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Et il enfonce son doigt dans mon fondement. Doucement. Je le sens bien. Son doigt entre lentement en moi, je n'ai pas mal. Si! J'ai mal de honte! Il fait tourner son doigt en moi, doucement. Il le remue légèrement dans mon intérieur. Je sens chacun de ses mouvements. C'est presque agréable.
— Bien, parfait. Tu es un bon garçon.
Il retire son doigt. J'ai pas plus mal qu'à l'aller.
— Bien. Étape suivante: le jeu de la vérité.
Quoi? Quel jeu de la vérité? J'ai déjà joué à ce jeu avec des copains, en colonie. Il y a longtemps. S'il croit que je vais lui dire mes secrets!
Il quitte la pièce et revient de suite avec trois sangles. Il m'attache les deux jambes pour qu elles restent bien écartées. Il me met aussi une sangle autour du cou et l'attache sous le lit. Je suis vraiment ligoté! Si je bouge, je m'étouffe!
— Faut pas bouger. Reste calme et tout ira bien.
Il sort alors une ficelle. Et fait le tour de la base de mon sexe avec. Mes boules et ma verge sont alors saillantes. Je n'ose plus bouger! Il passe la ficelle dans un anneau situé au plafond et tient l'autre bout de la ficelle.
— Tu vois, si je tire, ça fait très mal.
Et il tire d'un coup sec! Aïe! La douleur est vive. Je ne peux m'empêcher de relever le bassin vers le haut! La ficelle me sectionne mes organes génitaux! Il la relâche de suite.
— Tu as vu? Je vais te poser des questions. Tu me diras la vérité. Si je pense que tu mens, je tire! Tu as compris?
— Oui, j'ai compris.
Je ne peux rien dire d'autre. Je vais lui dire la vérité. Mais quelle vérité? Que veut-il savoir?
— Je commence. Est tu hétéro, bi ou gay?
— Hétéro.
— As-tu une copine?
— Oui.
— Tu l'a déjà sauté?
— Bien sûr!
— C'était quand la dernière fois?
— Le weekend dernier, chez moi. On se voit que le weekend. Elle est étudiante.
— As-tu déjà eu une expérience homosexuelle?
— NON!
Aïe! Je hurle! Il a tiré la ficelle! Je me cambre!
— Tu mens!
— Non, je vous jure!
— Menteur!
Et il tire de plus belle. Il va m'arracher le sexe! Merde! Comment sait il? Car oui, j'ai déjà eu une telle expérience. Je craque. La douleur est intenable!
— Ok ok, oui, j'ai déjà eu.
Tout de suite, la ficelle se détend. La douleur diminue. Il détend la ficelle autour de mon sexe, juste pour que je n'aie plus mal.
— Tu vas tout me dire maintenant.
— Oui.
— Vas-y!
Je vais tout lui dire. J'ai pas le choix.
— C'était il y a quatre jours, avec Marc, un copain de ma classe. Il était passé chez moi pour réviser mais à son arrivée, je regardais des sites de cul sur le net.
— Des sites gays?
— Oui! Mais je suis pas gay! C'était juste pour voir!
— Continue!
— Dès qu il a sonné, j'ai vite fermé le navigateur. Il n'a rien vu. Et puis on a commencé à réviser. Mais plus tard, il a voulu utiliser Google pour chercher un truc, une formule de math. Il a utilisé Google et a vu l'historique du navigateur.
— Et?
— Il m'a regardé bizarrement: "T'es gay? Jean? T'es gay?"
— "Non, non! je t'assure! C'est juste pour voir." Mais il m'a pas cru.
— Et ensuite?
— Il m'a alors regardé droit dans les yeux, avec un regard étrange. J'avais jamais vu ce regard-là. "Jean, moi non plus je suis pas gay. Mais comme toi, j'ai déjà regardé sur le net. J'aimerais essayer, juste pour voir." J'ai été surpris! Quoi, Marc voulait essayer? Avec moi? Après tout, pourquoi pas? Moi aussi cette pensée m'avait bien effleurée l'esprit. Je l'ai fixé droit dans les yeux: "OK, mais juste une fois. Ce sera notre secret, hein?"
— Et il a été d'accord?
— Oui. On s'est déshabillé. Il m'a sucé. Je l'ai sucé. On a fait un 69. C'était bizarre. Je suçais un mec. Je n'en revenais pas!
— T'as aimé?
— Pas aimé, mais pas détesté. En fait, je pense que je préfère vraiment les filles.
— Et lui, tu penses qu'il a aimé?
— Oui. Il soupirait. Il passait sa main sur tous mon corps. Il a juté très fort!
— Et comment tout cela s'est-il fini?
— On n'a pas voulu se sodomiser. Enfin, lui aurait voulu, mais moi j'ai refusé. Il a dit "OK" mais il semblait déçu.
— Termine!
— On a arrêté. Il s'est rhabillé et est vite parti. Il a rien dit.
— Et ensuite?!
— Je sais pas. Je l'ai pas revu depuis.
— Tu sais pas! Enfoiré! Tu SAIS pas!
Aïe! Il tire la ficelle! Je me cabre! Je hurle!
— Mais j'ai rien fait!
La ficelle se détend. Je retombe sur l'oreiller.
— Si... tu as fait!
— QUOI?
À suivre...