----------------------------

Pour des raisons de sécurité d’État, j’avais dû remplir maints documents. Tout appareillage électronique était interdit et de nombreuses parties du bâtiment, dont la salle de commande et les salles d’armement me seraient interdites sans être accompagné.
Deux heures environ avant le départ de la base, un lieutenant de vaisseau m’accueillit sur le quai d’embarquement: il serait mon coupe-file pendant toute la traversée. Il me conduisit directement à ma cabine en me donnant quelques recommandations sur mes déplacements dans le bâtiment. Chemin faisant, j’apprenais que le sous-marin revenait d’une mission de quatre semaines sans escale. Brest n’était qu’une escale technique, chacun attendait le port de Toulon pour partir en permission.
Je partagerai cette cabine avec ses trois autres occupants, des matelots de deuxième classe qui étaient tous en service à mon arrivée. Sur la couchette du bas qui m’était réservée, une tenue complète de sous-marinier, y compris chaussures et sous vêtements, avait était disposée à mon intention. Je quittais rapidement ma tenue civile pour endosser celle portée par la majorité des hommes d’équipage.
La voix du commandant annonça le départ dans les hauts-parleurs. L’agitation se fit plus vive dans les coursives. Je décidais sagement de m’étendre sur ma couchette en attendant que l’on vienne me chercher.
La cabine présentait un confort plutôt rudimentaire. Aux quatre couchettes disposées comme dans un wagon venaient s’ajouter quatre placards, tous munis d’un robuste cadenas. Je lisais les prénoms de mes camarades de chambrée: Tom, Greg et Vince. Si l’on pouvait retrouver une certaine rigueur militaire à travers la literie faite au carré, le reste de la cabine laissait à désirer. Des effets personnels traînaient sur et sous les couchettes: tee-shirts kaki roulés en boule, chaussettes noires militaires sur le traversin, godasses au sol...
Au bout de quelque minutes, je me rendis compte que la cabine était mal ventilée et qu’une odeur latente, mélange de sueur et de vêtements bien portés, flottait dans les lieux. J’aimais pour ma part renifler cette effluve virile de mec. Je me rapprochais d’un des traversins sous lequel je découvris un vieux slip blanc très odorant. Le devant était particulièrement jauni et tâché. L’intérieur avait reçu manifestement plusieurs couches de foutre, et des poils noirs y restaient collés.
Je portais le slip à mes narines pour bien m’enivrer de ces odeurs. La porte de la cabine s’ouvrit soudain pour laisser entrer un matelot. Il me surprit dans cette position quelque peu compromettante pour moi, mais qui ne suscita aucune animosité de sa part. Bien au contraire.
— Tu es le journaliste? Salut, moi c’est Tom. Je vois que tu as découvert mon slip. J’enfile le même chaque soir depuis quinze jours. Ça doit sentir sacrément le mâle. Faut dire que les occasions de tirer son coup sont rares, alors c’est mon calbut qui trinque. Te gêne pas pour continuer à renifler, enchaîna-t-il. Lèche aussi, ça m’fait plaisir de voir que tu apprécies mes odeurs. Et il t’en reste plein à découvrir! Je pue grave des panards, et ça fouette aussi un max sous les aisselles. Tu verras ce soir. Faut dire qu’une des deux salles de douches est fermée suite à un problème d’alimentation en eau douce et que les douches sont donc rationnées pour tout l’équipage. En fait, ça va faire une semaine qu’on n’a pas pris volontairement une seule douche dans cette piaule.
Il baissa d’un coup sec le zip de ma combinaison et glissa une main dans l’entrebâillement. Il se mit à tâter sur toute sa longueur ma bite tendue à l’extrême. Son massage insistant me faisait un bien fou. Je mouillais abondamment du gland.
— Garde ton foutre pour ce soir, mes godasses ont besoin de cirage. Je dois te laisser, je suis de repos seulement à partir de 22h. Bonne sniff!
Je me retins pour ne pas me branler sauvagement dans son slip et je reprenais un peu de contenance en réajustant ma tenue. Grand bien m’en fit car on tapait bientôt à la porte de la cabine pour me convier au mess des officiers où un dîner d’apparat avait été conçu à mon intention. Cette invitation fut la bienvenue pour m’aider à décompresser et à patienter...
21h45. J’étais revenu un peu grisé du mess et je regardais les minutes défilaient à ma montre dans l’attente du retour de Tom. À 22h précises, ce fut l’extinction automatique de la lumière dans la cabine; seule une maigre veilleuse diffusait encore un éclairage diffus. Puis Tom rentra comme prévu à la fin de son service.
— Ça fait huit heures que je crapahute comme un malade dans le bâtiment. Ouf, c’est terminé pour aujourd’hui. Tu veux bien m’aider à prendre ma douche? Si tu me décrassais un peu mes poils, mes couilles et mes panards, ce serait super!
Devant mon acquiescement, il jeta sur son lit sa veste de treillis et il s’approcha de moi. Son maillot présentait de larges auréoles humides sous ses aisselles. Le tissu restait plaqué à sa peau car largement imbibé d’une sueur âcre qui commençait à poindre à mes narines. Sa musculature fine se dessinait ainsi superbement.
Je l’aidais à retirer son maillot. Tom était très velu sur le torse. Des touffes de poils noires et drues en recouvraient la totalité. Je me mis à lécher avidement cette toison brillante et humide. Ses aisselles étaient particulièrement odorantes. Son dos n’était pas en reste: je lui appliquais le même traitement, non sans descendre jusqu’à la raie de ses fesses, après avoir fait descendre son slip sur ses chaussures. Sa rondelle restait invisible car cachée également par une forêt de poils.
Pendant ce léchage en règle, je portais mes mains vers sa bite que je découvris bien tendue. J’eus la permission de renifler son odeur de mâle à son entrejambe, mais interdiction de toucher à son sexe. En revanche, je pus prendre en bouche à ma guise chacune de ses couilles et lui prodiguer un massage lingual. Ce décrassage maison semblait apprécié par Tom qui lançait régulièrement de petits cris. Un précum généreux s’écoulait également de son gland cramoisi.
Il me restait la part du lion. Tom retira ses chaussures en cuir et ses chaussettes de laine noire. Une odeur pestilentielle envahit immédiatement la cabine. Il portait la même paire depuis cinq jours et l’absence de douches n’arrangeait rien. Je glissais une chaussette sous mon nez. Le tissu était imbibée de sa sueur, particulièrement au niveau du talon et des orteils. En tordant le textile, j’arrivais à en extirper quelques gouttes que j’avalais avec délice. Je frottais le tissu sur mon visage qui s’imprégnait ainsi de cette odeur. Ce poppers fabrication maison me donna une trique démentielle. Tom, sans hésitation, s’empara de ma bite à pleine main et commença à lui prodiguer de vigoureux va-et-vient. Je sentais la sève monter dans ma queue. Lorsqu’il entreprit un malaxage de mes couilles, je sentis que je n’allais pas résister longtemps.
Constatant mon état extrême d’excitation, Tom prit ses chaussures et les rapprocha de mon gland juste à temps pour que je balance sur chacune d’entre elles plusieurs jets de mon foutre généreux.
— Super, voici le cirage pour mes chaussures, s’exclama-t-il.
Il saisit son slip bien cartonné et étala soigneusement le sperme sur toute la surface du cuir. Quand il eut terminé, il ajouta:
— Approche-toi, je vais te donner un peu de lubrifiant pour cette nuit. J’ai croisé Greg tout à l’heure. Il m’a promis qu’il te rendrait les honneurs vers 2h du mat’, à la fin de son service. Greg est toujours à la recherche d’un trou pour se vider. Je crois qu’il est en abstinence depuis trois jours: ça promet pour tout à l’heure!
Et passant à l’acte, il tira sur le devant de mon slip blanc militaire découvrant ma bite qui avait maintenant décompressé, et il se mit à se branler énergiquement au dessus du réceptacle ainsi constitué. Il cracha à son tour cinq à six rasades d’un foutre épais et filandreux qui atterrit dans mes poils. Je lui promis de ne toucher à rien jusqu’à mon sommeil.
Mort de fatigue, je tombai alors dans un sommeil profond, simplement allongé en slip au dessus de ma couchette... Je fus brusquement sorti de mes doux rêves. Avant que je ne réalise vraiment ce qui m’arrivait, deux mains puissantes m’avaient saisi par le bassin. Je me retrouvais rapidement debout dans la pièce, puis plié en équerre au dessus de mon lit. Une main trifouilla alors quelques secondes dans mon slip, s’imprégnant ainsi des traces de sperme encore disponible, puis cette même main fit tomber dans la foulée mon slip sur mes pieds.
Un premier doigt vint titiller ma rondelle. Il y rentra prestement, bientôt accompagné d’un deuxième, puis d’un troisième. Ce traitement eut tôt fait d’assouplir ma rondelle. Bien heureusement car déjà je sentais le contact le gland d’une bite que l’on m’avait décrite longue comme mon avant-bras. Greg était d’origine sénégalaise mais naturalisé français. Il était hétéro, comme il me le précisa le lendemain, mais il appréciait de temps à autre emmancher un bon militaire consentant, surtout lorsque les missions en mer étaient longues.
Bien que fortement excité, Greg prit quand même quelques minutes pour enfoncer son mandrin sur toute sa longueur. La douleur des premiers instants fut rapidement remplacée par des ondes de plaisir. Quand ses couilles rentrèrent en contact avec mes fesses, il se mit à me ramoner d’abord avec un rythme posé, puis ensuite dans un crescendo qui dura un bon quart d’heure. Soudain, Greg resta emmanché en moi sans bouger. Je sentis atterrir au fond de mes entrailles son foutre abondant. Il était 2h30, j’avais encore rendu service à la patrie.
Sur le matin, la lumière se ralluma dans la cabine. En même temps que je clignais des yeux, je devinais une silhouette en mouvement au dessus de mon visage: c’était Vince, le troisième comparse, qui se taillait une bonne branle. Il présenta son gland fromageux à l’entrée de ma bouche. L’odeur de foutre et de pisse était particulièrement forte.
— Nettoie ma bite à fond, me lança-t-il.
À peine eus-je le temps de passer ma langue dans les replis de son gland que je sentais son sperme inonder ma bouche. J’avalais le tout sans rechigner. Vince avait gardé toute sa vigueur et conservait son sexe enfoncé. Soudain, je sentis un liquide chaud et piquant arrivé en flot continu. Je devinais qu’il était en train de me pisser dans ma bouche. Devant la quantité impressionnante de liquide, sa pisse vint rapidement tâcher mon drap...
Je n’avais pas encore passé une journée complète à bord que déjà, j’étais devenu le bon passif à tout faire pour ces trois hétéros: et dire qu’il restait encore six jours de traversée!