Mardi 16 septembre 2 16 /09 /Sep 18:11

Le conseiller principal d'éducation, M Leonni, avait insisté sur le fait que Yacine devait fréquenter au moins un club du lycée. Il estimait que Yacine était vraiment trop dissipé et qu'il ferait peut-être moins de conneries si il se faisait d'autres camarades que ses fréquentations actuelles qui n'étaient pas vraiment de bonne influence sur lui... Et même si il ne se faisait pas d'ami, ça lui ferait les pieds à ce petit con!

Le conseiller avait donc laissé un mot pas trés agréable pour ses parents, leur expliquant qu'une activité extra scolaire encadrée par un adulte pourrait aider Yacine à se structurer, blablabla, blablabla... Enfin bref tout un tas de conneries qui firent froncer des sourcils son père, et quand son père fronçait des sourcils, vous pouvez me croire, ça n'annonçait rien de bon... M Nedir était peut-être aveugle mais il savait se faire respecter et obéir. Pendant que sa femme lui faisait la lecture du carnet de correspondance, il rumina les mots qui lui plaisaient le moins, des mots comme "mauvaises fréquentations", "adolescent difficile" ou encore "sanctions"...

Alors que son frère cadet déjeunait ses Corn Flakes, ce grand gaillard de Yacine s'était recroquevillé sur sa chaise, attendant le verdict... M Nedir avait demandé d'une voix tranchante à être mis au courant du planning des clubs du lycée. Après cela, il avait réfléchi, sa main carressant machinalement Raptor, son chien d'aveugle. Quelques instants plus tard, la sentence était tombée:

— Je t'ai choisi un club. Tu iras au club du journal.

— Quoi!? Mais y'a que des gonzesses et des bouffons dans c'te club de tarlouze!!

Un sourire mauvais se dessina sur les lèvres du père.

— P'tain, c'est trop la honte!

— Ta gueule. J'ai pas fini. À partir de maintenant, ce club sera ton seul loisir. Tu ne sortiras de l'appartement uniquement pour aller au lycée. Je vait demander à mon patron si je peux comencer un peu plus tard, comme ça je pourrai t'accompagner jusque devant la grille et je pourrai aussi revenir te chercher. Si un seul jour tu as une seule minute de retard, je te laisse imaginer ce que tu vas te prendre comme raclée! Et si je reçois encore ne serait-ce qu'une remarque sur ton comportement de la part de tes professeurs, j'peux te dire que tu la payeras au centuple. C'est clair?

— P'tain!

L'adolescent se prit une tarte en pleine gueule. Son père insista, la voix lourde de menaces:

— Est-ce que j'ai bien été CLAIR?

— Ouai... Oui papa.

Ce n'est qu'une fois dans sa chambre que Yacine s'autorisa à frotter sa joue endolorie, ces adultes étaient décidément tous des connards pourris...

Tous des pourris sauf Monsieur Bertrand: Monsieur Bertrand était trop con pour ça! C'était un prof de littérature, maniéré, à la voix haut perchée exaspérante, à la personalité éffacée et au tempérament complaisant. D'un physique sans âge et d'une tenue vestimentaire ringarde à souhait, Monsieur Timothé Bertrand était de ces gens qui pensaient que tout le monde était un adulte raisonnable et qu'il suffisait de discuter calmement pour régler tous les problémes. Il n'avait à l'en croire que des amis, la plupart de ces "amis" n'hésitant pas à sourire derrière son dos, certains souriaient devant sa naïveté toute enfantine, d'autres souriaient un peu plus méchamment. Il était la bonne poire de son quartier et de son lycée: c'était le voisin à qui emprunter de l'argent, qui ferait vos courses et sortirait les poubelles à votre place tout en vous remerciant mille fois... Malheureusement pour Yacine, Monsieur Bertrand était impliqué dans la plupart des clubs du lycée, estimant qu'il en était de son devoir d'éducateur...

— Allons les enfants un peu de calme! Rosaline, arrête de papoter s'il te plaît! Alors!? Quelqu'un a une suggestion pour la Une de la semaine prochaine?

Ce vendredi midi, les jeunes menbres du club journal étaient réunis dans une salle de classe inoccupée afin d'assister à la "réunion de rédaction" sous la direction bienveillante de Monsieur Bertrand...

Après avoir distribué les différents sujets d'articles aux éléves, le professeur remarqua qu'au fond de la classe, un jeune magrébhin essayait de passer inaperçu... Monsieur le conseiller d'éducation lui avait effectivement glissé un mot à propos de ce jeune - Monsieur Bertrand loucha sur sa liste des éléves - ... Yacine Nedir:

— Et toi dis-moi quel genre d'article il te plairait de trouver dans notre journal?

Yacine sortit de sa somnolence et releva la tête, le visage rond et enfantin du professeur de littérature rentra dans son champs de vision, visiblement il atendait quelque chose de lui...

— Euh ben... vous pouvez répéter?

— Bien sûr! Alors dis-moi quel genre d'article tu voudrais faire passer dans le journal du lycée? Qu'est-ce qui te fait "kiffer"? Tu veux peut-être parler de "rap"? Du "bled"? Des "arts de la rue"? Ou alors tu veux mettre en garde tes "frères" contre les ravages de la drogue?

Yacine dévisagea le prof, se demandant s'il était sérieux. Ça existe des gens aussi azimutés?

— Ben nan, finit-il par répondre méfiant, chai pa... j'fais un peu de hand avec Mr Tiriac, j'voix qu'ça...

— Du handball? Quel riche idée! Bravo! Tu pourrais interviewer quelques-uns de tes camarades de l'équipe et votre entraîneur! Voilà un très bon sujet d'article Yacine Nedir, je suis sûr que si tu y mets tout ton coeur, il sera très bien!

— Euh... J'fais ça alors? Un reportage sur l'équipe de Hand?

— Oui oui oui!

— Et j'commence quand?

— Le plus tôt sera le mieux! Comme ça, tu travailles ton article ce weekend et ensuite tu me le rends lundi pour que je corrige les fautes et que je lui trouve une place dans le journal!

— Ok, j'y vais alors! répondit un Yacine pressé de se débarrasser de la corvée.

Monsieur Bertrand n'eu pas le temps de réagir que Yacine était déjà dans la cour, se dirigeant vers la sortie du lycée. Il fut stoppé par des cris hystériques qui le poursuivaient:

— Hééééééé! Ateeeeends! T'as oublié quelque choose!

Yacine se retourna vers un Tim Bertrand éssouflé qui lui tendit un appareil photo numérique.

— Tu dois prendre des photos pour illustrer l'article! Le principal sera content si tu mets un peu en avant l'entraîneur... lui expliqua Bertrand en lui faisant un clin d'oeil plus que loufoque.

Yacine se demanda s'il était maudit. Le prof de sport parut cependant trés interressé:

— Ah! Alors tu fais un article sur moi?

— Ben en fait ouais, j'fais un truc sur vous en tant qu'entraîneur de l'équipe de foot, de rugby et de handball. Y paraît qu'y'a pas beaucoup de monde qui cumule les trois et en plus, vous vous ramenez toujours des médailles!

Le prof ne sembla pas relever les compliments et continua à questionner le jeune homme:

— Et quel genre de question tu pourrais me poser? J'ai pas grand chose à dire qui interresserait le journal du lycée...

— Oh ben... En fait ben chaipas, c'est juste pour faire un article qui s'rait juste accompagné d'une photo de vous en fait... euh enfin si vous étes d'accord parce qu'en fait...

Le prof eut pitié du reporter amateur et coupa court à ses balbutiements:

— Une photo? Tiens donc... Et elle serait prise par...?

— Ben par moi... C'est a moi d'écrire l'article et de l'illustrer en fait...

— OK ça marche si je relis l'article avant que tu ne le donnes à imprimer et si je choisis la photo!

— Euh ben ça me semble correct! J'crois pas qu'monsieur O'Neill y trouverait a redire...

— J'ai mon après-midi de libre à partir de maintenant. Ça te dirait de prendre la photo tout de suite? Je vois que t'as apporté ton appareil!

— Euh ouais, ben c'est ce que j'avais prévu... euh...

Il prit son appareil qui lui pendait au cou et le flash claqua; Monsieur Tiriac vint se pencher par-dessus son épaule pour regarder la photo qui s'affichait sur l'écran de l'appareil...

— Hum... C'est un très beau morceau de plafond que tu nous a pris là...

Yacine se sentait vraiment stupide mais ce prof le rendait vraiment nerveux... comme si il y avait une tension qui se dégageait de lui... Il sursauta en sentant la main de l'entraineur se poser sur son épaule:

— Tu m'as pas l'air d'un expert en journalisme dis-moi?

— Ben, nan, c'est ma première fois...

M Tiriac eut un large sourire qui ne plut pas vraiment à Yacine.

— Bon je vais pas te laisser dans la mouise comme ça, une première fois doit se passer dans les meilleures conditions possibles! Et puis je suis le premier concerné par cet article alors si tu veux, bien je vais prendre les choses en main!

L'adolescent aquiessa timidement.

— Bon déjà il nous faut un endroit plus éclairé que ça! Viens! Les nouveaux vestiaires sont très lumineux!

Le prof entraîna notre jeune reporter à travers le couloir pour pénétrer dans des vestiaires flambant neufs et effectivement très lumineux; les murs blancs réfléchissaient la lumière crue des néons et les bancs, d'un bleu profond, semblaient intacts de tous les mauvais traitements dont souffrent d'habitude les bancs de vestiaires. Yacine remarqua cependant quelques souillures suspectes sur le sol, lui aussi (presque) d'un blanc immaculé.

— Alors ça te plaît?

Yacine se tourna vers l'entraîneur qui avait les bras écartés, on n'aurait pas su dire si il parlait de son corps d'athlète ou de la pièce remise à neuf.

— Euh ouais...?

— Pas mal hein? Ça nous change du cloaque qu'on avait avant n'est-ce pas! s'exclama le prof avec un clin d'oeil ambigu.

— Ouais... cool...

Yacine avait l'impression qu'il passait à côté d'une partie de l'histoire, qu'il ne captait pas sous le bon angle ce qui se passait et qu'on était en train de faire une farce à ses dépends... Le prof continua, toujours avec ce sourire bizarre sur les lèvres:

— Alors il faut que la photo me montre sous mon meilleur jour... Vas-y, prends en une quand je suis ici un peu pour voir...

Yacine s'exécuta tandis que l'entraîneur prenait une pause sérieuse qui lui donnait l'air diablement sexy. Le flash claqua; une fois encore le prof se retrouva collé dans le dos de Yacine pour regarder la photo qui s'affichait sur l'appareil. Yacine sentit son souffle chaud dans sa nuque et son odeur musquée lui envahir les narines tandis que les pixels s'ordonnaient sur l'écran...

— Y'a du progrès, cette fois-ci on ne voit plus le plafond!

L'éléve était rouge de confusion, l'écran montrait une partie du torse musclé du prof et descendait jusqu'aux mollets, et au pile au centre de la photo s'affichait l'entrejambe fournit du beau prof...

— Tu as un angle de vue intérressant sur ma personne ça s'est sûr!

— Euh j'crois que j'ai un peu de mal à cadrer...

— Non tu crois? Bon, de toute façon il y a les porte-manteaux derrière ça le fait pas...

— Ben ça on y peut rien...

— Dans les douches, les murs blancs sont totalement neutres! Le fond parfait pour toi!

Les douches? Mais jusqu'où il va m'emmener comme ça lui?

— Allez viens! N'aies pas peur, j'ai jamais mangé personne!

Le prof reprit sa pose sérieuse et sexy, le flash crépita.

— Elle est bonne?

— Pas mal...

— Attends, j'ai une super idée, tu peux peut-être me prendre torse nu?

Yacine n'eut pas le temps de protester que le prof enlevait son débardeur, dévoilant son torse de rêve. Les yeux de l'adolescent se perdirent dans la toison sombre qui couvraient les pectoraux et les abdominaux du coach.

— Allez! Prends la cette photo!

Yacine fit aller l'appareil en sachant pertinament que cette photo ne passerait jamais dans le journal. À quoi il joue?

— Viens, attends, prends moi quand je fais ça!

M Tiriac s'amusa a prendre une pose de culturiste.

— Ouais mais monsieur, je crois pas que...

— C'est vrai, t'as raison, avec mon pantalon ça le fait pas!

Sous les yeux ébahis de Yacine, le prof de sport enleva son pantalon. Yacine ne put s'empécher de faire courir son regard sur ses jambes fuselées et couvertes de poils noirs. Ses mains prirent la photo machinalement. M Tiriac glissa séductivement ses mains dans son caleçon...

— Et ça je le garde ou pas?

Yacine n'eut pas le temps de répondre que le prof lui envoyait son caleçon sur le visage. Le jeune reporter se dépêcha de le retirer mais il ne peut que sentir la délicieuse odeur virile qui en émanait. Quand il releva les yeux, le coach s'était rapproché de lui.

— Alors tu aimes ce que tu vois?

Les yeux du jeune maghrébin se baissèrent sur l'entrejambe de son prof: au milieu d'une forêt de poils se dressait le plus gros pénis que Yacine ait pu voir à ce jour, palpitant et grossissant à vue d'oeil... Yacine déglutit. Le prof posa sa main sur l'entrejambe du garçon: son érection tendait le tissu.

— Oui, apparamment, tu aimes ce que tu vois!

Alors que Yacine relevait la tête, ses lèvres furent hapées par celles du coach. Il se laissa aller à un gémissement alors que leurs langues s'entremélaient et que la barbe mal rasée du prof frottait contre sa peau imberbe. Les grandes mains de l'homme se glissèrent sous ses vêtements, caressant son ventre et pinçant ses tétons. Yacine gémit de plus belle et interrompit le baiser pour retirer ses vêtements. Être habillé à côté d'un homme nu à la virilité si resplendissante le gênait d'une certaine façon. Le prof l'aida du mieux qu'il put, arrachant presque le tissu, pour révéler la peau bronzée du jeune garçon. Il eut une exclamation de joie lorsque Yacine libéra son sexe bandé de sa prison de tissu. Il s'agenouilla et prit le sexe du p'tit rebeu en bouche.

— Wooa!

Ce type suçait comme un expert! Sa langue! Sa chaleur! La succion et les caresses! Yacine se sentait comme un prince à qui on offrait le plus beau des cadeaux. L'une des mains du prof qui était agrippée à ses fesses remonta et donna ses doigts à sucer au jeune élève. Yacine traita ces doigts comme le prof traitait sa queue, sans réaliser vraiment pourquoi il faisait ça. Tout ce qui comptait, c'était les sensations qu'il expérimentait à l'instant, les caresses sur son corps bouillant... Le prof de sport ramena ses doigts couverts de salive entre les fesses de Yacine. Son majeur titilla la rosette du maghrébin qui gémit de surprise et de plaisir. Yacine allait protester à nouveau quand le doigt le pénétra et trouva sa prostate. JAMAIS il n'avait ressentit autant d'excitation et de plaisir!

À partir de ce moment là, Yacine laissa le coach mener la dance sans oser protester plus. La pipe dura une dizaine de minutes, à chaque fois que Yacine allait jouir, le coach arrêtait de le sucer pour laisser la pression retomber mais jamais il ne retira son doigt du petit cul de son éléve. Au contraire, alors que sa bouche faisait tout pour satisfaire le garçon, il joua avec son petit trou et y rajouta deux doigts de plus. L'adolescent se laissait porter par les vagues de plaisirs et la jouissance sans cesse renouvelée. Lorsque Yacine pensait avoir atteint le maximum du plaisir possible, le prof se releva et lui demanda:

— Prêt à passer à la vitesse supérieure?

Médusé, Yacine hocha vigoureusement de la tête: la question était inutile!

— Alors fais-moi confiance et mets-toi à quattre pattes...

Le jeune éléve fit selon les instructions de son professeur, il se mit en position sur le sol carrelé et sentit le prof lui écarter les fesses puis lui lécher le cul. Quand il sentit la grosse queue du coach butter contre son petit trou, il ne s'inquiéta même pas, tout cela était si bon! Le professeur donna son premier coup de rein, son énorme queue pénétra Yacine qui cria de douleur, un cri étouffé par la grande main du prof qui lui couvrait la bouche. Alors que M Tiriac s'enfonçait au plus profond de lui avec un autre coup de rein, les larmes montérent aux yeux de Yacine.

— Ha! J'adore ça défoncer un petit cul vierge!

Sans attendre, il commença des va-et-vient sans faire attention à Yacine qui se débattait pour échapper a la douleur. Son sexe faisait implacablement son chemin dans les entrailles du garçon, allant et venant au plus profond du petit trou meurtri.

— Arrête de chialer comme une gonzesse, tu vas voir, tu vas aimer ça!

La douleur commencait effectivement à se calmer mais l'humilation était toutjours cuisante. Sans vraiment étre conscient de ses actes, Yacine commença à soulever ses hanches pour faciliter les va-et-vient qui lui vrillaient les entrailles, la douleur faisant place à un plaisir étrange et inédit...

— Yacine!

Les deux baiseurs sursautérent. À l'entrée des douches se tenait le père de Yacine accompagné de son chien d'aveugle. Le jeune rebeu se pétrifia de terreur, c'était un cauchemar! Son père semblait furieux et encore, il ne pouvait percevoir que les sons! M Nedir se précipita sur le couple de fornicateurs:

— Petit con! Et vous monsieur, vous êtes un sacré connard! Retirez-vous de mon fils! Immédiatement!

M Tiriac s'exécuta immédiatement face à l'homme bouillonnant de fureur, son sexe débandé de peur se balançant entre ses cuisses.

— Vous n'avez pas juté j'espére?

M Nedir se précipita dérriére son fils et chercha à tâton l'entrée de son cul. Yacine sentit le doigt de son père le pénétrer.

— Ça va, vous n'avez pas souillé mon fils! Mais vous m'avez volé sa virginité!

Le prof de sport était totalement pris au dépourvu, ne sachant pas quoi faire. Il se cachait misérablement l'entrejambe avec son caleçon, lançant des regards inquiets au molosse de l'aveugle. Mais la colère de l'homme se tourna vers Yacine:

— Tu l'as cherché toi aussi, petit con! Je t'envoie dans un club pour te calmer et toi tu trouves le moyen de te faire mettre par un de tes profs!

— P'pa, steuplé!

M Nedir redressa son fils et lui donna une claque.

— Prends ça, trainée! Prends ça, petite pute!

Le père en colère déboutonna frénétiquement le haut de son pantalon puis colla son fils contre le mur et l'empala sur son braquemart dur comme la pierre. L'énorme queue envahit le conduit à peine dépucelé de l'adolescent abasourdi! Il recevait milles signaux contradictoires: de la douleur, de l'excitation, de la honte... et tellement de plaisir! La bite de son père était en lui! Un énorme chibre incestueux qui lui pénétrait le cul et lui labourait les entrailles! Plaqué contre le mur par le corps massif et musculeux de l'homme qui l'avait élevé, Yacine sentait son haleine réchauffer son visage et ses grandes mains pétrir ses fesses tandis que sa bite le pénétrait toujours plus profond à chaque coup de rein. Yacine se mit à pleurer, il s'agrippa à son père et accompagna chacun de ses va-et-vient par des gémissements. Il découvrait le plaisir de n'être rien d'autre qu'un trou à fourrer; l'énorme queue paternelle allait et venait en lui, il le ressentait de toute les fibres de son corps: il n'était qu'un trou avide de se faire remplir par la bite de son père! L'aveugle continua ses va-et-vient inlassablement, compressant son fils contre le mur et lui tassant les entrailles de plus en plus violemment.

— Je vais t'apprendre à honorer le nom de ton père petit con! À partir de maintenant, tu fais ce que je te dis! Tu es mon esclave, tu est ma pute!

— Oui p'pa! Ouiii! Chui ta pute! Fais de moi ce que tu veux! Steuplé défonce moi le cul!

— Ce n'est pas un cul que tu as, c'est une chatte! Une chatte bien étroite prête à tout pour se faire fourrer par son papa!

Toutes les inibitions du couple pére/fils étaient tombées, le prof de sport les regardait s'accoupler sauvagement tout en branlant sa queue de nouveau rigide. À côté de lui, Raptor le molosse remuait la queue en regardant son maître copuler...

— Je veux être le premier à juter au fond de ma petite pute! Pourquoi tu as laissé ce salopard prendre ta virginité mon fils? Pourquoi tu ne m'as pas fait honneur? Regarde-toi, tu n'es qu'une chienne! Une salope! Regarde ce que je suis obligé de faire pour te discipliner!

— Vas-y papa, jute en moi! Féconde moi, chui ta chienne! Ta femelle! Dresse moi bien!

Dans un dernier coup de rein frénétique, M Nedir se vida dans le cul de son garçon. Yacine sentit la semence jaillir et lui tapisser les entrailles. Après avoir repris son souffle, le père se retira de son fils qui tomba à genoux. Spontanément, Yacine prit la queue de son pére en bouche et la suçota dans un état second:

—  -C'est bien mon fils, tu es une bonne pute!

Mr.Tiriac se raprocha des amants incestueux.

— Vous êtes une sacré famille de pervers! Je peux prendre son cul maintenant que vous avez juté bien au fond?

L'aveugle s'énerva de nouveau:

— Vous? Vous vous croyez assez bien pour souiller mon fils de votre foutre? Vous êtes pire qu'un chien en chaleur! Mon fils serait la dernière des chiennes si je vous laissais le toucher encore une fois!

— Demandez lui pour voir! Je suis sûr que votre fils est la plus chienne de toute les salopes que j'ai baisées!

L'homme prit son fils par le menton et demanda:

— Fiston? Tu es une pute?

— Ouai papa chui ta pute! Chui ta chienne, ta salope!

— Tu aimes ça te faire prendre?

— Oh ouais putain, je suis qu'un trou à bite, une chatte de mec prête à tout pour se faire remplir!

M Nedir sembla réfléchir un instant.

— Eh bien Monsieur, je suppose que je vais vous laisser enculer ma chienne de fils alors...

— Ha! J'étais sûr que...

— Mais seulement aprés que mon chien l'ait enculé! Viens ici Raptor!

Yacine sentit alors avec surprise et délice le museau du molosse se frayer un chemin jusqu'à son anus...

Par Lucas - Publié dans : Histoires
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Commentaires

ah ben dit donc je croyait ne plus avoir de plaisir moi tu etait trop absent
commentaire n° :1 posté par : didier le: 16/09/2008 à 21h59

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