis mis à me branler en signalant que j'allais faire la même chose que lui en pensant à ma petite amie (que je n'ai pas). Je ne lui ai évidemment pas avoué qu'il s'agissait d'un mensonge. Il m'a alors demandé si moi aussi j'en avais une grande et je lui ai répondu qu'elle n'était pas aussi grande que la sienne mais que j'espérais qu'elle le deviendrait bientôt. Il m'a demandé s'il pouvait aussi la toucher.

Je lui ai donné l'autorisation. Il a alors déposé sa main sur ma poitrine et fait un peu comme moi en la laissant descendre vers ma bite tout en me caressant doucement. Il a pris ma tringle en main. À cet instant, tout comme lui, je n'ai pas pu m'empêcher de soupirer. J'étais tellement excité par cette main que j'en avais mal tant je bandais fort. Il m'a demandé si sa main me faisait aussi penser à la main de ma petite amie. Ce à quoi j'ai répondu que j'avais vraiment eu cette sensation. J'avais un peu honte de ce mensonge.

— Veux-tu que je continue à te caresser ainsi pendant que tu penses que c'est ton amie qui te touche?

— Si ça ne t'embête pas cela me ferait bien plaisir! Oui!

— Je n'y vois aucun problème.

Il m'a donc branlé et caressé. Malgré le fait que j'essayais que cela dure, je n'ai pas pu me retenir bien longtemps. J'ai joui sur ses mains, sur moi, enfin un peu partout. Il m'a branlé jusqu'à ce que la dernière goutte de sperme soit sortie de ma bite. J'étais aux cieux et heureux.

Il a alors retiré ses mains et s'est couché sur le dos.

— Si je te fais la même chose est-ce que ça te ferait plaisir?

— Oui, lança-t-il avec émotion.

On aurait dit qu'il attendait cela depuis très longtemps. J'ai commencé comme précédemment à le caresser dans les poils du sexe puis à le branler en jouant avec le prépuce comme me l'avait appris l'oncle Tony.

J'ai approché mon visage de son sexe en ayant l'intention de sentir l'odeur de sa bite. Il a alors saisi ma tête et l'a dirigée face à son sexe tout en le poussant doucement jusqu'à ce qu'il l'ait introduit dans ma bouche. Cette queue était tellement grosse que j'ai eu quelques difficultés à l'engloutir. Il a alors soupiré comme jamais avant. Je l'ai ainsi sucé pendant quelques secondes. Il avait vraiment une très grosse bite! J'arrivais avec peine à la maintenir en bouche tellement elle était grosse. Pendant ce temps, avec ma main gauche, je massais ses couilles velues. Il n'a pas fallu longtemps d'un pareil traitement pour qu'il repousse ma tête et qu'il prenne ma main pour que je finisse en le branlant jusqu'au point culminant devenu cette fois imminent.

Il est alors venu bruyamment et j'ai senti son sperme chaud couler sur ma main. Lui aussi devait en avoir reçu partout mais qu'importe c'était tellement bon de sentir un homme jouir ainsi entre ses mains.

Après m'être remis sur le dos et après que nous ayons un peu soufflé, il m'a dit:

— Excuse-moi, je n'ai pas réfléchi. Je pensais que c'était la tête de ma femme mais quand j'ai senti ta bouche chaude, je me suis rendu compte qu'elle ne savait pas me sucer. Elle a une plus petite bouche que toi. Mais c'était tellement bon que je n'ai pas pu me résoudre à retirer ta bouche de mon sexe.

Et d'ajouter:

— Tu ne m'en veux pas?

— C'est nouveau pour moi. C'est surprenant mais curieusement cela n'est pas désagréable.

— Si tu le veux, pour me faire pardonner, je veux bien te faire la même chose, je te dois bien ca!

Et d'ajouter encore:

— Si tu es fâché contre moi je ne t'en voudrai pas mais je t'en supplie ne dis rien aux autres.

— Je ne dirai rien aux autres, tu as ma parole! Si tu veux te faire pardonner, tu peux me faire la même chose bien que mon amie ne m'ait jamais sucé. Ça doit être sûrement très agréable.

— Hum! Tu ne sais pas a quel point c'est bon. Je vais te faire sentir cela!

Il a alors entrepris de me remettre en forme mais à sa grande surprise, je l'étais déjà. Il m'a caressé les poils du sexe, la bite, a massé et léché les couilles pour finir par me sucer. C'était super bon, chaud, doux, agréable, accueillant même. Je n'avais jamais connu de pareilles sensations.

Il me massait les balles avec sa main et enfonçait, jusqu'à la racine, ma grande tringle dans sa bouche humide et accueillante. Après quelques minutes j'étais prêt à jouir mais j'arrivais à me retenir. Je pense qu'il s'en doutait mais il voulait absolument que j'éjacule. Il a alors lâché mes couilles, a mouillé un de ses doigts avec sa salive et l'a introduit dans mon anus.

Cela et le fait qu'il me suce très fort a suffi pour que je ne sache plus me retenir. J'ai senti le sperme monter dans mon manche et quand j'ai voulu repousser sa tête, il a refusé en émettant un grognement négatif. J'ai alors compris qu'il voulait que je jouisse dans sa bouche! Le sperme est alors sorti en jets puissants qu'il a entièrement avalés, à mon grand étonnement bien entendu.

Quand il a glissé mon sexe hors de sa bouche, il était encore tout excité d'un pareil traitement! Je lui ai dit:

— C'est moi maintenant qui te dois quelque chose car tu ne m'as pas obligé à avaler ton sperme!

— Je l'ai avalé pour que tu saches vraiment ce que ça produit comme effet quand tu jouis dans une bouche agréablement accueillante! Car je me doute bien que ton amie ne t'a pas encore sucé la queue à fond comme cela!

— Oui c'est vrai! Elle ne m'a jamais sucé mais il n'empêche que maintenant c'est moi qui te dois quelque chose...

— Mais non, mais non. Tu ne me dois rien à moins que tu n'insistes. Non, je ne peux pas te demander cela. Non, tu ne me dois rien.

Et moi d'ajouter:

— Si, si, j'insiste! Dis-moi ce qui te ferait plaisir.

Il n'a rien répondu sur le moment et est venu se coller contre moi. Il m'a demandé alors si je voulais bien me tourner sur le coté gauche afin que nous soyons couchés l'un tout contre l'autre. Ce que j'ai fait bien volontiers. J'ai perçu son pénis contre mes fesses et j'ai sursauté un bon coup car il avait vraiment un gros membre à introduire.

Il m'a dit dans l'oreille:

— Je serai très doux tu verras. Si tu ne veux pas, je comprendrai bien et je ne t'obligerai pas du tout à faire quoi que ce soit.

— Je veux bien mais tu dois me promettre que si j'ai trop mal, tu arrêtes de suite...

— Promis. Si je te fais mal, tu me le dis et j'arrête de suite de prendre ton petit cul.

J'étais un peu rassuré mais pas trop cependant. Bien que mon oncle Tony ait eu une belle queue, celle-ci était bien plus grosse quoique un tout petit peu moins longue mais pas de beaucoup quand même.

Il a mouillé ses doigts de salive et a commencé par me masser le cul et le trou. Il y a glissé un doigt en le faisant tourner puis en le faisant sortir et entrer. Il ne s'en doutait pas mais il était en train de m'exciter. Deux doigts suivirent le chemin du premier toujours en respectant la même procédure qui m'excitait intensément.

Il n'avait pas besoin de me toucher pour que je bande comme un taureau. Quand mon sphyncter a été détendu par ce délicieux massage, il a encore mouillé ses doigts de salive et m'a complètement mouillé le cul. Il en a alors approché sa grosse tringle mais il a dû laisser le gland contre mon entrée que j'avais resserrée par peur de la douleur.

— Relaxe mon ami, ça va aller! Tu vas aimer cela autant que moi.

Je me suis alors détendu vu qu'il n'y allait pas brusquement et ai desserré les fesses pour qu'il puisse y glisser sa grosse bite. Doucement mais très doucement, j'ai senti qu'il pressait sa queue contre mon anus et ai pris conscience que celui-ci se détendait et s'ouvrait. Le gros gland poussait et s'introduisait en moi.

C'était délicieux et chaud, comme avec oncle Tony. Quand Kevin eut enfoncé tout son gland, j'ai senti que cela serrait très fort. Ça me faisait presque mal.

Il m'a dit:

— Je vais attendre un peu que ton cul se détende avant d'aller plus loin, car je veux que tu y prennes du plaisir aussi.

Je ne pensais pas que cela était possible mais après quelques instants cette légère douleur a disparu. Je ne sentais plus que l'agréable chaleur du gland en moi. Pour lui faire savoir qu'il pouvait aller plus en profondeur, c'est moi qui ai poussé mon derrière vers son sexe.

Il a très vite compris! Le reste de sa grosse tige a atteint mes entrailles mais avec une douceur inégalée. C'était plus doux encore qu'avec mon oncle. Quand il est arrivé au fond, que les poils de la base de sa queue ont caressé mes fesses, il a gémi de bonheur. Il savait qu'il n'y avait plus aucun problème qu'il pouvait posséder mon corps comme il le voulait.

Doucement il a commencé à faire entrer et sortir sa grosse tige dans mon derrière. Pendant ce temps, il massait mes couilles et de temps en temps il me branlait aussi. J'étais tellement excité que j'ai joui dans sa main. Je me suis rendu compte que cela lui faisait plaisir de savoir que je venais de jouir.

Je crois que c'est ce qui a déclenché son explosion. Son sperme devait bouillir depuis longtemps dans ses belles couilles car j'avais déjà perçu les contractions de sa queue dans mon rectum depuis deux ou trois minutes.

De longs jets de sperme chaud ont giclé dans mon corps. Il pompait encore et encore à tel point que je croyais qu'il ne s'arrêterait jamais. Cependant après quelques dernières secousses de sa bite, il a arrêté ses mouvements.

Il est demeuré un long moment contre moi et m'a demandé:

— As-tu trouvé cela bon?

— Jamais auparavant je n'ai été aussi heureux en plaisir. Je suis au comble du bonheur.

Pendant qu'il me caressait encore la bite qui reprenait des formes intéressantes malgré mes nombreuses éjaculations, il m'embrassait dans le cou. Parfois il me remerciait d'avoir été si gentil avec lui. Je lui ai fait comprendre que je voulais bien être aussi gentil avec lui toutes les nuits suivantes si j'en tirais toujours autant de plaisir.

— Ce n'est pas encore fini! Comme je vois que tu es en forme! À ton tour de me baiser!

Sans me demander mon avis, il s'est retourné et m'a présenté son derrière. J'avais souvent rêvé que j'enculais quelqu'un mais jamais je n'avais pensé que cela me serait donné un jour.

Je me suis retourné et ai, comme lui, mouillé mes doigts de salive pour le masser comme il avait fait avec moi. Il gémissait, il prenait visiblement autant de plaisir à baiser qu'à être baisé.

J'ai ensuite commencé à introduire ma bite dans son cul, doucement, comme il l'avait fait. Je me sentais carrément aspiré par ce rectum. C'était chaud, incroyablement doux, accueillant même. Après que mon gland fut entré, je me suis arrêté aussi mais, d'un trait, il a poussé son derrière sur mon pieu de chair brûlante. Toute ma colonne est entrée en lui! Alors là, j'étais aux anges! Jamais ça n'avait été aussi bon, jamais je n'avais ressenti plaisir aussi intense.

Pour qu'il ne soit pas en reste j'ai entrepris de le branler comme il me l'avait fait. Il était encore en érection, lui aussi. Incroyable après de si nombreuses éjaculations!

Pendant que je le baisais, je le branlais au même rythme que mes aller et retours dans son anus. Parfois j'allais presser un peu ses balles mais je revenais très vite à sa grosse tige bouillante. Quand j'ai commencé à sentir mes couilles en ébullition, je me suis mis à le labourer de plus en plus vite. Nos gémissements étaient en parfait accord.

J'ai senti nos queues se durcir encore un peu, puis nous avons joui ensemble. Son sperme a coulé sur ma main. À mon étonnement, après avoir joui en lui j'ai trouvé que c'était encore meilleur que jouir dans sa bouche. Pourtant c'était déjà très bon.

Alors que je donnais mes derniers coups de rein et que je sentais mes dernières salves de sperme gicler en lui, il a pris ma main et me l'a léchée.

— Lèche aussi mon sperme sur ta main. Tu vas voir comme c'est bon ce délicieux jus.

Ce que je me suis empressé de faire.

— C'est vrai, le sperme a bon goût! Il est vraiment bon à déguster. Dommage qu'il n'y en ait pas plus.

Nous sommes restés collés ensemble l'un contre l'autre comme oncle Tony l'avait fait avec moi et nous nous sommes endormis tous les deux.

Au petit matin, Kevin a commencé à bouger. Je me suis réveillé doucement. J'avais encore sa queue en main, mais la mienne était sortie hors de son derrière. Soudain la grosse queue de Kevin reprit vigueur dans ma main. Cela m'a excité et j'ai rebandé aussi très vite.

Il s'est retourné, m'a souri, et après avoir mis sa tête entre mes jambes, il a entrepris de me sucer la queue. Cette fois j'avais la sienne devant mon visage et il n'a pas fallu qu'il me pousse la tête pour que j'ouvre les lèvres l'aspire et le suce aussi. Très vite, j'ai senti qu'il allait jouir et n'ai même pas eu le temps de m'y préparer que, déjà, il éclatait dans ma bouche et que je dégustais la totalité de son délicieux nectar.

Il jouissait à grands jets chauds. Les salves de sperme arrivaient contre mon palais. J'éprouvais même quelques difficultés à tout avaler car il déversait une grande quantité de jus. Il en coulait de ma bouche.

À peine avais-je fini de tout boire que ce fut à mon tour de lui offrir mon sperme et, comme la première fois, il a tout avalé.

Il a repris ensuite sa place à mes cotés et m'a embrassé à pleine bouche (un patin à la française comme on dit chez nous). Nous avons mélangé le reste de nos spermes dans nos bouches puis nous avons avalé ensemble. Je l'ai regardé, il m'a souri et m'a demandé:

— Heureux?

Sans aucune hésitation, je lui ai répondu un grand et profond:

— Ouiiii! On remet ça où et quand tu veux!!!

Il m'a souri encore une fois et m'a dit en clignant de l'oeil:

— Attends ce soir, on remet ça!

— Avec grand plaisir, j'en suis déjà impatient!

Comme il était encore très tôt, on s'est rendormi dans les bras de l'un l'autre.

 

Par Lucas - Publié dans : Histoires
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