Jeudi 25 septembre 4 25 /09 /Sep 22:29

Je sors le dernier de la classe. Quand j'arrive à la porte de la cour, quelques grands des classes terminales m'empêchent de sortir. Ils m'entraînent dans l'escalier qui conduit dans les caves et me font entrer dans la première pièce.

— À poil.

Comme ils ont l'air menaçants je dois m'exécuter.

— Plus vite, on n'a pas toute la journée.

Je continue. J'ai envie de pleurer mais je me retiens, je ne veux pas paraître une mauviette.

— Si tu fais du bruit ça va être ta fête.

Ils rigolent de moi au fur et à mesure de mon déshabillage. Mon torse est frêle, mes jambes trop fines et sans muscles, j'ai un cul de fille, mon sexe est microscopique, je n'ai même pas de poils, etc. Quand je suis nu, ils me font agenouiller. Ils font cercle autour de moi. Celui qui est en face, me dit de lui sortir le sexe. Comme j'hésite, je reçois une légère baffe.

— Pour avertissement...

Je lui ouvre la braguette, introduit la main, écarte le slip et sors son engin déjà en érection.

— Ça c'est un instrument, dit-il.

Je dois passer au suivant et faire ainsi le tour du cercle toujours à genoux et les dénuder tous. Ceux dont les bites sont déjà sorties se branlent lentement en me regardant extraire les engins des autres. Certains, non encore en pleine érection sont faciles à sortir, d'autres déjà très durs coincent. Il y en a de toutes sortes, des déjà décalottées, d'autres circoncise, certains dont le prépuce recouvre encore le gland. Tous restent pratiquement dans les mêmes proportions; un seul est très court mais très épais; un est très difficile à sortir car particulièrement long et mince, mais dur comme l'acier. Quand toutes les verges sont à l'air, ils se masturbent plus rapidement.

Les tiges me paraissent énormes comparées à la mienne ou à celles de mes copains. Les bouts rougeoyants apparaissent à chaque mouvement de poignet. Tout cela me fait quand même un certain effet. Mon sexe prend un peu d'ampleur.

— Hé vous avez vu? Il bande!

— Cela te plaît des belles bites, tiens prend la mienne et gâte-la.

Comme je ne réagis pas assez rapidement, il me prend par les cheveux et me tire vers lui. Je le prends en main et le branle. À la suite l'un de l'autre, ils viennent se placer devant moi et je dois les caresser pendant un certain temps avant que le suivant prenne la place. Des groupes se forment et ils se donnent du plaisir l'un à l'autre, mais quand c'est leur tour, ils ne manquent pas de profiter de mes services. L'un d'eux dit:

— À moi, vite...

Il vient rapidement en face de moi. Je l'ai à peine en main qu'il éjacule. Il dirige les jets sur ma poitrine. Chaque fois qu'il y en a un qui est près à jouir, il fait la même chose. Je dois parfois en finir deux à la fois, un avec chaque main. Quand ils sont satisfaits, ils sortent.

Le dernier parti, je reste un petit temps comme abasourdi. Je suis couvert de sperme sur tout le corps, l'un ou l'autre s'étant déplacé pendant l'éjaculation et ayant terminé en laçant les derniers jets sur mon dos. J'ai les larmes qui me viennent aux yeux, plus de rage que pour aucune autre raison. Je râle de m'être exécuté si facilement et surtout de ne pas avoir su en retirer du plaisir. Mon érection a complètement disparu.

La porte du fond s'ouvre et le concierge qui est aussi l'homme à tout faire du collège entre. Il me parle doucement et gentiment. Il s'approche de moi, me relève et essaye de me consoler. Ses mains parcourent mon visage en de tendres caresses. Il essuie les larmes qui coulent sur mes joues.

Après un petit temps quand je suis calmé, il me prend par les bras et s'agenouille devant moi. Sa langue commence à me parcourir et gobe les gouttes de sperme qui sont sur moi. Un peu étonné, je me laisse faire, n'osant pas réagir. De toute façon je n'en ai pas envie. Je suis curieux de voir ce qui va se passer. Ce n'est pas désagréable. Mon zizi grossit légèrement. Il me fait tourner et me lèche partout pendant que ses mains parcourent tout mon corps: mes fesses, mes jambes, mon sexe.

Le concierge termine en léchant celui-ci. Il est déjà en demi-érection et atteint vite son ampleur maximum. Il me prend alors dans la bouche et effectue un mouvement de va-et-vient en me tenant les fesses. Je ne résiste pas longtemps et je jouis. Il me garde dans la bouche jusqu'à ce que je ramollisse et redevienne minuscule.

Il prend alors une éponge mouillée dans un sac plastique qu'il a apporté et me lave le corps. Quand il a terminé, il m'essuie. En finale, il s'attarde sur mon sexe qui reprend vite du volume.

— Oh, je vois qu'on a encore envie.

Il dépose l'essuie-mains, m'empoigne et commence à me masturber lentement. Dès que je suis bien raide il prend mes testicules dans une main et ma verge entre deux doigts. Cette fois il tire le prépuce vers l'arrière, ce qu'il n'a pas fait précédemment, tout en effectuant des petits mouvements de va-et-vient. Petit à petit le bout se découvre. Cela fait un peu mal, mais la douleur disparaît quand je sens sa langue lécher mon gland. Elle joue longuement avec, tourne autour, glisse le long du frein, titille le méat.

Il me prend alors en bouche. Cette fois il me suce; mon engin bien serré entre les lèvres. Je sens sa langue qui tourne autour de l'extrémité. C'est divin. Une grosse bosse apparaît sur l'avant de son pantalon. Il sort un sexe turgescent, énorme, parcouru de grosses veines, surmonté d'un gland violacé. Mon bassin commence à osciller. Mes mouvements sont de plus en plus rapides. Je lui prends la tête à deux mains et la colle plus fort contre moi pour entrer plus loin en lui. Ses mains parcourent tout mon corps en de savantes caresses. Il s'attarde spécialement avec l'une sur les bouts de mes seins, l'autre sur mes fesses. Le plaisir rayonne dans tout mon bas ventre. La jouissance monte à travers mes boules et le long de mon cylindre, pour en atteindre l'extrémité en même temps qu'un liquide, qui jaillit par saccades dans la bouche qui ne m'a pas lâché. Son propre vit crache son sperme en jets puissants sans qu'il le touche. Il se rajuste.

— Je suis gâté. Cette fois tu m'as donné du jus. Il est d'autant plus succulent que c'est le premier. Rhabille-toi maintenant. Tu seras toujours le bienvenu chez moi.

Il quitte par où il était entré.

Je pensais me plaindre au surveillant de la conduite de mes aînés, mais je ne vais rien dire. Je souhaite être encore l'objet de leur sollicitude.

Par Lucas - Publié dans : Histoires - Communauté : blog sexe des amis
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