C’était ma dernière occasion de le voir, j’ai donc décidé de tenter ma chance. Mon frère allait faire sa soirée avec ses amis footballeurs, moi je repartais pour la fac de Toulouse deux jours plus tard. C’était ma dernière chance.

Depuis que mon frère et ses amis avaient gagné le match, ils avaient prévu de faire cette beuverie. Je n’allais pas manquer l’occasion. Un groupe de mecs de 22 ans, tous musclés, la plupart célibataires, hétéros et bourrés. Et moi, 19 ans, au milieu de tout ça, je n’aurai qu’à boire moins, forcer les autres à se remplir, puis éloigner Max et me jeter sur lui...

Ils sont arrivés à dix-neuf heures comme prévu, il était là. Tout de suite, ça a commencé. Ils se sont mis à boire sur un fond de musique très sexy. Moi je buvais au milieu d’eux. Certes je buvais moins, mais je faisais comme si l’alcool avait sur moi un effet très excitant (dans les deux sens du terme). J’étais vite au centre de l’attention d’un groupe de joueurs particulièrement saouls. La plupart étaient très en manque, ça se voyait. Ils devaient tous me voir comme une fille qui se dandinait devant eux sur la musique. Je les encourageais à enlever leurs vêtements comme moi je le faisais. Ils ne se faisaient pas prier. Les tee-shirts volaient, les bières se vidaient, la tension sexuelle augmentait... C’est alors qu’il est entré. Dès que j’ai croisé son regard, j’ai su que je n’aurais pas peur de me jeter sur lui le moment venu.

J’agitais mes hanches, je chantais, ils me suivaient tous du regard. Il s’est approché du groupe, puis de la table sur laquelle je me trémoussais, et a fait comme les autres: il a enlevé son haut, il me criait de «bouger mon cul plus vite», comme tous autres. Mais de sa bouche, cette pharse m’a tellement excité que je me suis exécuté avec une grande application. J’ai dégrafé mon pantalon, lui a enlevé le sien, les autres l’ont suivi. J’ai fait de même. J’étais en sous-vêtements et tout le monde me regardait mais Max était le seul qui m’intéressait. Certains, dont Max, sont partis pour telle ou telle raison, donc je suis redescendu de la table pour parler avec les autres. Ils m’ont félicité, nous avons parlé en nous habillant.

Je suis parti à la recherche de Max. Il semblait avoir disparu. Alors, avec toute ma discrétion, j’ai traversé la maison. Voyant qu’il n’était pas là, je suis allé dans le jardin, mais il n’y était pas non plus. J’ai regardé sur le stade. Les asperseurs étaient en marche. Près du jet d’eau, debout, Max se raffraîchissait. Je suis allé discrètement vers lui, 4 bières en main. Nous avont parlé, bu et c’est là que les choses sérieuses ont commencé.

D’un bond, je me suis levé et suis allé me faire arroser par le jet, toujours habillé. Là, j’ai dansé pour lui en essayant d’être le plus sexy et explicite possible. Je remuais mes hanches, secouais mes cheveux, me suis mis torse nu pour caresser mon corps. Il m’a rejoint et s’est mis à danser. Voyant qu’il était resté assez loin de moi, je me suis rapproché et me suis collé à lui. J’ai collé mes fesses à son entrejambe et j'ai commencé à les remuer, collé contre lui. La réaction a été rapide, en moins d’une seconde, il s’est mis à bander contre moi. J’ai pris ses mains et les ai passées sur mon torse. Il m’a caressé alors que mes mains le caressaient lui. Puis je me suis retourné et, sans rien lui demander j’ai commencer à lécher ses pectoraux. Il ne m’a pas arrêté, alors je suis déscendu de plus en plus... J’ai défait son pantalon et ai commencé à le lécher sur son boxer mouillé qui laissait bien voir son sexe. J’ai sorti l’engin et ai commencé à le lécher, le sucer... Il n’a toujours rien dit et a même mis ses mains sur ma tête pour contrôler le mouvement. J’ai déployé tout mon savoir faire pour qu’il apprécie ce que je lui faisais, pour qu’il en redemande, qu’il en veuille plus, et qu’il devienne accro.

Après un long moment où sa tige faisait des aller-retours dans ma bouche, où je le léchais, je gobais ses testicules, où il gémissait et me tenait la tête pour faire lui même le mouvement de va-et-vient, il m’a dit de me lever. Il m’a deshabillé et m’a dit de me mettre à quatres pattes. Il a pris une capote dans la poche de son pantalon, l’a enfilée, s’est mis derrière moi et m’a enfilé... J’ai retenu un grand cri car il était allé d’un coup, sans me préparer. Il m’a fait mal, mais j’ai vite oublié cette douleur lorsque j’ai été submergé par le plaisir de me faire prendre par lui, de le sentir au fond de moi, aller et venir à un rythme effrené sur toute sa longueur. Il m’a ramoné dans cette position pendant un bon moment, sans s’arrêter et tout en grognant. Puis il m’a murmuré de me retourner, de me coucher sur le dos. Je me suis exécuté. Il s’est installé entre mes jambes, les a placées sur ses épaules et m’a pris une nouvelle fois. Plus fort, plus profondemment, avec la force de son regard pour concrétiser l’acte. Il s’est penché vers moi et m’a embrassé. Je lui ai rendu son baiser.

Après un très long moment dans cette position sans qu’il ne s’arrête de me piloner, je me suis mis à jouir entre nos deux ventres qui se frottaient. Mon orgasme à été immense, je n’en avais jamais eu de tel. J’en ai presque pleuré. Mon anus s’est resserré sur sa queue alors que je jouissais. Sous l’effet de cette contraction, il a joui à son tour sans pour autant arrêter de m’asséner des coups de butoir, ses bourses claquant contre mes fesses à une vitesse plus folle encore qu’avant.

Nos jouissances passées, il ne s’est pas retiré, il m’a embrassé et m’a dit:

— C’était génial, tu es le meilleur Nico... J’aimerais bien refaire ça quand tu veux...

— C’est quand tu veux mon grand, j’ai trop aimé pour refuser.

— Et si on le faisait à chaque fois que tu reviens ici?

— Sans problème, mais on peut encore le faire maintenant si tu veux, j’ai encore des capotes dans ma poche.

Il n’a pas répondu, il s’est retiré, en a pris une autre et nous étions repartis pour le septième ciel.

Finalement, c’était censé être la dernière fois que je le voyais, mais nous nous revoyons encore souvent et à chaque fois c’est aussi bon que la première fois.