Mardi 22 juillet 2 22 /07 /Juil 15:49

C’était un après-midi de novembre et j’étais tranquille dans un café à boire un coup avec des amis. Il y avait ce mec à une table en face de moi qui me matait grave. Il était plutôt quelconque, un beur; il était seul à sa table et avait l’air de trouver le temps long. Quoiqu’il en soit, même si je lui jetais un ou deux coups d’œil, je ne prêtais pas vraiment attention à lui. Ce n’était pas le genre de mec avec qui j’avais l’habitude de fricoter.

Plus tard, je suis descendu aux toilettes. Je m’installais aux pissotières et commençai ma petite affaire. En plein après-midi, inutile de dire que j’étais tout seul. Enfin, je ne le suis pas resté longtemps, puisque voilà que mon gars de tout à l’heure se ramène et bien entendu se colle à côté de moi.

Il est plus grand que moi d’au moins une tête, et il sort sa queue pour pisser. Je ne peux pas m’empêcher de la mater. Lui n’avait visiblement pas trop envie de pisser mais commençait plutôt à se la malaxer. J’étais un peu gêné; mais j’avais fini de pisser et je reboutonnai mon 501. Je lui jette un coup d’œil, et je constate qu’il m’a pris en flag tandis que je matais sa queue: un sourire en coin, un regard entendu sur ce qu’il pense des gars qui font mine de ne pas y toucher...

— Tu vas où comme ça? me dit-il en fermant son pantalon.

Ne sachant trop quoi lui répondre, j’ai dû lui dire quelque chose du style: «Bah je remonte...»

Le temps de lui répondre, et il s’était rapproché de moi. Il m’a pris alors par le bras, fermement, et m'a poussé dans le chiotte qui était derrière moi. Une fois dedans, et sans que je me rende réellement compte de ce qui se passait, il avait verrouillé la porte.

Je me retrouvais donc avec ce mec dans un chiotte à la turc. Il était déjà en train de baisser son pantalon, il n’avait apparemment pas de doute sur ce qu’il comptait faire de moi! Je commençais à être très excité par ce mec, son sans gêne, et sur sa certitude qu’il allait pouvoir me défoncer le fion.

Je le regardais donc interrogateur, l’air de ne pas comprendre ce qu’il voulait de moi. Il me sourit d’un air suffisant, m’attrapa par la nuque et me fit mettre à genoux. J’eus bientôt sa queue mi-molle dans la bouche; les dernières gouttes de sa pisse sur ma langue. Je commençais à m’activer pour le satisfaire et il m’encourageait en ce sens en attrapant ma tête pour pousser sa queue le plus loin possible. Celle-ci était maintenant bien dure et je pus constater qu’il était très bien doté. J’avais maintenant du mal à en prendre plus de la moitié avant qu’il vienne cogner au fond et ma gueule était ouverte à fond pour laisser rentrer le calibre. Au bout de quelques minutes de ce régime, je commençais à suffoquer mais sa main de fer n’entendait pas me libérer aussi tôt. Je levai les yeux vers lui, le regard suppliant de me laisser respirer. Son sourire mauvais revint instantanément en me voyant à ses pieds, la gueule gonflée par sa teub.

Quant il en eut assez, il se retira. D’autorité, il me fit mettre à 4 pattes comme une chienne et me fit baisser mon pantalon. J’avais maintenant le visage tout prêt du trou des chiottes et ce mec derrière moi en train de me caresser l’arrière-train. Puis il cracha su ma rondelle offerte et commença à me travailler le trou: un doigt, puis deux... Finalement il se cracha sur la queue, puis il m’encula.

Ce qu’il n’avait pu obtenir de ma bouche, il l’obtint immédiatement de mon cul. Je sentis son chibre me pénétrer jusqu’à la garde dès le premier coup. Un râle de plaisir et de satisfaction accompagna cette première salve et il m’entreprit alors le fion. Je dois avouer que les premières minutes furent très pénibles et douloureuses mais je me soumettais à sa volonté et à sa queue d’acier qui ne mollissait, ni ne ralentissait. Ses couilles venaient me cogner à chaque instant. Il prenait plaisir à voir mon visage déformé par la douleur: il déculait et me renculait sadiquement pour me faire comprendre qui était le maître. Chaque fois, son gland se réapproprait mon cul et le déformait pour le faire à sa mesure. Chaque fois, je courbais un peu plus l’échine en signe de soumission; il m’attrapait alors la tête et la mettait à quelques centimètres du trou des chiottes qui puait la pisse. Un ou deux de ses coups de boutoir me firent me cogner contre la faïence sale.

Petit à petit mon cul s’était fait à son nouveau maître et le plaisir fit bientôt place à la douleur. Sa queue était chez elle et la sentir longuement me pénétrer provoquait en moi une sensation de plaisir infini. Ainsi soumis, j’aurai pu le satisfaire aussi longtemps qu’il l’exigeait. Mais il en avait apparemment assez eu avec moi et il se retira pour de bon. Il se branlait rapidement et me fit remettre à genou. Il approcha ma bouche de sa queue, puis cracha de longues salves de sperme contre mon visage, puis me tartina le tout à l’aide de son engin. Finalement, il me plongea une dernière fois sa queue gluante de sperme dans la bouche afin que je la lui lave. J’en profitai pour me branler et éjaculer par terre comme un chien. Il se rhabilla et partit rapidement.

Plus tard, alors que j’étais moi-même remonté avec mes amis, il me regardait de temps en temps, l’air tout à fait satisfait de lui. Je détournai les yeux de honte de m’être fait soumettre et défoncer par un mec dont je n’avais pas envie.

Par Lucas - Publié dans : Histoires
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