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J'ai remplacé durant un interim une infirmière dans un lycée. J'étais jeune et débutant, aussi est-ce peut-être pour cela que j'eus droit à de nombreuses confidences. Tout commença avec la venue, une fin d'après-midi, de Fred. Ce dernier était une des stars de l'établissement: joueur de rugby et beau gosse. Il se trouve que j'avais reçu peu de temps auparavant Anne qui était sa copine. Fred tournait autour du pot, je voyais qu'il était gêné, il avait d'ailleurs prétexté une foulure à la cheville pour venir. Après l'avoir manipulée puis constaté qu'il n'y avait rien, j'essayai de le mettre en confiance et j'y parvins.
— Euh, monsieur, j'ai quelque chose à vous demander de plutôt intime, jamais je n'aurais osé demandé à X (ma prédécesseure, il s'agissait en effet d'une vieille peau) et puis je ne peux pas demander non plus à mon docteur, c'est un femme et c'est la meilleure amie de mes parents.
Je sentais venir quelque chose de très intéressant.
— Et bien voilà, je voudrais que vous m'expliquiez comment on doit se nettoyer les parties, vous voyez ce que je veux dire...
Bien sûr que je voyais mais je voulais en savoir plus.
— Je ne comprends pas bien de quoi précisément tu veux parler.
Il finit par se lancer.
— Et bien voilà. Dans le vestiaire, quand on prend notre douche, il y en a qui se nettoient le sexe, moi je ne le fais plus car sinon ça pue à mort. Une fois, mes potes se sont foutus de moi.
— Tu veux dire que tu ne prends jamais le temps de te nettoyer le gland?
— Non.
— Mais est-ce que tu te masturbes? (j'avais des tas d'images qui me passaient par la tête)
— Ben oui.
— Et?
— Soit je m'essuie avec un papier si j'en ai, soit ce que j'ai sous la main.
— Ça t'arrive souvent?
— Des fois je me branle trois fois par jour.
— Aujourd'hui par exemple?
— Ben je me suis branlé ce matin, puis tout à l'heure j'ai vu Anne, vous savez c'est ma copine, on s'est serré dans un coin, un peu trop fort, c'est parti.
— Qu'est-ce que tu veux dire?
— J'ai juté dans mon froc, heureusement elle n'a pas compris.
— Et depuis?
— Ça a séché heureusement.
Je décidai de sortir le grand jeu, ça passerait ou ça casserait.
— Désolé mais si tu veux de l'aide, il va falloir que je te demande de faire deux ou trois trucs.
Il eut l'air inquiet.
— De quel type?
— D'abord te déshabiller.
Il fut soulagé et s'éxécuta. Il baissa son pantalon, il avait des jambes parfaites, superbement bien musclées mais il portait un calbut blanc, ou plutôt qui avait dû être blanc
— Je t'arrête tout de suite, c'est quoi ce truc?
— Mais c'est un Calvin Klein.
— Ça je m'en moque, mais tu as vu l'état? tu sais pas que ça change?
— Je le fais tous les deux ou trois jours.
J'étais soufflé, un mec mignon comme ça, qui savait séduire et plaire ignorait ce détail et quel détail.
— Enlève-le!
Je n'étais pas fan de sous-vêtements crades, mais quand on a type superbe en face de soi on est prêt à tout. J'avais envie de mettre mon nez dedans.
— Si tu peux t'en passer sous ton jean, je vais te le mettre dans un sac plastique, tu le rapporteras à laver. Maintenant écoute moi.
Il avait une belle queue bien dessinée, avec un prépuce peut-être un peu long. Je compris tout de suite que là était le problème.
— Tu décalottes bien?
— Oui sans souci.
— Quand tu bandes aussi?
— Oui également.
— Tu vas me montrer ça.
Il s'éxecuta, une forte odeur s'exhala et je vis sans surprise des petits reliefs blancs à la base du gland. Je lui expliquai de quoi il s'agissait et lui tendis une compresse enduite d'un gel pour toilette intime.
— Va à côté du robinet et nettoie ton sexe.
Je le laissai faire, j'essayai de loucher sur le calbut et la tâche de sperme du matin. Une fois qu'il eut terminé, je lui dis qu'il fallait qu'il soit en érection pour compléter mon observation. Il était complètement rassuré, je vis à son petit air lubrique qu'il pensait à quelque chose de précis. J'admirerai toujours la puissance des jeunes mâles, il eut très vite une superbe barre.
Cette fois, je pris les choses en main. Littéralement. J'aurais dû prendre des gants en plastique mais je voulais en profiter. Je fis le maximum de ce que je pus, coulissage du prépuce, soupèsement des couilles qu'il avaient bien rondes. Il finit par me dire qu'il était trop sensible et qu'il "sentait monter la pression". Je lui demandai s'il allait jouir. Il me répondit oui et ni une, ni deux, se repositionna sur le lavabo où en deux mouvements du poignet, il cracha plusieurs longs jets crémeux.
Quel après-midi! Désormais très en confiance, il m'avoua aussi qu'Anne qui était vicieuse sur bien des points ne voulait pas le sucer mais que désormais il pensait avoir compris pourquoi. J'abondais en son sens en pensant que j'aurais bien aimé être à la place de la jeune fille. Je le laissai partir avec regret.
Après la fermeture de l'établissement aux élèves, je revins chercher mes affaires quand je découvris le sac plastique qui était resté là. On était vendredi soir, je le pris avec moi. Quand je le sortis, je l'examinai bien à fond. Il y avait une belle tâche bien raide et surtout une forte odeur d'urine. Ne parlons pas de l'arrière parsemé de traînées brunes. Je vous ai dit que ce n'était pas mon trip mais je passai ma langue sur l'ensemble. Pour ne pas sombrer, je décidai tout de même de le mettre avec ma lessive. Mais même une fois lavé, je regardai sans cesse le boxer car il me permettait de revoir dans ma tête toutes les images de ce superbe après-midi.
Arrivé au lundi, je fis porter à la connaissance de Fred qu'il pouvait récupérer ce qu'il avait oublié. Il ne répondit pas. Je le croisai dans un couloir trois jours plus tard et il me dit que ce n'était pas grave. J'étais résigné à n'avoir plus que cet objet en souvenir mais son propriétaire finit par refaire surface. Cela arriva également un vendredi en fin d'après-midi.
— Bonjour, je viens chercher ce qui m'appartient.
J'eus la honte de ma vie. Comme il n'avait plus semblé intéressé, je portais désormais ce boxer et je l'avais sur moi.
— Excuse-moi mais je l'ai remis avec tous les vêtements trouvés et non réclamés, c'est au secrétariat, tu pourras peut-être le récupérer lundi.
Ça me laisserait le temps de le relaver ...
— Oh après tout c'est pas grave et puis de toute façon, je viens vous voir pour un autre problème.
Soulagé, j'attendis sa révélation.
— J'ai laissé tomber avec Anne.
En quoi cela me regardait? pensai-je.
— En fait l'odeur ça ne la dérangeait pas, de toute façon elle n'aime pas sucer.
Encore une fille qui était ramenée uniquement à ce qu'elle pouvait apporter à un homme.
— Et puis c'est de l'autre côté que j'ai des soucis.
Je ne comprenais pas.
— Excusez-moi de parler grossièrement, au cul!
— Qu'est-ce qui t'arrive?
— Et bien avec Anne justement, elle avait pris l'habitude de me mettre un doigt quand on faisait l'amour et depuis qu'on a rompu, je le fais moi-même quand je me branle parce que j'aime ça mais j'ai une douleur.
— Si ça ne te gêne pas, tu vas me montrer ça.
Il avait déjà commencé à se déshabiller et s'apprêtait à s'allonger sur la table de consultation.
— Excuse-moi, tu vas te placer sur ce fauteuil et mettre les pieds dans les étriers.
Il semblait avoir perdu toute inhibition. Je me penchai devant son paquet, j'en profitai pour le décalotter, il ne sentait presque rien.
— Maintenant je me lave à chaque fois.
En baissant mon regard, j'avais une vue superbe sur ses couilles, son périnée et son oeillet violacé qui était marqué par un peu d'irritation.
— Je vais te passer une crème mais avant tu vas me dire où tu as mal.
Cet examen était inutile mais était le prétexte d'une caresse anale volée. Je lui passai doucement l'index. Son anus se mit à palpiter et je vis que sa bite commençait à prendre du volume.
Il me demanda avec une voix légèrement voilée:
— Je suis un peu inquiet parce que j'espère que cela ne veut pas dire que je suis pédé si j'aime qu'on me mette quelque chose dans le cul?
— Rassure-toi, beaucoup d'hommes aiment ça. C'est entre autre la prostate qui est accessible et c'est une zone érogène.
— Vous vous êtes homosexuel, il paraît, ça vous fait la même chose?
Il s'était lancé, donc même si je ne m'en cachai pas la rumeur circulait bien.
— Tous les hommes sont différents, homos ou pas! lui répondis-je.
— Je voudrais que vous me suciez la bite, m'interrompit-il.
— C'est un ordre?
— S'il vous plaît.
Je ne pouvais résister. Je commençai toutefois par son cul et à la place de la crème, j'introduisis ma langue dans son petit trou après avoir bien humidifié ses contours. Il gémissait et même dans cette position il était trop beau. J'engloutis sa queue, bien dure désormais. Je passai ma langue sur le contour de son gland, puis montai et descendai le long de sa hampe. Il me maintint la tête dessus au moment où il jouit. Se relevant, la queue pas encore molle, il quitta le fauteuil pour se positionner sur la table de consultation et me présenta son cul. J'agis avec douceur et le dépucelai du mieux que je pus. Après avoir joui à mon tour, je constatai qu'il avait remis ça sur la table. Après nos ébats, il remarqua que j'avais son sous-vêtement, ça le fit rire et il me le laissa définitivement en cadeau.
Ce petit vicieux m'avait utilisé, pourquoi m'en plaindrais-je?