Un samedi après-midi, mon ami Luc me téléphone pour me demander si je suis disponible le soir-même pour remplacer un joueur de hockey de son équipe qui est blessé.

— Oui bien sûr mais il y a déjà quelques temps que je n'ai pas chaussé les patins! Je vais sûrement être rouillé...

Il me dit que ce n'est pas grave, que c'est juste une petite ligue amicale pour s'amuser. Je lui dis ok et lui demande à quelle heure et quel endroit; il me donne les informations. J'avais quelques heures avant la partie, je décidai d'aller à la patinoire extérieure au parc pour patiner un peu et ne pas avoir l'air trop épais le soir venu.

À 18h30, je me rends à l'aréna que Luc m'avait désigné. Il était là avec quelques-uns des autres joueurs de l'équipe. Il me présenta à ses coéquipiers en leur disant: "Les boys, voici Daniel!" Les gars se présentèrent chacun leur tour et nous nous dirigeons vers la chambre des joueurs. À peine avions nous commencé à nous changer que le concierge de l'aréna vint nous avertir que l'autre équipe prendra le vestiaire adjacent au nôtre car les douches des autres vestiaires ne fonctionnent pas. Donc nous devrons partager les douches avec nos adversaires après la partie. Simon, le capitaine de notre équipe, le remercie en lui disant qu'il n'y avait pas de problème, qu'on s'arrangerait avec ça. Le concièrge partit.

Nous continuions à nous changer, je jettais un coup d'oeil furtif sur les autres gars de l'équipe et je remarquai qu'il y en avait 2 ou 3 pas mal bien équipé côté membre, dont mon ami Luc, Simon le capitaine, Martin et Éric - celui qui me faisait le plus d'effet.

Quand je fus en slip, je dus me rendre à l'urinoir pour me vider la vessie avant la partie. Je suis allé à la salle de bain adjacente aux douches. Il y avait déjà un joueur de l'équipe adverse aux urinoirs. Il avait les cheveux noir, mesurait environ 6 pieds, les épaules larges et ne portait que son jock-strap, sans slip dessous, ce qui me permettait de lui voir la raie. Je m'installai à côté de lui pour pisser. il me regarde et me dit: "On va vous planter!" Je lui réponds:"Avec le baton que tu tiens en ce moment, je dirais pas non!" Il me fit un sourire et m'embrassa à pleine bouche puis me dit:"À tantôt..."

Je retourne au vestiaire pour continuer de m'habiller. Éric, le beau ti-mec qui était assis à côté de moi, remarqua mon excitation en voyant la bosse dans mon slip. Il me dit en souriant:

— Tu vas avoir de la misère à mettre ton jock-strap mon beau!

— Ne t'en fais pas, il est extra large, lui répondis-je.

Et on se mit à rire de bon coeur. Je finis de m'habiller et me dirigeai vers la patinoire. Quand je viens pour sauter sur la glace, le joueur de l'équipe adverse qui m'a embrassé à l'urinoir arriva en même temps que moi, me fit un clin-d'oeil et sauta sur la glace avant moi et je le suivis. Il portait le numéro 69 et son nom sur le chandail était Antoine.

La partie commence, je suis au banc et je regarde les gars jouer pour voir le calibre de jeu, puis vient mon tour de sauter dans la mêlée. À peine avais-je touché à la rondelle qu'un joueur adverse me l'enlève et part en échappée, seul contre notre gardien; il le déjoue et marque un but. L'annonceur annonce: "Le but des Cougars marqué par le numéro 69 Antoine, sans aide." "Je me demande si j'ai bien fait de venir jouer ce soir?!" demandai-je à Simon le capitaine; il me répond que ce n'est pas grave, que c'est juste pour s'amuser. Je lui dis ok et en même temps, Antoine marque un deuxième but pour son équipe. La partie continue, ça fait quinze minutes qu'on joue et c'est quatre à zéro pour les Cougars et le beau Antoine a marqué trois buts.

Je me dis: "Il est temps que je le sorte lui!" J'embarque sur la glace et Antoine est dans le coin de la patinoire. J'arrive derrière lui, le brasse un peu. Il se retournee t me regarde. Je lui dis que je retourne au vestiaire et que s'il veut me planter, je serai là. Je me laisse tomber sur la glace et feins une blessure à la jambe. Antoine m'aide à me relever, me supporte jusqu'à mon banc. Là je dis à Simon que je vais retourner au vestiaire, que j'ai trop mal et je pars en faisant semblant de boiter.

J'arrive au vestiaire et je me déshabille. Quand je suis complàtement nu, je m'en vais à la douche dans l'espoir que ma strtégie ait fonctionné et que le beau Antoine vienne me rejoindre. J'entre sous la douche, me carresse les seins, l'entrejambe, l'anus, tout en me savonnant puis j'entre la tête sous l'eau et me savonne les cheveux. Là, je sens derrière moi une forme oblongue et dure sur mon fessier. Je me retourne lentement et j'ouvre les yeux: c'est Antoine! Il est sous la douche avec moi et m'embrasse dans le cou puis monte jusqu'à mes lèvres. Nos langues s'entremêlent dans nos bouches, nos mains caressent nos corps. Il me mordille l'oreille puis me dit: "On mène cinq à zéro, je viens de scorer un quatrième but. Je pense qu'ils n'ont plus besoin de moi." J'espère que mon plan va fonctionner et que notre équipe va remonter la pente.

Mais pour l'instant, c'est sous la douche que la game se passe entre moi et Antoine. Je lui dis à l'oreille: "Si tu es aussi bon en baise qu'au hockey, je vais être comblé." Il m'embrasse en me carressant, descend dans mon cou, me mordille les mamelons puis se met à genou et me lèche la verge qui est déjà bien gonflée et la gobe en entier. Je prends du shampoing et pendant qu'il me suçe, je lui lave la tête en lui enfonçant mon huit pouces dans la bouche. Après quelques minutes, il se lève, m'embrasse à nouveau, me met la main sur une épaule et me fait mettre à genoux à mon tour. Je lui lèche les seins au passage et descends vers sa grosse bite de dix pouces, large. Je lèche sa queue qui est très raide et j'essaie de la prendre en entier mais le coeur me lève. Je me retire rapidement, prends une bonne respiration et je recommence à le suçer. Je parviens à lui gober la verge au complet, je sens son gland dans ma gorge. J'ai l'impression que je vais l'avaler. Antoine me tient la tête et fait des va-et-vient dans ma bouche. Il sort complètement et entre lentement le plus loin qu'il peut. Moi je râle de plaisir. Au bout de quatre à cinq minutes, je me relève et lui dit: "On va aller au vestiaire faire honneur à ton numéro 69!"

Je me dirige vers mon vestiaire pendant qu'Antoine relaxe quelques instants sous la douche. En arrivant au vestiaire, je vois le beau Éric de dos. Il est seulement en jock-strap. D'une main, il se caresse le paquet devant et de l'autre, il a quelque chose qu'il tient devant sa figure qu'il semble sentir mais je ne parviens pas à savoir c'est quoi pour l'instant. Je m'approche lentement en faisant attention de ne pas faire de bruit et quand je suis juste à un pied de lui, je lui demande: "Que fais-tu là?" Éric sursaute, se tourne et reste bouche bée. Il laisse tomber mon jock-strap qu'il est en train de renifler. Je ramasse mon jock-strap et lui mets sous le nez et lui dis de continuer pendant que je me mets à genoux et commençe à sentir sa belle queue de 8 pouces mais plus large que la mienne. Je la prends en bouche.

Puis on entend la douche s'arrêter et Antoine vient nous rejoindre. Quand il arrive dans le vestiaire et me voit en train de faire une pipe à Éric, il s'approche et vient se placer à côté d'Éric pour que je puisse suçer leur deux queues en même temps. Je les suçais pendant qu'eux s'embrassent et se caressaient. Je lèche leurs grosses queues, leurs couilles pendantes et je gobe leurs glands et je les entre dans ma bouche au moins quatre à cinq pouces; j'ai la bouche pleine! Puis Antoine me lève et me couche sur la table au centre du vestiaire. Antoine se met à me suçer alors qu'Éric se place à ma tête pour que je puisse lui bouffer la bite, les couilles et la raie. J'entre ma langue dans l'anus d'Éric pendant qu'Antoine me lève les jambes et me bouffe le cul. Nous nous mangeons les queues, les couilles et le cul ainsi pendant un bon bout quand Éric me demande de le prendre.

Éric monte sur la table et s'asseoit sur ma verge bien raide, face à moi. Il s'empale lentement pour laisser passer la douleur puis quand il est bien dilaté, il augmente la cadence. Antoine qui se place au-dessus de ma face pour que je le suçe, suçe Éric en même temps; c'est l'extase! Avant que je vienne, je dis à Éric de se lever; il descend de la table, moi aussi. Je dis à Éric de se coucher à plat-ventre sur la table et je le pénétre pendant qu'Antoine se met à me lècher l'anus en se masturbant. Quand Antoine est bien bandé, il se lève et me pénétre avec son 10 pouces bien large. Je lâche un cri de douleur, Antoine se retire et recommençe plus doucement. C'est douloureux quelques minutes mais la douleur se change en plaisir. C'est la première fois que je me fais prendre par un si gros engin. Je suis pris en sandwich entre Éric et Antoine et c'est ce dernier qui donne la cadence. C'est pas très long que je décharge qautre longs jets de ma semence dans les entrailles d'Éric. Quand Antoine entend mes cris de jouissance, il se vide lui aussi en moi. Je sens son jus chaud m'emplir le cul. Antoine se retire et moi je me retire de l'anus d'Éric. Ce dernier se retourne alors que moi et Antoine s'agenouillons pour partager son précieux nectar. Nous nous relevons et nous embrassons tous les trois avant d'aller aux douches.

Rendus aux douches, nous nous savonons mutuellement. Je lave le dos d'Antoine pendant qu'Éric lave le mien. Puis Antoine et moi, nous nous mettons à deux pour laver le dos d'Éric. Puis nous enttendons les portes des deux vestiaires s'ouvrir. Nous figeons un moment et Antoine nous dit d'être naturel, que personne ne se rendra compte de rien. Antoine retourne à son vestiaire alors que Éric et moi retournons au nôtre.

Simon, le capitaine, nous apprend qu'on a gagné 6 à 5 et me demande comment va ma jambe. Je lui dis qu'Éric me l'a massée et que je ne sens presque plus de douleur. Il me dit qu'il est content que ça ne soit pas grave et me demande si je veux jouer régulièrement avec eux. Je lui réponds: "Avec plaisir..."

Si vous cherchez un joueur de hockey, je suis disponible!