Lundi 9 mars 1 09 /03 /Mars 19:04

Luc avait dix-sept ans. Il avait hérité de la grande taille de son père, plus de 1m85, et des cheveux roux de sa mère. Il est entré en terminale littéraire le mois dernier et s'est bien acclimaté à sa nouvelle classe. Heureusement, sa bande de copains était toujours avec lui, même ceux qui avaient choisi une autre filière. Tout ce petit monde se retrouvait pendant les pauses. Cet été, il avait fait l'amour avec deux filles à la fois. Ce fut un pied d'enfer pour tout le monde! Ça faisait déjà longtemps qu'il n'était plus puceau: il s'était tapé sa première fille dès la quatrième. Il faut bien reconnaître, dixit ses parents, qu'il a toujours été en avance sur son âge!

Cette année, il a fait la connaissance de Grégoire. Ils ont assez vite sympathisés, étant donné qu'ils passaient quasiment tous les cours de philo l'un à côté de l'autre, et qu'il était extrêmement simple de bavarder plus qu'à l'accoutumée avec ce prof. Luc lui a raconté son exploit des vacances, exploit dont déjà tout le lycée ou presque était au courant: Luc n'était pas peu fier d'avoir «baisé», comme il dit, deux meufs à la fois, et des commentaires qu'ont distillés les deux jeunes filles en question sur ses compétences sexuelles. Grégoire ne fut pas avare en confidences, lui non plus, puisque pour la première fois, il a parlé avec quelqu'un du lycée de son attirance pour les autres garçons. Et attirance est un mot un peu faible. Lui non plus n'était plus puceau!

Ce fut un choc pour Luc, d'imaginer son nouvel ami, avec lequel il avait tant de points communs, toucher et se laisser toucher par d'autres garçons. La suite du cours apporta un vif refroidissement à leur relation. Mais dès le lendemain, la nuit ayant apparemment porté conseil, Luc se montra aussi amical et normal qu'habituellement avec Grégoire. L'homosexualité de ce dernier n'est pas devenue un tabou. Quelque part, cette révélation les a même rapprochés: Greg était content d'avoir un ami à qui en parler, Luc heureux de la confiance que son ami lui portait. Mais en privé, cette idée d'avoir un ami gay faisait beaucoup, beaucoup réfléchir Luc.

Il y pensait souvent: en cours, chez lui, et même parfois en rêve. Cependant, il était convaincu de son hétérosexualité. Aucun doute là-dessus: jamais il ne toucherait une bite autre que la sienne. C'était juste un fantasme, une envie de briser un interdit. Mais cela restera un interdit. Du moins, c'est ce qu'il se disait pour se rassurer! Car en rêve, les nuits qu'ils passaient chez Grégoire étaient chaque fois de plus en plus chaudes et osées.

Pourtant, dans la réalité, rien à faire. Dès qu'il se promettait de parler ou de tenter quelque chose avec Greg, alors qu'il était presque sûr de voir ses propositions bien accueillies, vu le regard de son copain, posé sur ses fesses, qu'il remarquait parfois, il ne pouvait passer à l'acte.

Les vacances de la Toussaint sont vite arrivées. Durant celles-ci, les deux amis se virent une fois, un mercredi, pour faire avancer leur TPE. Ils le faisaient à deux, et ce jour-là, ils étaient sagement attablés autour d'une bonne pizza, seuls dans l'appartement des parents de Grégoire, absents pour la journée. Ils avaient abattu dans la matinée presque la totalité de ce qu'ils avaient prévu de faire pour la journée entière. Ils discutaient donc, tout en se restaurant, de ce qu'ils allaient bien pouvoir faire de leur après-midi: continuer de bosser le plus possible pour prendre de l'avance, ou juste faire ce qu'il leur restait à faire dans leur programme, puis profiter du restant de ce mercredi pour glander un peu devant la télé ou la Play. C'est ce moment qu'a choisi le morceau de pizza que tenait Luc dans sa main pour faire glisser la garniture jusqu'à ce qu'elle s'échappe de la croûte pour atterrir en partie sur le T-shirt du garçon, et en partie sur son jean.

— Putain, s'exclama Luc. Mes vêtements étaient propres d'aujourd'hui.

Greg s'efforçait de contenir son rire, sachant que Luc n'aimait pas beaucoup qu'on se moque de lui, même de manière gentille et amicale. Ce dernier tentait avec ses mains de récupérer la garniture, puis avec l'eau de son verre de nettoyer les vilaines tâches. Le résultat n'en fut que pire.

— Fait chier, merde! En plus, ma mère m'avait donné des courses à faire avant de revenir à la maison, mais je ne peux pas aller à la superette comme ça!

Il enleva son T-shirt, tandis que Grégoire ne put cette fois, en pensant à Luc faisant ses courses dans cette tenue, retenir des rires.

Luc prit alors la garniture qu'il avait récupérée, et la lança sur son ami. Ce dernier s'arrêta net de rire, et chercha des munitions. Tout ce qui trouvait de comestible se transforma durant quelques minutes en armes de guerre, et on entendit dans toute la maison les rires et les cris de ces garçons chamailleurs. Bientôt, il ne resta plus rien sur la table. Ils se regardèrent: Grégoire et Luc était recouvert de morceaux de pizza et du sel, sorti du placard pour les frites, et dégoulinaient de Coca. Ils ne rirent pas très longtemps car ils comprirent vite qu'ils allaient devoir tout nettoyer!

— Bon on nettoie tout, on se douche et je te prête des affaires propres, dit Greg.

Il leur fallu une grosse demie-heure pour mettre les déchets à la poubelle, nettoyer les murs et serpiller la cuisine. Il faut bien avouer qu'ils ne mettaient pas vraiment de coeur à l'ouvrage. Grégoire proposa à Luc de prendre sa douche en premier, mais il refusa.

— Ok, j'y vais alors, dit Greg, qui hésita quelques secondes. Euh, si jamais tu... enfin t'as compris ce que je voulais dire, non?

— Non, répondit sincèrement Luc.

— Non? Bon, disons que... Y'a de la place pour deux! À toi de voir, je ferme pas la porte à clé.

Puis il s'enfuit vers la salle de bains sans attendre de réponse. Luc était presque littéralement sur le cul. Devait-il y aller? Cette proposition signifiait-elle que Grégoire avait compris qu'il pourrait y avoir une ouverture? Que se passerait-il s'il y allait? Les questions sans réponses fusaient. La tentation grandissait, quasiment aussi vite que son sexe encore enfoui sous ses fringues.

Après un certain temps, il prit sa décision: il se dirigea vers la salle de bains, posa sa main sur la poignée et, la porte s'ouvrit d'elle-même, plaçant face à Luc le corps de Greg simplement caché par une serviette enroulée autour de sa taille! Luc ne s'était pas rendu compte qu'il avait tergiversé pendant plus de dix minutes!

— Ah, tu venais me rejoindre! Dit tout sourire Grégoire. Et moi qui allais te présenter mes excuses.

Seulement, Luc prit le fait que la douche de Greg soit finie comme le signe qu'il ne devait rien se passer avec lui, voire rien se passer avec n'importe quel mec que la terre compte. Il se remit donc vite de sa surprise pour reprendre ses moyens. Seul sa bite n'était pas revenue à son état normal.

— Euh, non! Je t'ai entendu sortir et je venais donc prendre ma douche à mon tour. Pas de soucis, ne t'inquiète pas, ce que tu m'as dit tout à l'heure est déjà oublié!

Grégoire sembla vraiment déçu, mais n'en parla plus. Il indiqua où se trouvaient les serviettes et les produits de douche avant de quitter la pièce. Il entendit la clé tourner dans la serrure. La détermination de Luc à rester hétéro semblait plus forte que jamais.

Il prit sa douche et il finit par se masturber en même temps, car son excitation n'était toujours pas retombée. Du contact entre ses doigts et son sexe de 17cm sont nés trois jets de sperme qui s'abattirent sur les parois de la cabine de douche. Peu après, il en sortit, s'essuya et enroula à son tour une serviette autour de son intimité heureusement à nouveau molle. Il retrouva Greg sur le canapé, toujours dans la même tenue.

— Ah te voilà! Viens, on va dans ma chambre voir lesquelles de mes affaires je vais te prêter.

En disant ces mots, il se releva, mais le noeud de sa serviette se défit. Il tenta de la rattraper, perdit l'équilibre, marcha dessus, glissa puis s'étala sur le sol. Luc vit durant tout ce combat contre le déséquilibre le sexe mi-dur mi-mou de Grégoire valser dans toutes les directions. Ce pénis et ses testicules valdinguant de part et d'autres réussirent à provoquer une nouvelle érection chez Luc. Grégoire se releva, nu, constata de ses yeux la grosseur de Luc, visible à travers la serviette.

— Approche! Dit-il. Tu en meurs d'envie.

— N'importe quoi! Répondit celui-qui-persistait-à-se-croire-hétéro.

Ils restèrent ainsi, immobiles plusieurs secondes, avant que Greg ne se mette à son tour à bander. 15cm se levèrent et c'en fut trop pour Luc qui d'un geste, fit tomber à ses pieds sa serviette. La tentation de tenir dans sa main, ou ailleurs, ce sexe dur comme la pierre fut plus forte que sa raison. Grégoire s'approcha, posa ses mains sur le torse de son ami, puis sur ses joues avant d'approcher ses lèvres des siennes. Les langues se croisèrent, les mains se baladèrent d'un corps à l'autre. Luc sembla hésiter, prêt à tout arrêter. Greg s'agenouilla alors et déposa sur un baiser sur son gland. Un coup d'oeil au visage de l'indécis lui a permis de comprendre qu'il ne l'était plus, et que désormais, il désirait la même chose que lui. Il prit donc le temps de lécher toute la hampe et les couilles, avant de réellement prendre en bouche la bite de Luc. Celui-ci gémit sans retenue.

Pendant qu'il le suçait, il sentait sur son dos les mains de son ami. Elles finirent par caresser ses cheveux et par rester sur sa tête pour mieux le guider dans sa fellation. Ses mains, quant à elles, naviguaient entre les testicules et les fesses galbées du sucé. Il osa même titiller de son index l'anus bien serré qui se présentait. À la respiration de plus en plus saccadée de Luc, il comprit qu'il n'allait pas tarder à tout lâcher. Il fit alors encore quelques aller-retours, avant que ce dernier retire sa bite de sa bouche et lui éjacule sur son visage. Grégoire entreprit alors de nettoyer la tige gluante pour la deuxième fois de la journée.

Ils s'embrassèrent tendrement. Luc sentit qu'il ne pouvait pas que recevoir, il fallait aussi qu'il donne de sa personne. Mais c'est sans contrainte, sans se sentir obligé de quelques manières que ce soit qu'il prit la main de Greg pour le guider vers le canapé. Greg s'est assis et Luc l'a de nouveau embrassé, avant de lui faire un suçon dans le cou puis de jouer avec ses tétons. Il lécha ses abdos, soupesa d'une main les testicules qu'il avait désormais à quelques centimètres de sa bouche.

Il engloutit d'un coup toute la bite de Greg, qui ferma les yeux d'extase. Il la sentait tout au fond de sa gorge et Luc fut à deux doigts de s'étouffer. Mais sa bouche s'habitua à ce qu'elle contenait, et il put sucer et sucer encore, jusqu'à en avoir des crampes. En effet, Greg semblait être très endurant et la pipe dura longtemps. Mais l'apothéose n'en fut que meilleure lorsque Luc sentit couler le long de sa gorge le nectar que lui offraient les testicules très productives de Grégoire.

Il va sans dire que le TPE n'avança pas énormément cet après-midi là, pas plus que les courses que devait faire Luc pour sa mère. Pourtant, cette journée fut un grand pas en avant pour la découverte par ce dernier de ce qu'il était vraiment!

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : blog sexe des amis
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

j'aime pas trop cette histoire...
commentaire n° :1 posté par : anth le: 11/03/2009 à 19h43
Trés bandant...
commentaire n° :2 posté par : Didier le: 13/03/2009 à 17h08

----------------------------

Image Hosted by ImageShack.us
 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés