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Michael ajouta un deuxième puis un troisième doigt dans mon petit cul serré, m'arrachant des petits cris, d'abord de douleur puis de plaisir. Jérôme posa sa bouche sur la mienne et, ses yeux plongés dans les miens, il m'embrassa avec une tendresse infinie. Ce mec était si beau, si tendre... Toutes les meufs qu'il baisait avaient bien de la chance. Mon plaisir montait entre le traitement de mon cul offert par Michael et les doux baisers de Jérôme.
— Tu aimes? me demanda Jérôme.
— Tu penses si il aime! Il adore, oui, lança Michael sans me laisser le temps de répondre. Il n'attend qu'une chose... Sentir une vraie grosse bite bien chaude et bien dure au fond de son cul de pédé!
Les mots de Michael me chauffaient encore plus. Entre Jérôme et moi, il se passait quelque chose d'indéfini. Mon beau militaire avait envie de moi... j'en étais sûr! Il déboutonna sa chemise, laissant apparaître un torse d'athlète aux pectoraux saillants recouverts d'une fine toison claire et douce au toucher. Sa longue tige montait jusqu'au nombril.
— Tu veux lui passer dessus en premier? lui demanda Michael toujours occupé à m'élargir la rondelle avec ses doigts.
— Vas-y, toi! dit Jérôme.
— J'ai une folle envie de lui enfoncer des trucs dedans avant de l'enculer!
Les yeux de Jérôme s'étaient fixés dans les miens et on y lisait un mélange de luxure, de désir et de sensualité. "Moi, c'est te faire l'amour que je veux!", voilà ce qu'ils voulaient me dire, ces yeux-là.
— Je t'en prie, Michael, baise-moi!
Les mots étaient sortis de ma bouche d'eux-même. C'était comme si j'avais pensé tellement fort et que mes pensées ne pouvaient plus être contenues dans mon esprit... Tous ces désirs inavoués remplis de beaux mâles qui me violaient étaient sur le point de devenir réalité.
Michael tomba la chemise et largua ses fringues une à une autour de lui. Son corps de mec était superbe: cul rond et cambré, taille fine, poitrine musclée et glabre (il devait la raser car on devinait ça et là de petits poils rasés courts qui amorçaient leur repousse), gueule de petite frappe, regard noir et froid... Les filles qui tombaient entre ses pattes devaient être à la fête question baise... question sentiment c'était autre chose. Moi, je m'en foutais puisqu'au fond j'avais pour s'occuper de moi les deux prototypes du mâle: la brute et le sentimental. Jerôme me présenta une nouvelle fois sa longue tige et je me mis à la pomper avidement. Cette tige longue et dure qui coulissait entre mes lèvres en cadence m'emportait au septième ciel. Des petits gémissements sortaient de sa gorge. Il se caressait le torse en douceur et insistait bien autour des seins dont les pointes étaient fièrement dressées.
— Il faut que je trouve des trucs... des trucs vicelards à lui foutre dans le cul!
Michael se dirigea vers la réserve et nous laissa seuls. Jérôme sortit de ma bouche et m'attira à lui pour m'embrasser le front, le nez, les joues et enfin pour darder sa langue râpeuse dans ma bouche. Il tint mon visage entre ses mains puissantes et planta son regard dans le mien:
— J'ai tellement envie de toi.
— Je suis à toi.
— Mais pas à moi seul.
— C'est ce que tu voudrais?
— À ton avis?
Ses lèvres goûtèrent à nouveau aux miennes. Il y avait des larmes dans le coin de ses yeux si expressifs... Ce mec n'avait pas seulement envie de mon cul... Il était si attendrissant dans cette haute carcasse et avec ce regard plein d'amour.
— Il va te prendre et... et je pense que je ne pourrai pas le supporter. Je sais qu'il t'excite et, au fond, il a le même impact sur moi... Mais, je t'assure, que l'idée de le voir te bourrer comme une pute ne me plaît pas beaucoup...
— Et si je t'avouais que moi, ça me fait envie!?
— Ce qui te fait envie c'est d'être à notre merci: celle d'un baroudeur prêt à tout pour assouvir son propre plaisir et celle d'un amant tendre et caressant - moi en l'occurrence! Tu me crois incapable de t'offrir ce qu'il va te faire, n'est-ce pas? Tu ne peux imaginer que je puisse te considérer comme une pute?
— Tu...
— Pour toi, je pourrais faire ça... T'attacher, te bâillonner et te séquestrer... Puis m'enfoncer doucement puis avec force au plus profond de toi. Te caresser puis te mordre les tétons. T'obliger à m'avaler la queue jusqu'à la garde sans me soucier de tes envies... Je pourrais être ton mec, ton amant, ton maître, ton esclave...
— Jérôme, je...
— Surtout ne dis rien...
Michael réapparut avec un spéculum.
— C'est pas vraiment ce que j'espérais mais faute de mieux. On va voir tout ce que tu as à proposer. À quatre pattes, salope!
Jérôme ne disait rien. Il m'aida à m'installer comme Michael l'exigeait, dos cambré et cul tendu avec les cuisses écartées. Il me fit lubrifier l'outil métallique avec ma salive et me l'enfila dans le cul. Je sentais la progression de l'engin et je réprimais des cris de douleur. Il ne me ménageait pas le Michael. L'idée de cet instrument dans mes fondements me troublait plus qu'il ne m'excitait... Jérôme me caressa les dorsaux et mordilla ma nuque...
— C'est moi qui le baiserai en premier, dit-il à Michael.
— Woaw... Tu te dégèles, mec! Si tu le veux en premier, je te le laisse...
— Je voudrais te demander quelque chose...
— Je t'écoute!
— Je veux être seul à le baiser.
Michael regardait Jérôme d'un air soupçonneux. Il me regarda aussi.
— Je crois avoir compris, les gars. Bon, c'est OK; ma bite n'entrera pas là-dedans mais je veux pouvoir jouer un peu avec lui... Une heure à trois et puis je te le laisse! C'est un plan honnête, non?
Jérôme approuva de la tête. Michael sourit et me claqua les fesses. Il se remit à me travailler le corps. Était-ce le fait de savoir que mon cul lui échappait, il redoubla de force dans ses "actions". Il me travaillait les tétons avec tellement de conviction que j'étais sur le point de jouir. Il était doux dans ces mouvements et, à aucun moment, il ne cherchait à me faire mal.
— Il y a une bouteille de poppers dans la poche de mon treillis! lança-t-il à Jérôme qui essayait de me détendre par ses caresses. Prends-la et fais lui renifler...
Pendant qu'il il me doigtait d'une main et me triturait un téton de l'autre, Jérôme me présentait le flacon de poppers pour me faire quitter le sol. Au bout d'un moment, je sentis qu'il pressait quelque chose à l'entrée de ma raie. J'ai eu un mouvement de recul et j'ai contracté les muscles de mon cul. Il avait promis de... J'ai relevé la tête et j'ai vu Jérôme qui m'enfonçait sa pine au cul. Tout allait si vite! Le pilonnage fut doux puis s'intensifia. Mon baiseur prenait son pied. Michael nous regardait en se paluchant la queue. Une queue énorme d'ailleurs! Nous étions en état de bête en rut, prêts à larguer nos purées respectives lorsque la porte de l'infirmerie s'ouvrit...
— Je vois qu'on s'amuse ici!
Le médecin de la caserne, un type très sexy et viril de quarante ans, venait d'entrer et il ne semblait pas outré de nous découvrir en pleine séance de baise... Au contraire... Il déserra le noeud de sa cravate et s'avança vers une armoire dont il était le seul à avoir les clefs...
— J'ai plusieurs choses qui pourraient vous intéresser...
Il ouvrit l'armoire où nous découvrîmes un tas d'objets bizarres mais excitants: godes, plugs, boules... Il s'approcha de nous en terminant d'enlever sa chemise.
— Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je vais me joindre à vous.
— Quand il y en a pour trois... (C'était Michael qui parlait!)
Michael était déjà à fouiller dans l'armoire aux trésors du docteur.
— Tu permets, dit-il en écartant Jérôme. Tu l'auras pour toi tout seul dans 45 minutes...
Jérôme ne dit rien. Il savait qu'effectivement je serais à lui tout à l'heure. Je sentis qu'un objet forçait l'entrée de mon cul. Je tentais de resserrer mes muqueuses et d'empêcher l'entrée à cet accessoire monstrueux... Peine perdue, le plug rentra malgré ma réticence. Tout compte fait, il était assez agréable à supporter, pas trop gros, en forme de poire... Le docteur, maintenant nu, s'occupa de ma bite raide et de mon gland, et avec une sorte de pompe, il injecta de l'air dans mon urètre. La sensation fut bizarre sur le coup, mais je m'y fit très vite. À la limite, j'en redemandais presque. L'épreuve - s'en était presque une! - dura dix minutes. Jérôme regardait plus qu'il ne participait. Il découvrait ce qui me faisait plaisir ou ce qui me déplaisait. Il regardait et captait ça et là des informations sur mes goûts en matière de baise. Il avait un regard magnifique, clair, pénétrant. J'aimais son sourire, la courbe ourlée de ses lèvres. Son torse si puissant. Il se pencha vers moi et me regarda droit dans les yeux.
— Tu es bien?
À suivre...