je me souviens de mon service militaire, il n'y a pas si longtemps. Je me rappelle des moments de camaraderies où l'on apprend que l'on est bien peu de chose et que l'on dépend des autres. Le
milieu militaire n'accepte pas vraiment l'homosexualité ni d'ailleurs ce qui dépasse d'un millimètre des standards établis (je ne parle pas ici de taille de sexe). Cela n'empêche pas le droit de
fantasmer sur quelques beaux gars, d'autant plus qu'un cadre aussi fermé et dirigé est propice dans certaines circonstances à la perversité. À chaque nouveau contingent qui arrivait tous les deux
mois, je repérais les garçons qui me plaisaient le plus. Je les observais de loin et ils étaient la proie de mes fantasmes secrets de la nuit. Un de mes préférés s'appelait Grégory. Ses cheveux
courts n'enlevaient en rien de sa beauté et sa jeunesse. Son visage laissait transparaître la gentillesse et l'innocence. Assez timide et réservé, il n'était pas simple de s'en approcher sans
raison valable. Il devait mesurer dans les 1m75 et était assez mince. Châtain blond, les yeux verts, grands et expressifs, le nez court et mince, la peau nette, presque imberbe et légèrement
satinée faisait de lui un garçon tout à fait adorable. J'aimais beaucoup le croiser au détour d'un chemin. Voir quelque chose de beau est toujours agréable et entretient les rêves dans un lieu
aussi morne. Je le regardais alors et lui souriais s'il n'était pas accompagné. Un soir au moment de la douche alors que je zonais dans les couloirs à la recherche d'amis avec qui sortir et changer
d'air, je l'aperçus qui attendait dans le hall son tour pour la douche, elles étaient bondées à cette heure là. Il était planté là, en train de sourire à je ne sais qui. Sa tenue me fit fixer le
regard sur lui sans que je puisse résister. Il était habillé d'un t-shirt et du short de sport que lui avait fourni l'armée lors de l'incorporation. Ceux qui sont allés à l'armée connaissent le
parcours délicat et interminable des premiers jours et du remplissage du fameux paquetage. Les tailles des fringues sont définies au jugé par des appelés complètement blasés et qui avant d'arriver
là ne travaillaient certainement pas dans un magasin d'habillement. Certains devaient être mécanos, cuisiniers ou décorateurs. Bref, le brave Grégory avait hérité du short satin blanc réglementaire
mais d'une taille un peu juste. Malgré cela, sa tenue ne choquait pas en vulgarité, il avait de toute façon les hanches assez étroites et de petites fesses bien faites dont le short moulant qu'il
portait les mettait encore plus en valeur. Seuls les voyeurs amateurs de belles fesses masculines pouvaient s'y intéresser et c'était mon cas. J'étais assez excité et il est probable que cette
nouvelle image viendrait au top 10 de mes fantasmes des semaines suivantes. Mon vice était plus fort que ma prudence et je faisais quelques pas d'un côté puis de l'autre pour fixer à nouveau ma
charmante cible. Mon jeu n'a pas trompé longtemps Grégory qui me regardait et me souriait. Qu'il était beau! J'en oubliais totalement la foule de bidasses qui s'activait dans le hall. Vendredi:
Quelques semaines plus tard, j'étais bloqué un week-end. Il faut bien que certains restent car, ça s'est déjà vu, il y a des guerres qui commencent le samedi ou le dimanche et il faut que quelqu'un
décroche le téléphone afin de prévenir, en cas de problème, un responsable qui lui, par contre, est en week-end. Peu de temps avant le grand départ, Grégory avait émis le souhait de rester à la
caserne pour des raisons personnelles qu'il ne détailla pas. Vers 17h, le bâtiment était complètement vide, à part moi, mes cassettes vidéos, mon téléphone et certainement d'autres appelés enfermés
dans quelques lieux stratégiques et d'autres qui assuraient la vie au ralenti de la caserne. Je décidais moi-même à me mettre en léthargie profonde et j'allumais une cigarette en me posant des
questions sur l'existentialisme humain et l'importance de Dieu et de ma boîte de cirage. Une heure plus tard, je reçus la visite de Grégory qui se faisait chier comme un rat mort. Même si j'en
brûlais d'envie, je ne lui réclamais pas plus de précisions sur les raisons qui l'avait poussé à rester. Je crois qu'il en avait assez gros sur la patate comme ça même si, par fierté sans doute, il
ne voulait pas le montrer. Nous fumions alors comme des sapeurs en racontant n'importe quoi sur ce que nous faisions avant d'atterrir là. J'étais comblé par sa présence et chacun de ses mots était
un plaisir à entendre. Les prières à ma boîte de cirage avaient peut-être été entendues. Ô, soit loué seigneur de la paraffine et des biscuits secs. Après avoir regardé un film d'horreur avec des
loup-garous très méchants et quand la pièce fut plus enfumée que le brouillard dans le film, nous décidâmes d'aller dormir. Samedi: Ce matin là, je m'autorisais une heure de sommeil en plus et me
levai tout de même assez tôt. Vers 7h30, je reçus la visite de Grégory. Complètement préparé et habillé soigneusement de son treillis, il me surprit de tant de précaution. Je lui dis: "Tu es déjà
levé et habillé en uniforme, t'aurais pu t'accorder un peu plus de liberté tu sais, vu qu'il y a pas grand chose à faire." Il me sourit en guise de réponse et s'assit à coté de moi. J'étais en
train de remplir le carnet de bord de la compagnie, le jour et la mention "Rien à signaler". Je lui expliquais le but très sommaire de mon travail et nous parcourions le livre à la recherche d'un
événement original. Le 15 mai, le soldat Dubois s'est cassé la gueule sur une benne, il a été conduit à l'infirmerie. Nous avons été rapidement prendre un petit déjeuner puis de retour nous avons
continué notre discussion. Il était assis à côté de moi et je lui racontais tout ce qui me passait par la tête, histoire qu'il ne s'ennuie pas et qu'il ne file pas regarder la télé. Je crois qu'on
peut même dire que c'était de la drague. À un moment, il me parle de sa copine. Je crois qu'il a compris mon manège et que c'est une manière détournée de me dire qu'il est inutile d'user ma salive.
Je lui demande pourquoi il n'est pas parti la rejoindre ce week-end. Il me répond qu'il n'est pas sûr que c'est une copine. Me voilà un peu rassuré. Peut-être trouve-t-il ça normal de parler de ses
copines entre mecs, histoire de ne pas passer pour un pédé. Je joue le jeu et lui réponds que moi en ce moment je n'ai personne, rien à signaler comme indiqué sur le journal de bord. Il me sourit.
Soit il a compris qu'une discussion sur ce sujet n'irait pas loin et il sourit par politesse, soit il est content que je n'ai pas de copine et mon éventuel intérêt pour les garçons le satisfait.
J'éprouve en observant son regard dans le mien un soudain et profond besoin d'affection. J'observe sa main posée sur le bureau et ressens le besoin irrésistible de la caresser. Il me demande:
"Qu'est-ce que tu fais?" J'aurais préféré qu'il continue de me regarder en souriant sans rien dire et me sens un peu con. Je réfléchis rapidement et trouve une excuse bidon. "Ben, je sais lire dans
les lignes de la main, tu me la montres?" Il se marre et me laisse faire. Je lui retourne la main et passe mon index sur sa paume. "Voilà, la ligne de vie, tu vivras vieux. Tu vois les lignes qui
se coupent là, il va se passer un évènement qui va changer ta vie, peut-être vas-tu te marier, je dirais dans 5 à 6 ans..." Tout en commentant mes prédictions, mon doigt suit les lignes en appuyant
légèrement, ce qui semble provoquer quelques gloussements de plaisir à mon chatouilleux camarade. Je continue à déblatérer des tonnes de prophétie quand il m'interrompt. "C'est des conneries tout
ça, j'y crois pas." Puis, il récupère sa main. Je n'essaye pas de la convaincre du contraire. Il y eut un moment de silence pendant lequel, il me regardait avec son continuel petit sourire
espiègle. Je soutenais son regard et ne pensais qu'à le prendre dans mes bras pour faire un câlin. Ne pouvant plus résister, je lui passe la main sur la joue puis le caresse jusqu'a l'oreille. Ce
geste semble le surprendre un peu. "Ben, tu fais quoi maintenant? Tu veux aussi me lire les lignes de la tête?" Puis il rit de cette prodigieuse plaisanterie. Je me lâchais alors. Je lui expliquais
que rester ici, loin de tout et depuis si longtemps, me rendait très sensible et que j'avais un énorme besoin d'affection. Je lui dis que je le trouvais mignon et sympa et que j'avais envie de le
toucher et de partager un peu de tendresse avec lui, rien de plus. Il me dit calmement qu'il pouvait comprendre ça mais qu'il ne voulait pas faire ça avec un garçon. Je n'insistais donc pas, et lui
demandais, puisqu'il pouvait comprendre, de ne pas ébruiter cette affaire. "Ok, dit-il, à condition que tu me donnes une clope." J'acceptais et au fond de moi, j'étais un peu triste. Nous avons
ensuite regardé quelques films pour faire passer le temps sans plus trop discuter. Vers 19h, peu de temps après mon retour de la cantine, je demande à Grégory de garder le bureau le temps que
j'aille prendre une douche bien méritée. Je file dans ma chambre afin de me passer mon beau jogging bleu puis redescends à la douche. La pièce était déserte mais au moins l'eau serait chaude. Je me
désape puis une fois l'eau à bonne température, j'entre dans la cabine. Je me relaxe en pensant à Grégory. J'en attrape d'ailleurs une belle érection que j'active avec plaisir en dirigeant mon sexe
tendu vers les jets les plus puissants de la douche. L'impact de l'eau chaude me fait un bien profond et j'imagine Grégory en train de me sucer. Je commence à me branler en douceur pour faire durer
le plaisir le plus longtemps possible. Tout à coup, j'entends la porte de la pièce se refermer. Je ne m'inquiète pas bien à l'abri dans ma cabine de douche qui n'avait pas de porte, précisons-le. À
l'armée, la moralité interdit formellement de se balader à poil sauf dans les douches qui est un lieu sacré où l'on peut, à son gré et selon une expression bien militaire, présenter fièrement sa
bite au premier venu. J'aperçois, tout à coup, Grégory qui est en train de me mater à la porte de la douche. Étant retourné jusqu'alors, je ne sais pas depuis combien de temps il m'observe.
J'arrête la douche et passe la tête sur la côté de la paroi en me cachant le reste du corps. Je lui demande: "Il y a un problème à la semaine?" (Semaine: nom militaire qui désigne l'endroit où l'on
tient la permanence de la compagnie). "Non, non, dit-il un peu gêné. J'ai pas arrêté de réfléchir à ce que tu m'as proposé ce matin. Et si tu veux, maintenant je suis d'accord pour essayer." Je
suis agréablement surpris. Je sors de ma cachette et lui laisse un peu le temps de m'observer nu. Il contemple mon sexe à moitié en érection. Je lui propose: "Tu veux prendre une douche avec moi?"
Il ne répond pas mais fait un signe affirmatif de la tête. Il a perdu son sourire habituel et doit être un peu intimidé. Je m'avance vers lui et lui déboutonne sa veste de treillis: "Laisse-moi
faire." C'est très érotique de déshabiller un mec intimidé. J'arrive au bouton du bas et observe sa braguette dont je ne vais pas t'arder à m'occuper. Il suit du regard tout ce que je fais. Je tire
son t-shirt kaki de son pantalon et lui retire. J'observe sa poitrine imberbe et j'ai très envie de la caresser. Je dépose ses fringues dans la pré-cabine à côté des miens. Je lui passe la main
dans ses cheveux et m'approche de son visage pour l'embrasser. Nos lèvres se touchent et Grégory m'ouvre sa bouche. Je ferme les yeux et enlace mon compagnon. Nos langues s'entrelacent également en
une danse humide et chaude tandis que je caresse tendrement le dos de Grégory ferme, musclé et doux. Mes mains sur ses omoplates, je lui baise les tétons puis descends en m'agenouillant. Accroupi,
je lui lèche maintenant le nombril et mes mains viennent palper ses fesses. Je lui embrasse la braguette et de ma bouche je scrute la raideur qui s'accroît dans son slip. Je lui masse les fesses
pour en sentir toutes les formes et la fermeté. Il se dandine, et involontairement donne des petits coups de bassins en gémissant de satisfaction. Je lui délace ses rangers et lui demande de lever
le pied gauche. J'ôte la pompe ainsi que la chaussette puis porte son pied à ma bouche. Je suce chacun des orteils, ce qui le fait bien rire. Il repose son pied et se retire lui-même la seconde
botte. Je déboutonne son pantalon et lui descends le zip de la braguette. Je passe ma main dans le pantalon et viens palper ses testicules à travers son slip blanc. De mon pouce, je parcours de
toute la longueur son sexe tendu. J'attrape en même temps le bord du pantalon et du slip et abaisse le tout jusqu'aux chevilles. Cela le surprend un peu mais son sourire me fait comprendre que
cette déculottée lui plaît. De lui-même, il enlève ses pieds du tissu gênant et envoie valdinguer le tout. Je lui attrape le pénis à sa base par deux doigts et le lui lèche des testicules au gland.
De l'autre main, je lui palpe les fesses et mon index vient parfois à la rencontre de son anus qui semble bien réceptif à mes manipulations. Je m'investis à fond dans ma besogne et le sexe de
Grégory est moitié masturbé, moitié sucé tandis qu'il me tient la tête en positionnant ses mains sur mes oreilles. Je le sens un peu grelotter, j'ai froid moi aussi. Je me relève et lui passe mon
bras dans le dos: "Viens sous la douche, on va se réchauffer." Il entre le premier dans la cabine et je ne peux m'empêcher de mater ses petites fesses rondes parfaites. Il ouvre le jet et pousse un
cri d'effroi. Non, elle n'est pas froide, elle est très chaude. J'arrive derrière lui et règle comme je peux la belle mécanique française. Je passe ma main dans ses cheveux et nous nous sourions,
heureux de cette situation cocasse. Il attend que je fasse le premier pas et tente de discuter un peu. "Tu te branlais tout à l'heure? Je t'ai vu..." Je saisis la bouteille de gel douche et place
une bonne dose de produit dans la main. Je l'applique soigneusement sur l'épaule de Grégory qui semble apprécier de se faire laver. Je l'asperge de produit et commence à faire mousser le savon, ce
qui me permet de toucher l'ensemble de son superbe corps; d'abord le torse, le ventre, le bas du dos. Il aime ça, il gémit de plaisir en fermant les yeux et en penchant la tête en arrière. Je
m'accroupis de nouveau et récupère la bouteille de bain douche que j'avais posé sur le sol. Après avoir repris une dose dans mes mains, je m'applique à lui laver les fesses tout en admirant le
pénis tendu que j'ai en gros plan devant les yeux et dont je lèche le gland du bout de la langue de temps à autre. Des deux mains, je palpe avec application les fesses de Grégory des hanches vers
la raie plusieurs fois de suite et avec fermeté pour en apprécier tous les adorables aspects. Quand mes majeurs arrivent à son anus, ils pénètrent à chaque fois un peu plus et provoquent chez
Grégory des soupirs très érotiques. Je ramène de la mousse des fesses vers les testicules en passant entre les jambes et les lui malaxe avec précaution tout en lui léchant le gland. Je mets un peu
de savon sur ses cuisses et l'étale en remontant jusqu'au sexe. Étant donné l'état rigide de ce dernier, le nettoyage est plutôt masturbation. Le savon est bien vite évacué par l'eau de la douche
qui débite à son maximum. Je me relève et lui dis en lui tendant la bouteille: "À toi maintenant, lave-moi!" Cette idée semble lui plaire et il attrape le gel douche. Ses mains qui passent avec
délicatesse sur mon corps me procurent des sensations indescriptibles de bienfait et d'amour. Il est terriblement doux et délicat et n'oublie pas une parcelle de mon corps. Parfois, il me regarde
avec un petit sourire interrogateur pour voir si ça me plaît. Je ne peux m'empêcher à chaque fois, en voyant ce visage éblouissant d'innocence, de l'embrasser amoureusement. Il semble un peu gêné
lorsqu'il doit s'occuper de mon sexe. Je décide alors de l'aider en lui prenant la main et en la posant sur ma verge gonflée par l'excitation. Je l'aide à me masturber et lui souffle à l'oreille:
"C'est ça que je faisais tout à l'heure." Après quelques instants d'étude, je le sens se décrisper et lui demande de s'agenouiller. Il obéit et je lui présente mon sexe. "Ouvre la bouche
maintenant." J'introduis mon pénis et il commence à me sucer. Au début doucement comme pour goûter, il s'adapte rapidement et crescendo, il maîtrise la technique pour finir par me dévorer
littéralement le pénis. J'essaye de me retenir pour ne pas encore éjaculer mais c'est très difficile tellement il s'applique. Grégory l'a senti vu mes soupirs de plaisirs et mes commentaires très
originaux répétés à intervalle de plus en plus proches "Humm, oui comme ça, c'est bon, continue, suce-moi bien!" Il décide de s'arrêter et de me terminer à la main. Il se relève et tient mon bâton
fermement. Nous sommes face à face et j'ai passé mes bras autour de sa taille. Je m'approche pour le serrer et lui rouler le patin du siècle. Ce mouvement le gêne et il renonce à la masturbation
qu'il avait envisagée de m'offrir. Je me frotte à lui et sens son sexe contre le mien. Nous oscillons des hanches afin d'augmenter le plaisir que nous offre ce contact. Lui m'entoure le cou de ses
bras et, tout en m'embrassant, me longe la colonne vertébrale de son index. Pendant ce temps, d'une main je caresse sa fesse gauche, de l'autre j'ai fait pénétrer un puis deux doigts dans son anus.
Il me lance à l'oreille son désir de continuer. J'entame des mouvements circulaires de plus en plus larges et de plus en plus profond. Son anus se contracte puis se dilate sur mes doigts et le
corps de Grégory fait de petits sursauts accompagnés de syllabes inarticulées qu'il souffle à mon oreille à chaque exploration plus intérieure de mes doigts. Je lui ordonne: "Retourne-toi
maintenant Grégory." Il s'exécute et se penche légèrement. Il lève les bras, les écarte et pose les paumes de ses mains sur la paroi de la douche. Il est dans la position d'un voyou qui attend que
le flic qui vient de l'arrêter le fouille. Il m'offre ses fesses. La beauté de son corps ainsi arc-bouté et soumis à ma volonté me fascine et m'excite d'avantage. Je présente mon sexe à son anus
bien dilaté et l'enfonce en douceur. Le gland est entré et me tenant aux hanches de mon petit ange, je le pénètre d'avantage sans brutalité pour qu'il s'y habitue. Les mouvements n'ont pas encore
commencé mais il gémit déjà en cadence et je sens les premières contractions de son rectum. Je me retire doucement puis renfonce mon pénis un peu plus profond. La réaction du corps de Grégory est
immédiate. Tout en poussant un cri qu'il ne cherche pas à étouffer, ses hanches partent vers l'avant comme pour échapper au corps étranger qui l'agresse. Je réitère mes va-et-vient deux ou trois
fois et les convulsions se font moins prononcés. Mon coït anal devient maintenant régulier et les cris de Grégory me poussent à aller plus loin, plus vite et plus profond. Je lui saisis la queue
pour le branler. Elle a atteint sa grosseur maximale et le contact de ma poignée provoque une agitation supplémentaire chez mon partenaire. Il éjacule directement sur ma main sans que j'aie eu à
effectuer la moindre manipulation. Je continue de le branler en changeant de main. Son pénis est très sensible. Je porte à la bouche de Grégory ma main maculée de sperme. J'y introduis mes doigts
et ils sont léchés avec assiduité. Je sens le souffle chaud et rapide sur la paume de ma main tandis que je pressens que je ne vais pas tarder à jouir. Par trois fois, je crache ma semence dans les
entrailles de Grégory en gémissant de plaisir. Je me retire et j'observe le visage de mon ami qui semble épuisé. Il a un peu de sperme sur le côté de la lèvre. Il se passe la main entre les fesses
pour voir si tout est bien en place et vient m'enlacer. À l'oreille il me souffle qu'il n'avait jamais rien ressenti de si puissant. Nous nous sommes alors précautionneusement lavés à nouveau en
nous embrassant de temps à autres. Chacun a aidé l'autre à se sécher dans un silence admiratif. Plus tard dans la soirée, nous avons visionné un autre film mais je crois que nos pensées étaient
ailleurs. Vers 23h, nous avons été nous coucher mais je n'ai pas pu dormir tant j'étais obsédé par l'image de Grégory. Je crois que je l'aimais. _Seconde partie Dimanche: Finalement, j'ai quand
même du dormir un peu car le réveil indique 2h du matin. Malgré mes exubérances sexuelles de tout à l'heure, je me réveille, le sexe tendu et une envie de faire l'amour. Je me fais un petit résumé
intérieur de ce qu'il s'est passé et pense à Grégory, si doux et si efficace à la fois. Je le revois, l'autre jour dans le hall, dans son petit short blanc moulant, fier et adorable au milieu de
nul part. Je songe à ce que nous avons fait et ce que nous ne pourrons plus refaire si les circonstances ne s'y prêtent plus. Je me dis que demain, nous n'aurons peut-être pas l'occasion de se
toucher; quant à la semaine prochaine, ce n'est même pas la peine de l'envisager. J'ai très envie de le rejoindre maintenant dans sa chambre, de me coucher à ses côtés alors qu'il dort encore, de
l'enlacer et de sentir son odeur et la douceur de sa peau sur ma bouche. Je me lève et allume la lumière, je fais quelques pas inutiles, pris dans mes pensées et mes incertitudes. J'ouvre mon
armoire pour m'habiller et aperçois, rangé négligemment au fond de celle-ci, mon propre short blanc. Je l'enfile sans prendre la peine de mettre mon slip comme pour matérialiser plus intensément la
scène du hall. Mon short n'est pas aussi moulant que celui de Grégory mais son aspect satin charme mes sens. Rapidement, je passe mon pantalon et ma veste de jogging, mes baskets et j'éteins la
lumière. Je sors de ma chambre et grimpe les escaliers pour rejoindre l'objet de mes troubles. Si je croise quelqu'un, je dirai que je n'arrive pas à dormir et que je fais une ronde de routine.
J'ouvre la porte, la pièce est dans l'obscurité. Il faut reconnaître que c'est plus pratique pour dormir. Je vais jusqu'au mur et allume la lumière d'appoint. J'observe rapidement la pièce et,
hormis celui de Grégory, les lits sont vides. Je contrôle que c'est bien Greg qui occupe le lit restant. On ne sait jamais que ce soit Boucle d'or qui aurait encore fait des siennes. Mais c'est
bien lui, il est endormi sur le côté, la bouche ouverte. La lumière ne l'a pas réveillé. J'approche le bras pour lui secouer délicatement l'épaule mais la situation me donne l'idée de jouer un peu
au voyeur. J'écarte la couverture pour observer son corps. Il est en torse nu et en slip. D'un mouvement brusque, il se met sur le dos et les bras en croix. Je l'observe quelques instants pendant
lesquels je m'imagine lui faire l'amour. Mon regard est attiré par son slip. J'éprouve le besoin pervers de lui écarter pour mater son sexe et le toucher alors qu'il dort encore. Je tire
délicatement l'élastique et jette un coup d'oeil au visage de Grégory. Pas de réaction. Son pénis est au repos. Je l'attrape et le triture un peu dans l'espoir de le voir gonfler. Je porte ma main
au nez puis, je goûte ce que j'ai pu récolter. J'ai très envie de lui. Je m'approche et je m'agenouille à son chevet. Je passe une main sur sa poitrine et le secoue un peu. Il ouvre les yeux, me
regarde et prend quelques instants pour comprendre où il est. — Qu'est ce qui se passe? dit-il. — Rien, j'avais envie de te voir. — Quelle heure il est? — Ben, c'est la nuit, je réponds. Puis, je
lui explique pourquoi je tiens à le voir maintenant, en omettant toutefois la scène du slip. Je lui raconte aussi la fois où je l'avais vu en short dans le hall et que je l'avais trouvé
terriblement érotique et excitant. Pendant mes explications, il s'était assis sur le lit, les jambes pliées et les mains jointes sur ses genoux. Il semblait avoir émergé et comprenait mes
motivations. Il me demande: "T'as envie de faire l'amour maintenant?" Je lui réponds que j'aurais bien aimé s'il le souhaitait lui aussi. Il sourit et, de la paume de sa main, il frappe le matelas
pour m'inviter à le rejoindre dans son lit. J'ôte mon jogging pour me retrouver en short. Il se lève et ouvre son armoire pour trouver le short que j'aime tant, enlève son slip et enfile le short.
Nous nous retrouvons côte à côte dans son lit. D'un air sérieux, il me scrute le corps puis décide de me caresser la poitrine. Comme à son habitude, il applique sa main avec douceur et tendresse.
Je me laisse faire et apprécie chaque instant de ses attouchements. Il se penche sur moi en s'aidant de la main qu'il vient de poser sur mon épaule et bascule une jambe entre les deux miennes. Il
embrasse d'une dizaine de baisers toute la surface de mon torse en insistant sur les tétons. Pendant ce temps, je lui caresse la chevelure et me détends au maximum. De l'autre main je lui palpe le
short qui, dans la position qu'il a prise, lui moule les fesses. Le toucher doux du short me plaît particulièrement, je suis avec passion tous les détails des petites fesses bien fermes de mon ami.
Lorsque j'arrive à la raie, Grégory pousse un petit soupir et finit pas me dire: "Doucement, j'ai encore un peu mal là." Je n'insiste pas et continue à cajoler l'autre fesse. Il frotte de temps à
autre son short contre ma cuisse et prend du plaisir en solitaire. J'ai très envie de sentir son corps sur le mien, de ne faire qu'un avec lui, dans une étreinte d'amour, de tendresse et de sexe.
J'étends les bras afin de lui saisir les fesses à pleine main puis tente de ramener son corps complètement sur le mien. L'aspect satiné de nos shorts permet une glisse plus facile (comme avec le
nouveau Calor vapeur turbo à cartouche anti-tartre). J'écarte les jambes un peu plus et Grégory passe son autre jambe entre les miennes. Le voilà bien centré et je pourrais profiter de ses
mouvements de hanches. Je sens sa queue tendue contre la mienne aux travers de nos shorts et une main sur le short et une main sur le bas du dos de Grégory, je l'incite à se frotter sur moi. Au
bout de quelques instants nous commençons à avoir très chaud et j'exagère volontairement la scène par quelques répliques empruntées à de très grands films qui gagnent à être connues de par leur
texte recherché: "Oh oui, baise-moi bien, oui comme ça c'est bon, je sens ta grosse queue." Cela semble amuser mon jeune partenaire qui, parfois me regarde et me sourit à pleine dent, parfois sort
la langue pour m'embrasser. Je me rends compte comme il est beau. Même dans cette situation salasse, il trouve l'occasion de répondre avec originalité: "Tu vas voir, tu vas fumer du short!" Ce
n'est pas trop faux car nous sommes trempés de sueur et essoufflés à force de se frictionner l'un sur l'autre. J'en attrape presque mal aux testicules. Malgré cela nous continuons jusqu'à
épuisement et je caresse son dos humide. Nous faisons une courte pause pour reprendre notre souffle et nous observer juste pour le plaisir de se regarder sans rien à commenter mais avec la même
idée en tête. Au cours de ce repos, Grégory me palpe le short déjà bien taché. Il me branle au travers, ce qui n'est pas très pratique. Il sort mon sexe par une des jambes et après m'avoir masturbé
quelques instants, il se décide à me sucer. D'abord par de petits coups de langues réguliers, elle disparaît soudain aspirée par sa bouche. Il est très doué. Il réussit à me sucer en s'arrêtant
toujours juste à temps pour ne pas que j'éjacule trop rapidement. Profitant d'un moment d'inactivité, je demande à Grégory de me présenter son short afin que je puisse le tripoter pendant qu'il
continue sa fellation. Il change alors de position et poursuit son ouvrage. Nous nous sommes placés sur le côté et j'ai maintenant devant les yeux le tissu tendu du short de Grégory sous lequel je
devine un engin aussi attirant que redoutable. Pendant que je passe une main sur le sexe, l'autre va s'attarder sur les fesses. Je profite ainsi au même moment de tous les plus beaux aspects de mon
camarade de jeux. Je ne me lasse pas de ce contact si doux que m'offre ces formes parfaites si magnifiquement moulées. Mes attouchements n'en finissent plus alors qu'en même temps je me fais
royalement sucer. Je porte maintenant les deux mains sur les fesses de Grégory et j'approche mon visage afin d'embrasser son pénis en érection qui prend une place imposante dans son petit short. Je
lui embrasse et de la langue j'en parcours la configuration. De manière ininterrompue, je lui lèche le short qui s'imbibe un peu plus de salive à chaque fois et qui par transparence laisse
apparaître de plus en plus nettement le membre gonflé de mon compagnon. Ses hanches se contractent quand ma langue cajole son gland et mes mains caressantes sur ses fesses assurent un ferme
contrôle des mouvements de bassin. Grisé par le plaisir de la pipe que m'offre Grégory, j'éjacule sans pouvoir résister. La fellation n'est pas terminée pour autant. Grégory continue à me sucer
afin de ne pas perdre une seule goutte de sperme qu'il avale aussitôt. Le visage collé sur le short, j'expulse mon plaisir par des cris étouffés. Pendant quelques instants je me repose, la tête
entre les jambes de Grégory et mes mains palpent ses fesses. Je vais presque m'assoupir profitant du plus confortable des oreillers doux, chaud et tendre. Mon partenaire ne l'entend pas de cet oeil
là car lui a manifestement très envie de poursuivre. Il a rangé mon sexe dans mon short et me demande maintenant de m'allonger sur le ventre prétextant que je peux me reposer car il s'occupe de
tout. Je m'exécute, me place sur le ventre, entoure de mes bras l'édredon en attendant l'agréable surprise qu'il me prépare; peut être un massage... "Écarte un peu tes jambes," me dit-il. Il
s'allonge alors sur moi et place ses mains sur mes épaules. Avant de m'embrasser sur l'oreille, il me souffle à celle-ci: "On n'a pas encore fait ça. Tu vas aimer!" Il commence alors une série de
va-et-vient short contre short. Je sens son sexe tendu qui pénètre la raie de mes fesses. Au plus il se frotte, au plus son gland vient me percuter l'anus violemment. Cela n'est pas pour me
déplaire, la sensation est agréable et j'ouvre mes fesses un peu plus chaque fois pour profiter du bonheur que cela me procure. Finalement, Grégory éjacule dans son short en hurlant en poussant des
cris de plaisirs qui sont presque des rires. Nos shorts sont trempés et j'ai les fesses humides. Nous avons enfin retiré nos shorts maculés puis nous nous sommes enlacés comme pour communier l'un
avec l'autre. Il ne s'agissait plus ici d'envie sexuelle mais d'un échange humain que nous avions besoin de partager. Nous nous sommes embrassés puis contemplés. Le regard que m'offrait Grégory
confondait mes sens. Chacun des détails de son visage, chacune de ses expressions me charmait. Nous sommes restés ainsi à nous observer sans mot dire pendant de longues minutes. Au-delà des
considérations purement physiques, une passion mystérieuse et indescriptible circulait entre nous. Cet instant là était beau et fort...