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Cet été là, je n’ai pas seulement connu la canicule au niveau météorologique mais aussi sentimental et sexuel, notamment au niveau de mon slip qui fut très tendu. J’étais devenu ami avec Yann, un nouvel élève de ma classe de première, pour lequel je craquais à fond. Dès que je le voyais le matin en cours, je bandais et devais rester assis le temps que ça passe. On était assez portés sur le sexe tous les deux, mais je n’étais pas allé jusqu’à lui révéler mes penchants gays. On se contentait de parler de branlette et de fantasmes en général. Par ailleurs, j’avais deviné que lui aussi cachait quelque chose, j’espérais secrètement que c’était la même chose que moi.
Nos maisons étaient situées dans un lotissement. Il fallait faire un détour en passant par la rue mais il y avait un chemin plus court qui consistait à passer par le grand jardin de Monsieur R, le plus ancien habitant du quartier. Comme il était ami de mes parents, il m’avait donné la permission de traverser sa propriété. Les parents de Yann, Jacques et Christelle, étaient naturistes; cela me permettait en les contemplant discrètement d’enregistrer des images que je me repassais en me branlant quand je rentrais chez moi.
L’été était arrivé et un jour que je faisais des exercices de révision avec Yann sur la table du salon, son père surgit, nu, la queue encore gonflée. Je ne pouvais m’empêcher de le regarder. Yann fit remarquer avec amusement à Jacques qu’il devait être plus discret. Ce dernier lui répondit qu’il venait de baiser... Cela me chauffa au plus haut point. En rentrant chez moi, je passai par les clôtures délimitant nos jardins de celui de Monsieur R et à un moment, je dus me réajuster tant ma queue et mes boules se sentaient à l’endroit en raison de mon excitation.
Je n’avais pas remarqué qu’il était dans son jardin et m’observait. Il me demanda en rigolant si ça poussait bien. Il était toujours un peu vicieux dans ses propos et malgré ses 50 ans passés, il était pas mal. Arrivé à mon domicile, je filai aux toilettes et entrepris de me branler, en faisant attention à stopper à chaque fois que je sentais monter la pression dans ma colonne. À un moment, je ne pus m’empêcher de jouir à grands jets dont deux s’écrasèrent sur les murs. Je me suis empressé de tout nettoyer.
Le lendemain j’étais invité à déjeuner chez mon ami. En traversant le jardin de Monsieur R, j’eus une inspiration. Plutôt qu’arriver les mains vides, je cueillis quelques magnifiques lys au passage. Christelle me remercia avec beaucoup de chaleur. Je fis la connaissance de Clive, un étudiant anglais qui avait pris une chambre chez eux, il était plutôt efféminé et je vis tout de suite qu’il avait compris pour moi. Après le repas, je partis avec Yann faire des parties de Nintendo dans sa chambre. Je remarquai qu’il était plutôt nerveux. À un moment nous avons commencé à nous disputer et devant la tournure des événements, je décidai de partir. Je profitai de la voiture de Jacques qui s’en allait déposer Clive au service d’inscription de l’université pour rentrer chez moi.
Une fois arrivé, je me rendis compte que j’avais oublié mon portable chez eux et comme j’en avais besoin je dus y retourner. Je fis mon périple habituel au travers des jardins et arrivai devant les baies vitrées du salon de la maison de mon ami. Tout était ouvert, il ne semblait y avoir personne. Je partis vers la chambre de Yann en me disant que je finirai bien par le retrouver. En avançant, j’entendis des gémissements. Comme j’étais particulièrement curieux, je me suis approché de la source du bruit et ai regardé par la porte entrebaîllée qui masquait un spectacle fascinant. Il était assis sur le lit les jambes écartées et sa mère était en train de le pomper avec avidité. Il gémissait, la tête renversée en arrière et les yeux fermés. Christelle, se doigtait la chatte avec application. À un moment, je le vis se raidir, signe de son éjaculation imminente et il déchargea sur le visage de sa mère qui était alors en plein orgasme. Surexcité je partis discrètement pour aller chez moi me livrer à une petite vidange.
Je traversais le jardin de Monsieur R quand j’entendis celui-ci m’appeler de manière insistante de son cabanon où il rangeait ses outils. J’y entrai un peu à contre-cœur. La première chose qu’il me reprocha fut d’avoir volé ses fleurs. Je réussis à m’excuser et j’allais tourner les talons quand il me mit la main au paquet par surprise. Vu mon état, il n’eut aucune difficulté à sentir ma barre bien dure qui ne demandait qu’à sortir. Il baissa alors mon short et en quelques instants, je me suis retrouvé la bite dans sa bouche pendant que lui avait sorti une grosse queue rouge et veineuse. Même si ça m’embêtait que ce soit lui le premier à goûter ma semence, je le laissais faire car c’était trop bon. Il me demanda de le toucher, ce que je fis, lui permettant ainsi d’éjaculer quelques filaments de sperme bien épais. Au moins je n’aurais pas besoin de me palucher à la maison.
Le lendemain, j’étais un peu gêné à l’idée de retrouver Yann mais je fus soulagé quand il m’appela au téléphone pour me dire qu’il partait trois jours avec sa mère. Il me demanda un service, je devais aller chaque jour chez lui. Ce soir là, je décidai de passer la rue pour éviter Monsieur R. après notre épisode de la veille. Du coup, je dus sonner chez Yann et ce fut Clive qui m’ouvrit. Il s’était mis au naturisme car il était nu lui aussi; il était mince et poilu. Très librement, il me posa quelques questions intimes puis il me donna la clé pour le lendemain car il ne serait pas là à l’heure où je comptais venir.
Quand je revins, la maison était vide. J’en profitais pour fouiner dans la chambre de Yann. Je savais qu’il se branlait dans ses slips et qu’il les cachait. J’en trouvai un bien planqué avec des tâches significatives. Je l’emportai pour me branler dans les toilettes et j’étais en pleine action quand quelqu’un essaya d’entrer. C’était Jacques qui était de retour du boulot. À travers la porte, je lui dis qui j’étais et j’arrêtai ma tâche. Je sortis pour aller dans la cuisine où je le vis, le pantalon de costard ouvert. Il était en train de pisser dans l’évier. Je voyais le liquide doré couler de sa belle queue. Il me dit qu’il avait trop envie et que je ne devais pas le répéter à Christelle qui était maniaque. Il me demanda de lui donner un essuie-tout. Je le lui tendis mais j’étais tellement fasciné par le spectacle qu’il ajouta en rigolant: "Tu serais pas un peu pédé? Tu devrais aller voir Clive!" Je repartis chez moi, ruminant tout ceci.
Mes parents avaient invité Monsieur R et sa femme pour le dîner. Ce dernier était assis juste à côté de moi. De temps en temps, il me passait la main sur la cuisse et remontait. J’écartais les jambes pour me laisser faire et ni vu ni connu, j’essayai de mon côté de glisser ma main dans sa poche pour être au contact de sa bite. Nous bandions tous les deux et j’étais très excité. En même temps, la phrase de Jacques me trottait dans la tête. Je profitai donc du dessert pour planter mes parents et leurs invités et aller voir Clive. Je pouvais en plus passer par le jardin de Monsieur R.
Poussé par une intuition, j’allais directement vers les chambres et je vis Jacques en train de se retirer du cul de Clive et lui jouir sur le dos. Je ne bougeais plus. Il vint vers moi, en fait pour aller à la cuisine chercher un verre d’eau et me demanda: "Tu te joins à nous?" Arrivé sur le lit, Clive m’attira sur lui en m’embrassant puis il me guida pour que je l’encule. La sensation était extraordinaire. Jacques vint glisser son sexe sur nos lèvres puis il me fit m’allonger sur mon partenaire pour me pénétrer. J’étais pris en sandwich et je n’arrivais pas à définir ce qui me faisait le plus de bien. Nous avons joui tous les trois en même temps et avons fini ce premier round par un baiser à trois.
Et puis on recommença, ce qui me permit d’emmagasiner plein de choses à raconter à Monsieur R...
Merci pour ton blog
Bon courage je sais que ça représente du temps...
Bises