Mercredi 12 novembre 3 12 /11 /Nov 19:06

Je connais Raoul depuis qu’il est enfant. Mon père est garde-chasse dans la propriété et nous habitons dans les communs du château. Cette histoire remonte à cet été, pour bien situer, je viens d’avoir 16 ans et Raoul juste 15.

Raoul est un joli petit blond aux yeux bleus et au teint mat, un peu fluet, 1m70 sans doute pour moins de 60kg, mais terriblement sexy et je ne vous dis pas les branlettes qu’il m’a inspirées. Mais c’est le jeune Comte et pour moi, il est inaccessible.

Moi je suis plutôt robuste et bien musclé, brun aux yeux noirs, 1m78 pour 68kg, je fais beaucoup de sport et m’entraîne régulièrement en courant dans la propriété, je suis au lycée dans la ville voisine tandis que Raoul lui a un précepteur qu’il partage avec ses deux sœurs un peu plus âgées. Je ne sais rien de lui au niveau sexuel mais compte tenu de l’atmosphère du château, je suppose qu’il ne doit pas être très avancé.

Malgré notre proximité, nous ne sommes pas très amis, il y a toujours un fossé entre le châtelain et le garde-chasse, mais nous nous disions bonjour et échangions des banalités jusqu’au jour où Raoul me demanda s’il pouvait venir courir avec moi dans les bois. Ravi de pouvoir partager mes loisirs avec lui, je donne mon accord et nous prenons rendez-vous pour le lendemain mercredi à 15h, non sans lui avoir spécifié de se mettre en tenue de sport car j’avais envie de voir à quoi il ressemblait...J’étais loin de me douter des suites de cette aventure

À l’heure dite, il était chez moi. Quel beau gamin! Il avait mis un polo de coton écru sur un flottant bleu marine et moi qui le croyais maigre, j’ai eu la surprise de voir deux cuisses bien potelées surmontées d’un petit fessier bien rond. Je ne savais pas comment j’allais m’y prendre mais il fallait que j’arrive à le voir nu. Je n’avais pas de plan mais je me dis que j’improviserai bien quelque chose...

— On y va, vous êtes en forme?

— Si vous voulez on peut se dire "tu", ça me changera du château.

— D’accord! Disons nous "tu", c’est parti!

Je savais que sans entraînement, il ne pourrait pas tenir longtemps. Je pris donc les devants en petite foulée en lui demandant de rester juste derrière moi et de me dire si ça allait trop vite. Après avoir parcouru mille à deux milles mètres et escaladé une petite colline, nous arrivions au bord de l’étang. Il était déjà en nage la sueur ruisselait de son joli minois et son souffle était court:

— Une petite pause Raoul?

Je ne l’avais jamais appelé Raoul mais Monsieur, je m’en excusais vivement.

— Pas de problème Yan, tu peux m’appeler Raoul et je veux bien attendre un peu, dommage que l’on n’ait pas de maillots de bain, j’aurai bien plongé.

— Moi aussi mais je n’ai pas besoin de maillot, j’ai l’habitude de me baigner tout nu, je passe là presque tous les jours et profite de l’étang

Sentant l’opportunité et joignant le geste à la parole, je commençais à me déshabiller et restais en slip devant lui ne voulant pas trop le brusquer pour la première fois.

— Alors Raoul, tu te décides?

— Je ne sais pas Yan. Je ne me suis jamais déshabillé devant personne. Ça me gêne un peu.

— C’est comme tu veux! dis-je en enlevant mon slip. Moi j’y vais.

Ses yeux étaient fixés sur mon bas-ventre, je crois bien que c’était la première fois qu’il voyait un autre garçon nu et c’est alors que je lui demandais:

— Tu la trouves grosse?

Ma remarque le fit rougir jusqu’aux oreilles, il fit la moue et tourna la tête aussitôt, gêné par le fait qu’il avait été surpris comme un écolier volant des bonbons.

— Si tu veux Raoul, on peut rentrer je prendrai mon bain un autre jour.

— Non, non, Yan! C’est seulement que j’hésite à me déshabiller...

— Alors je vais t’aider, tu verras ce n’est pas si terrible!

Je l’attirais vers moi et commençai à lui enlever son polo. Voyant qu’il acceptait, j’ai continué par ses chaussures. Arrivé à sa culotte, je le regardais bien dans les yeux avant de commencer à la baisser tout doucement jusqu’à ses genoux et il ne resta bientôt plus qu’un mini-slip de coton blanc très sexy et bien garni me semblait-il. Le prenant à la taille, je le regarde en lui demandant:

— Je peux?

Il me fait oui de la tête malgré une larme au coin de l’œil, je descends alors son slip tout doucement découvrant lentement son pubis parfaitement glabre surmontant un magnifique sexe dont le gland était dissimulé sous un énorme prépuce se terminant par une petite tétine brune. J’étais suffoqué à la fois par son corps d’enfant et par l’importance de son sexe presque aussi gros que le mien. Bien que je sois parfaitement novice, j’ai toujours été attiré par les sexes, surtout au repos; je ne me lassais jamais de regarder le mien dans une glace. Là, j’avais devant moi un sexe qui touchait la perfection, couronné par ce joli prépuce surmontant une verge parfaite où s’attachaient deux jolies petites boules.

— Voilà! Ce n’était pas si difficile. Maintenant au bain!

— T’es formidable Yan. Si tu ne l’avais pas fait, j’aurai jamais osé...

Finalement il avait un corps magnifique et bien proportionné. Il me fallait maintenant le caresser et j’attendais qu’il soit dans l’eau pour le chahuter un peu non sans quelques pensées perverses en tête. Le bain durait maintenant depuis dix minutes et je commençais à le chatouiller de partout en essayant de lui faire boire la tasse. Il me le rendait bien et c’est un Raoul malicieux avec de petits yeux pétillants qui est sorti du bain après moi.

— Yan, on n'a rien pour s’essuyer?

— C’est pas grave, avec le soleil qu’il fait, dans un quart d’heure on est secs. Allons plus loin sur la mousse, on sera mieux.

Ce corps de rêve n’était pas sans m’émouvoir et mon sexe commençait à prendre des proportions inquiétantes et Raoul ne manqua pas de le remarquer. Je vis un sourire sur son visage puis il dit:

— Le matin, c’est des fois pareil pour moi...

— Le matin seulement? Tu ne fais jamais la branlette?

— C’est quoi la branlette?

— C’est se donner du plaisir avec son sexe en le branlant. Personne ne t'en a parlé?

— Non jamais, qui veux-tu qui me parle de ça au château. Comment on fait, Yan? Explique-moi!

Je dois dire que j’étais très gêné. Il y a une heure on se disait vous, maintenant nous étions nus tous les deux et il me demandait comment on fait une branlette! Mon sexe était maintenant complètement raide et Yan le fixait d’un regard insistant. Je me décalottais et remontais mon prépuce une ou deux fois.

— Tu vois, c’est comme ça que l’on fait. Mais ne me dis pas que tu ne l’as jamais essayé?

— Je te jure, je ne l’ai jamais fait. Ce n’est même pas sûr que je puisse baisser la peau quand je suis raide.

— Quand on est raide, on dit que l’on est en érection ou plus simplement que l’on bande. Tu commences à bander à ce que je vois?

— Oui tu m’excites avec tes histoires. Je ne sais pas comment dire mais ça me picote un peu dans le ventre.

— Alors essaie Raoul, tu verras comme c’est bon. Moi je le fais tous les jours, des fois deux fois: le matin et le soir.

— Je ne sais pas bien comment faire, montre-moi...

— Approche-toi, viens t’asseoir sur la souche, là.

Raoul bande comme un jeune cerf. Je me mets à genoux entre ses jambes et lui caresse doucement la verge et les bourses. J’ai maintenant les doigts sur son prépuce que je tire tout doucement de peur de lui faire mal. Je le regarde pour juger de ses réactions, il commence à grimacer alors que l’on voit seulement l’orifice de son gland. Ne sachant que faire, je lui demande d’essayer tout seul et je me décalotte à fond pour lui montrer. Il prend alors timidement son prépuce et tire un peu plus que moi, la moitié de son gland est sorti et il geint en disant:

— Ce n’est pas possible, je ne peux pas aller plus loin!

— Attends, on va essayer autre chose...

Je crache alors dans ma main et lui beurre bien le gland avec ma salive. Je lui remonte la peau puis j’essaie de le décalotter une nouvelle fois. Petit cri mais le gland est presque sorti. Je recommence l’opération salive et cette fois, le prépuce est descendu, ouf! J’ai eu peur de le blesser mais non:

— Oh! c’est génial je ne croyais pas que c’était possible, merci Yan!

J’étais dans tous mes émois, mon sexe me faisait mal. Pourtant je ne voulais pas me branler avant de lui avoir donné sa jouissance, je reprenais donc:

— Maintenant tu peux faire la branlette, je vais t’aider.

— Oui Yan s’il te plaît...

Et comment qu’il me plaît. Faire jouir ce magnifique blondinet pour sa première fois, qui aurait donné sa place! Je lui ai demandé de bien mettre de la salive sur son gland pour le lubrifier et j’ai repris l’opération inverse en remontant son prépuce. Après, je l’ai baissé à nouveau sans difficulté. Son gland rose apparaissait et disparaissait comme un fruit mûr au rythme régulier de ma main. C’est alors qu’au lieu de le garder entre deux doigts, j’ai pris sa hampe dans toute ma main et ai commencé un massage en règle. De temps en temps, je marquais une pause pour titiller son frein avec mon pouce. Il poussait alors de petits soupirs d’extase, son visage s’empourprait et ses grands yeux bleus me regardaient intensément.

— Ça te fais du bien?

— Oh! Oui Yan, ça me picote partout, continue!

Je ne voulais pas accélérer la cadence, je savais que sa jouissance devait monter lentement pour être au maximum et je désirais lui faire le plus beau cadeau possible.

— Mets de la salive sur ton gland et continue tout seul, tu sais maintenant.

— Non j’aime mieux quand c’est toi qui le fait.

Comment refuser à cette jolie frimousse et à ce corps de rêve. Il avait maintenant les jambes complètement écartées et je pouvais voir son petit œillet rose car ses testicules remontaient tout contre sa hampe. Je savais qu’il était près de l’orgasme comme l’indiquaient ses petits cris plaintifs.

— Yan ça me chauffe, ça me pique partout, c’est terrible, va plus vite!

Au contraire, je ralentis un peu en serrant bien sa hampe et en m’attardant sur la corolle du gland. Avec mon autre main, je caressais ses testicules en même temps que je lissais son petit trou avec le doigt.

— Oui Yan! J’ai des fourmillements partout dans le ventre, c’est terrible, terrible...

Il commença à pousser des petits cris, ses yeux étaient fermés, de grosses gouttes de sueur roulaient sur son visage et ses boucles blondes collaient à son front.

— Yan! Je vais mourir, je ne sens plus mon ventre, ça me brûle partout, dans la tête aussi, c’est géant!

Je le regardais, sa bouche faisait un "O", puis vint un cri rauque, tel un rugissement de fauve et trois ou quatre jets de sperme atterrirent sur mon torse. Quelle pression pour une première fois! Il a vivement arrêté ma main, il s’est tu, son visage s’est décrispé et il m’a gratifié de son plus beau sourire. Il était béat, sa respiration reprenait difficilement et il finit par balbutier:

— Merci Yan, je n’aurais jamais cru. Comment te remercier?

— Tu me fais un bisou?

Dans un élan spontané, il m’enlaça de ses deux bras, collant son corps au mien et me gratifia de deux baisers sur les joues. Nos corps étaient collés par son sperme et il nous fallut nous essuyer avec de la mousse. C’est à cet instant qu’il réalisa que j’étais toujours bandé.

— Mais toi tu n’as pas joui! Joui, c’est bien comme ça que l’on dit?

— Oui c’est comme ça, tu m’as excité, je vais me faire une branlette

— Sûrement pas! C’est moi qui vais te la faire, pour mon plaisir et te remercier. Tu me diras si je ne le fais pas bien!

J'en avais très envie mais je ne savais pas si je devais aller jusque là. Il était si candide! Mais j’étais tenaillé par l’envie de jouir et finis par lui dire:

— Oui on verra si tu es bon élève!

Je me couchai sur le dos dans la mousse et Raoul vint se placer à mes côtés. Personne ne m’avait encore touché à cet endroit et sa première caresse me remplit d’extase. J’avais peur de jouir trop vite et de ne pas profiter de mon petit compagnon mais il allait très doucement, avec délicatesse, calottant et décalottant le gland à fond à chaque mouvement. C’était génial et pour ne pas être en reste, je lui caressais les fesses affectueusement. Puis je lui dis de prendre mes bourses de l’autre main et de les masser en même temps. Pour moi, c’était le bonheur complet: ce magnifique garçon nu à mes côtés en train de me masturber pendant que je lui pelotais les fesses, quel pied!

Malheureusement tout a une fin et je sentais ma jouissance monter inexorablement. Je ne voulais pas lui mettre du sperme sur les mains et tentai de le prévenir:

— Raoul, fais attention car j’ai plus de sperme que toi et je risque de t’en mettre plein la main!

— Ne t’inquiète pas Yan, j’irai au bout comme toi. Je veux que tu montes au ciel avec ma main...

Quel charmant petit bonhomme, il s’appliquait vraiment. Le problème est que je n’étais pas habitué à la main d’un autre. Si j’avais mené l’opération, j'aurais déjà accéléré pour activer ma jouissance mais là, j’avais un maître et je subissais avec délice la cadence qu’il m’imposait.

Il bandait de nouveau et je lâchai ses fesses pour prendre sa jolie bite pour en libérer le gland. Il rit de toutes ses dents et continua sa masturbation consciencieuse. Je crois approcher du point de non-retour, je sens monter ma jouissance, mon ventre se contracte, l’orgasme est fort, comme jamais! J’ai crié et déversé plusieurs giclées de sperme dont une goutte perle encore au menton de mon bienfaiteur. Rien à voir avec mes branlettes habituelles, c’était grandiose!

— Eh! bien Yan j’en ai partout, sur les mains, sur le torse, même au menton! J’espère que ça a été bon pour toi?

— Oui mon petit Raoul, approche ta frimousse, je vais te faire un bisou.

J’en profitais pour le serrer dans mes bras et lécher mon sperme sur son menton et sur son torse et je fus très surpris quand de lui-même, il vint m’embrasser sur les joues et dans le cou.

— Tu sais Yan, je veux recommencer avec toi. C’était trop bon!

— Maintenant tu sais le faire tout seul...

— Oui mais c’est mieux à deux, j’ai vu ton plaisir pendant que je te branlais.

— Sûrement, mais ça doit rester notre secret et je te montrerai autre chose la prochaine fois...

— Tu me montreras quoi? Dis-le moi tout de suite!

— Non, la prochaine fois c’est promis. Pour l’instant, on s’habille et on rentre!

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : Gay
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