Samedi 8 novembre 6 08 /11 /Nov 12:32

C'était encore une très longue journée que l'on avait ce mardi au lycée, entre les maths, histoire et autre anglais, pourtant en plein après-midi, après 2 heures de maths non-stop, c'était plutôt avec le sourire que je me dirigeais en B63 pour 2 heures d'économie... La raison en était simple: mon prof, M Deny, Jeremy de son prénom.

Mes copains se demandaient toujours pourquoi moi, Marc, j'étais aussi concentré et sérieux durant ce cours... mais il fallait le voir! Jeremy, il était tellement canon avec ses cheveux noirs courts mais bouclés, ses yeux verts très clairs, et son corps musclé. Il devait avoir entre 30 et 35 ans et comme il n'avait pas d'alliance, je me posais souvent la question de savoir s'il était gay ou hétéro, il ne disait rien de sa vie privée mais quelque fois il lui arrivait de lâcher quelques réflexions du genre: "tiens toi, là (à un élève au hazard) lorsque tu aimeras une fille ou un mec, c'est selon..." Bien sûr ça faisait rire tout le monde mais lui avait un petit sourire très mignon mais qui voulait en dire long.

Ce que je préférais chez Jeremy c'est lorsqu'il portait un jeans. Il les choisissait toujours assez serrés de sorte qu'apparraissait toujours un délicieux petit paquet entre les jambes. Et lorsqu'il s'asseyait, ce paquet prenait une très belle taille, et souvent d'ailleurs, le rabat de sa braguette était relevé et laissait paraitre sa boutonnière tellement tendue qu'on aurait dit qu'elle allait exploser. Rien que cette vision me faisait gonfler mon entrejambe.

C'est d'ailleurs une des raisons pour laquelle j'ai arrêté de porter des caleçons, la fois où fantasmant sur Jeremy me vint une trique d'enfer incontrôlable et tellement visible que mon copain d'à côté me le fit remarquer en plaisantant. J'inventais une histoire de fantasme sur la fille la plus canon de notre classe mais depuis, je porte des slips.

Souvent, je matais donc l'entrejambe de Jeremy (j'étais toujours au premier rang) et plusieurs fois, son regard se portait sur le mien à ce moment précis. Je suis sûr qu'il avait remarqué que je matais son paquet car ensuite, il écartait encore plus les jambes... ou était-ce mon imagination?

Ce jour précis, Jeremy nous rendait nos copies sur une dissertation. Le fait d'avoir un tel canon comme prof devait sans doutes me motiver car l'éco était ma meilleure matière et j'avais toujours les meilleures notes, pourtant cette fois, j'eus 02/20... quelle surprise! D'autant que je pensais sincèrement avoir réussi, cela étonna tout le monde à tel point que Jeremy me demanda de rester après l'heure pour en discuter... Quelle très bonne excuse! Cela n'étonna personne et même moi, je ne m'attendais pas à ce que ce ne soit qu'un prétexte de sa part mais j'étais très heureux à l'idée d'être seul avec lui ensuite.

Le moment vint enfin. Jeremy attendit que la classe soit entièrement vide. Moi, comme c'était notre dernier cours de la journée, j'expédiais mes amis qui voulaient m'attendre en leur disant que je rentrerais seul... Nous fûmes enfin seuls. Il se leva, alla fermer la porte et se rassit à son bureau, il commença banalement à me parler de ma copie, si tout allait bien chez moi etc, etc... mais tout en faisant cela, il n'arrêtait pas en même temps d'un geste mécanique, de se remonter l'entrejambe alors qu'il ne faisait jamais cela en cours. Bon sang ce qu'il était beau avec ce jeans bien plein et ce t-shirt blanc moulant. Bien sûr je ne pouvais détacher mon regard de son paquet. Il s'en apperçut.

— Qu'est ce que tu regardes Marc?

— Heu... rien.

— Je suis désolé, je te choque peut-être quand je fais ça?! (et il recommença son geste mais cette fois laissa sa main sur son paquet et la massait lentement)

— Non, pas du tout... j'ai toujours adoré la forme de votre... (cette fois je me lâchais) Vous avez une très belle bosse, je suis admiratif.

— Allons, je suis sûr que tu as une belle bosse aussi, je me trompe? Assieds toi que je vois ça!

Je n'en croyais pas mes oreilles, aussitôt, il me fit assoir sur son bureau, juste en face de lui, mon entrejambe à hauteur de ses yeux, il contemplait sans retenue mon paquet.

— Tu vois, tu en as une très belle toi aussi.

Et là il posa sa main sur mon entrejambe et le caressa lentement. Mon coeur cognait à en exploser, et bien sûr si mon paquet était aussi gros, c'est que je triquais comme un fou depuis quelques minutes déjà.

— Oh mais dis-moi, c'est que c'est bien dur tout ça! Tu sais, je t'observe depuis le début de l'année, et j'ai toujours pensé que tu devais être chaud de cet endroit mais à ce point!!! Tu sais que tu es très mignon, et bien musclé, tu dois en avoir des conquêtes! Tu dois rendre folle toutes les filles.

— Vous savez, je n'ai que 16 ans, alors les expériences...

— Tu es encore vierge?

— Oui.

— Tu n'as encore rien fais avec ton bâton?

— Non, enfin, si on exclut la branlette (je ris nerveusement).

— C'est bien aussi la branlette, je me branle souvent moi aussi. Dis-moi, ça ne te dirait pas que l'on se branle, ensemble, là?

Si ça me disait? J'en aurais pleuré de joie, toutefois ma réponse fut beaucoup plus modérée:

— Oui, bien sûr.

— Alors vas-y, commence, j'ai envie de te voir te deshabiller.

Je commençais alors (assez maladroitement je dois dire) à retirer ma chemise et mon t-shirt, lui, dévora mon torse du regard. Il faut dire que sans me vanter, mon torse était assez musclé et avec pas mal de poils dessus. Puis, je me levais pour baisser mon jeans que je gardais aux chevilles et restai en slip, un petit slip bleu, dont paraissait nettement maintenant mon sexe en pleine érection. Être ainsi nu devant l'homme de mes rêves et en pleine salle de classe m'excitait tellement que mon sexe me faisait mal tant il était raide. Son regard se posa sans aucune gêne sur ma bosse, et il se massait son paquet pendant ce temps.

Je baissai alors mon slip, mon sexe alors claqua contre mon ventre, complètement au garde-à-vous, je me rassis en face de lui, et commençai à me branler lentement, il m'observa pendant un moment, puis je lui dis:

— À votre tour, je veux vous voir aussi.

Là, il commença à sortir son t-shirt de son jeans. Ce faisant, je me disais en moi-même que ça ne pouvait être qu'un rêve: le mec le plus canon que je connaisse, celui à qui j'ai consacré la plupart de mes branlettes, allait enfin dévoiler sa queue à moi, rien qu'à moi. Il retira complètement son t-shirt et je vis un torse superbe, digne d'un mannequin, très musclé (surtout aux abdos) et absolument imberbe, deux tétons bien roses et raidis.

Puis il passa sa main dans ses cheveux bouclés et descendis à son jeans, il en défit tous les boutons un à un en me regardant, comme pour m'exciter (comme si j'en avais besoin!), et tout en restant assit en face de moi, le fit glisser à ses pieds. Il était alors là, devant moi, beau comme un dieu en boxer Calvin Klein blanc moulant d'où emergeait une belle bosse. Là il se caressa un instant en me regardant et en regardant ma bite puis, il baissa d'un coup son boxer, et il resta là, entièrement nu devant moi.

Sa queue était magnifique, il ne bandait pas encore, elle mesurait bien 12cm, elle était assez large, son gland était entièrement recouvert de son prépuce sombre. Derrière, deux belles couilles pendaient, des couilles bien plus grosses que les miennes, enfin, pour orner le tout, des poils aussi sombres que ses cheveux, seuls poils apparent sur lui.

Il commença alors à se branler vigoureusement, comme pour s'excuser de ne pas déjà bander devant moi, je la vis peu à peu prendre forme: sa queue mesurait bien 17cm, une taille fort honnorable, surtout comparée à mes 15cm. Son gland était maintenant apparent, un beau gland rose et bien large, très humide, je voyais ses couiles balloter au rythme de ses mouvements, je me remis alors moi-aussi à me branler quand soudain, il se pencha vers moi, il prit ma queue dans sa grosse main virile, baissa soigneusement mon prépuce avec 2 doigts (oui, même en érection, mon gland n'est jamais entièrement découvert) et se la mit dans la bouche. Je fermais un instant les yeux en réalisant ce qui se passait: Jeremy me taillait une pipe, la première pipe de ma vie, je ne l'oublirai sans doutes jamais de ma vie.

Et quelle expérience: sa bouche allait et venait jusqu'à enfourner ma petite queue toute entière, jusqu'aux poils, je sentais mon gland aller au fond de sa bouche, et sa langue experte toucher mon gland, s'enrouler autour très vite, il descendait aussi et lèchait mes couilles avec un plaisir non dissimulé et je fis des efforts surhumains pour ne pas éjaculer tout de suite. Puis, tout en me suçant, de ses mains, il me força à me lever et me pelota généreusement les fesses, glissa un doigt dans ma raie, puis, il lâcha tout et me plaqua brusquement contre lui.

Nos deux corps se touchaient maintenant, on se caressait mutuellement. Moi je descendis mes mains sur son cul, bien ferme et large, écartais ses deux fesses et comme lui, caressais sa raie tandis que nous sentions nos deux queues raides et chaudes contre nos ventres. Puis je me mis à genoux et commençai à le sucer. Quelle queue! Je ne pouvais tout enfourner tant elle était large et je me contentais de m'activer sur son gland. Le goût de sa queue était très sucrée, différent de la mienne (j'ai déjà goûté mon sperme), un pur régal. Au bout de quelque minutes, il me dit:

— Je vais venir!

Mais moi bien décidé, je ne lâchais pas sa queue, il comprit alors ce que je voulais et il éjacula dans ma bouche, une seule giclée de sperme que j'avalais sans aucune réticence. Puis ressortant sa queue de ma bouche, il commença alors énergiquement à me branler, de sa vigoureuse main chaude, lui assit devant moi debout. Ce ne fut pas long à ce que moi aussi je vienne et mes longues et généreuses giclées de sperme s'étalèrent sur son torse, ce faisant, gardant toujours ma queue dans sa main il me fit cette remarque:

— Tu as de la réserve toi!

Rapport à mon éjaculation, plus conséquente que la sienne. On resta ensuite ainsi quelques minutes, l'un sur l'autre, nus, nos queues maintenant retombées et molles, il continuait cependant à caresser mes 8cm pendant que moi je lui embrassais le torse.

Puis, en silence nous nous rhabillons et il proposa de me ramener chez moi. Moi j'étais aux anges d'autant qu'en fait j'avais eu 16/20 et que tout cela n'était qu'un prétexte.

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : Gay
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