Jeudi 20 novembre 4 20 /11 /Nov 08:46

Voilà quelques années que je remplace ce médecin dans un village d'une campagne paumée. Moi, jeune médecin de 25 ans ayant fini ses études, ou presque, voilà de quoi parfaire ma formation et surtout, gagner ma vie. Le cabinet est sympa, il y a un petit appartement au premier étage et tout ce qu'il faut.

Aujourd'hui, journée de merde! Demandes de visites qui arrivent trop tard, Madame X que nous suivons depuis quelques années qui appelle en catastrophe pour un malaise... et je vais être en retard pour ma consultation. J'arrive quand même et la secrétaire fait entrer le premier patient... Qu'il est beau: jeune, environ 18 ans, brun, manifestement très poilu et très impressionné.

Il m'explique en bredouillant qu'il a fait une visite à un parent la veille dans un hôpital et qu'il y a fait un malaise. Rapidement revenu à lui, les infirmières lui ont conseillé de voir son médecin, ce qu'il fait aujourd'hui. Je l'interroge sur ses antécédents tout en le détaillant: mince, bien dessiné, brun avec une touffe de poils noirs qui passe par l'intermédiaire de sa chemisette, son jeans moule un bassin fin et l'avant semble tendu; il doit porter un slip qui fait ressortir ses attributs. En bas, des chaussures de bateau sans chaussettes laissent voir la pilosité de ses jambes. Je commence doucement à m'échauffer, simplement en fantasmes puisque je n'ai pas l'habitude de me jetter sur les patients.

Je le rassure sur la nature de son malaise et lui propose de passer dans la salle d'examen, en lui demandant de se déshabiller.

— Entièrement? me demande-t-il.

— Non, laissez votre slip...

Je le suis et le regarde avec discrétion se dévêtir; quel délice, il est exactement comme je les aime, la peau semble douce, le torse est velu, il se forme sur le ventre une ligne noire qui descend en s'élargissant vers le slip, il dépasse des petites touffes de poils sous les bras, les jambes finement musclées sont couvertes de poils... un régal et son slip, petit vêtement blanc qui semble plein à craquer, il faut que je voie ça!

À ma demande, il s'allonge sur la table, avec des gestes caressants et doux, je lui prends la tension, ausculte avec beaucoup de soins son joli coeur et décide de palper le ventre, pas de problème; je glisse une main sous l'élastique du slip, lui demande de se soulever et en le regardant dans les yeux, lui descends jusqu'aux genoux. Je découvre une petite bite bien installée sur une forêt de poils et surmontant des couilles impressionnantes.

En palpant rapidement, je ne voulais pas attirer l'attention, je vois doucement le membre prendre de l'ampleur, se deployer paresseusement et je me dis que cela ne va pas durer, c'est passager, eh bien si! Lentement la colonne s'est dressée pour atteindre une taille respectable; je le regarde, il a l'air gêné, je lui bredouille quelques paroles rassurantes sur l'aspect "physiologique" de la situation et commence à lui palper les couilles qui roulent sous mes doigts. Sa trique se durcit encore et je fais quelques mouvements de coulisses sur sa tige puis je replis ses genoux et lui fait écarter les cuisses et je palpe cette région chaude et humide. Je me baisse un peu et je sens cette odeur si caractéristique des mecs, douce et un peu acide.

Pendant ce temps, je lui demande si il a une copine, il me répond que oui sans plus de détails... Une petite goutte de sperme brille en haut de son mat. Pour ma part, je ne savais plus quoi faire, ma queue me faisait mal, tendue dans mon slip. Je me frottais discrètement au bord de la table à proximité de sa main que j'effleurais de temps en temps. Bien plus détendu, il avait placé ses mains sous sa tête et me regardait avec l'ombre d'un sourire... était-ce une invitation?

Après quelques minutes de ce petit manège, j'ai ressenti ma jouissance et j'ai noyé mon slip sous les giclées de sperme chaud. Rapidement ma tension diminue et je lui propose de se rhabiller, ce qu'il fait, la bite toujours aussi tendue. Il retourne dans le bureau, me paye et s'en va. Je ne l'ai jamais revu.

Avant le patient suivant, je repasse dans la salle d'examen et je vois la trace humide laissée sur la table, je la renifle, je la lèche et me branle une nouvelle fois et j'éjacule sur la table, repus de sexe.

Je pense que la mémère suivante a dû me trouver bien peu intéressé par ses varices.

Combien de fois ai-je revécu cette histoire? Aurais-je dû aller plus loin? Fallait-il le branler doucement jusqu'au bout? Fallait-il que je sorte ma queue? Fallait-il le sucer? Une seul chose est sûre, il était beaucoup plus intéressé qu'un hétéro qui a une trique pendant un examen médical! Peut-être a-t-il regretté que rien ne se passe, peut-être s'est-il branlé en rentrant chez lui... il reviendra...

Dans mon rêve le plus excitant, je m'imaginais à poil en train de m'asseoir sur sa tige, quelle jouissance cela aurait été...

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : Gay
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