Je vivais avec ma copine à l'époque. Nous étions ensemble depuis 3 ans et nous vivions ensemble depuis un an. Au lycée, les mecs ne m'intéressaient que de loin car j'avais une copine avec qui tout se passait très bien.

Mais commençant à travailler et vivant à Paris où les homos sont nombreux, j'ai commencé à avoir envie de connaître l'amour avec un homme. Cette chance s'est presentée un jour du mois d'août, alors que je bossais. Je bosse dans un restaurant et les touristes y sont nombreux.

Ce jour là, il faisait très chaud et le travail était épuisant. Je passais d'une table à l'autre sans même prendre le temps de regarder mes clients. Pourtant, quand il est entré, je l'ai tout de suite remarqué. Il devait avoir dans les 25 ans, brun, des yeux bleus magnifiques et un corps superbe dans son jean et son polo Lacoste. Le voir entrer comme ça m'a fait un choc, je ne savais pas qui il était mais j'avais envie de le connaître, que ce soit lui...

Quand je suis arrivé à sa table pour prendre sa commande, je n'arrivais pas à aligner deux mots de suite, j'en avais perdu mon anglais. Ça l'a fait rire, un rire qui chante et qui vous donne envie de rire avec lui. Finalement, après m'être excusé, j'ai fini par prendre sa commande et celle de l'homme d'une trentaine d'années qui l'accompagnait. Le service s'est très très bien passé et je dois dire que j'ai soigné mon service pour ces petits anglais beaucoup plus que pour les autres clients.

Vers 15h00, alors que le restaurant se vidait, je suis allé leur apporter l'addition (plutot salée) et mon bel anglais m'a demandé où se trouvaient les toilettes. Je lui ai indiqué un petit escalier, lui indiquant qu'il devait prendre la porte de droite et non pas celle du fond où se trouvait une partie de nos réserves. Après quelques minutes, son compagnon, ne le voyant pas revenir, m'a demandé d'aller voir ce qu'il faisait et moi, n'y voyant rien de mal, j'y suis allé. Il n'était pas dans les toilettes. Je suis donc entré dans la réserve. Il était là, assis sur un carton.

Quand il m'a vu, il a souris, s'est levé et est venu sans dire un mot m'embrasser sur la bouche. De sa langue, il a exploré ma bouche. Le contact de sa langue m'a presque hypnotisé, c'était grisant et totalement nouveau pour moi. Je sentais son corps chaud et musclé collé contre le mien, la bosse dans son jean qui poussait pour sortir a ammené une réaction identique chez moi. Mes mains ont commencé à parcourir son corps et ont atteint ses fesses rondes et fermes. Lui a commencé à me toucher le sexe qui, tendu au maximum, était très voyant dans mon pantalon à pinces.

Doucement, il a ouvert la baguette, ce qui a permis à mes 18cm de s'échapper. Lentement il s'est mis à me branler pendant que je passais mes mains malhabiles sous son boxer pour toucher cette peau douce qui m'excitait tellement. C'est à ce moment là qu'il s'est mis à genoux pour prendre en bouche ma queue raide. Jamais je n'avais alors connu pareil pipe, je ne comprenais pas ce qu'il faisait, sa langue virevoltait le long de ma tige, m'emmenant au paradis. Je sentais que j'allais venir, alors je lui ai dit d'arrêter.

Il s'est alors relevé et m'a à nouveau embrassé à pleine bouche tout en se déshabillant. Son jean aux pieds, il a posé ses mains contre le mur, cambrant dans une posture de rêve son petit cul. J'ai presenté mon gland rouge de désir à l'entrée de cette rondelle offerte et lentement j'ai poussé. Je pense qu'il a dû avoir mal mais il n'a rien dit car nous nous embrassions en même temps. Lentement, j'ai poussé jusqu'au fond de son cul. J'ai alors commencé tout doucement à aller et venir dans son cul chaud. Je venais trop vite, le délice était sans nom. J'ai alors joui dans une explosion des sens pas possible. Quatre longues giclées de mon foutre sont venues remplir la capote qui les retenait et il a dû les sentir car il a mis fin à nos rapides ébats.

Il m'a dit avoir envie de recommencer ça le soir même, mais cette fois-ci, plus tranquillement, à son hôtel. Il m'a donné son adresse et le numéro de sa chambre. À moi de voir.

J'y suis allé, mais là, je vous raconterai la suite plus tard...