----------------------------

Vacances avec papa, maman et le frangin. C’est pas le grand kife mais faudra faire avec: j’ai pas de job d’été et j’ai pas de thunes pour partir avec mes potes. C’est clair que ça me sert à rien d’avoir eu le permis en juin. Ce camping, on l’a déjà fait y a trois ans et c’est pas un mauvais souvenir pourtant. Peut-être que je vais quand même me faire quelques rencontres en trois semaines? Le frangin, lui, est content! Il n’a que 15 ans et son meilleur copain passe ses vacances là aussi, donc c’est cool pour lui.
Premier jour, première douche et ça promet... c’est déjà la queue. L’été commence bien, il fait très beau et même très chaud! Et y a donc du monde en ce tout début juillet. J’attends dans le couloir des douches qu’une porte s’ouvre. Mais avant moi y a quelques mecs quand même. La grande cabine s’ouvre et c’est mon petit frère qui sort, sauf qu’il est pas tout seul... y a son pote aussi. Mon frère fait la gueule en me voyant et c’est son copain qui explique que c’est pour faire plus vite parce qu’il y a trop de monde. Y a quelques sourires dans le couloir... mais, près de moi, un gros balourd en marcel, les regarde et lâche avec mépris: «Tiens les petites fiottes de l’été, y en a toujours!» Je réagis aussitôt:
— Ça vous gêne qu’ils prennent une douche en même temps? Ils font du foot ensemble toute l’année, alors se voir à poil, ils ont l’habitude.
— Oué tu parles, t’es bien comme eux toi, rien qu’une petite pédale bonne à se faire foutre.
Là ça me cloue le bec! Le temps que je trouve quelque chose à dire, il est parti au bout, dans la cabine qui vient de s’ouvrir. Comment un mec de 30 ans – belle gueule, bien foutu pourtant – peut-il être aussi beauf, aussi désespérément con? Ceci dit, il a pas tout à fait tord pour mon frère... ça fait longtemps que je pense que lui et son pote Maxime sont «très proches», du genre à découvrir des choses ensemble...
Pendant la journée, j’ai repensé à cette histoire en craignant que ce grand con n’emmerde à nouveau mon frère, puis j’ai oublié. Le lendemain soir j’ai traîné avec lui et Maxime dans une partie de Trivial devant la tente et nos vieux dormaient déjà. Il était une heure passée et Maxime est allé se coucher. Julien lui est parti au WC. À ce moment, j’ai vu le grand beauf passer dans l’allée, dans la même direction. J’ai eu un petit frisson d’inquiétude, une vague intuition. J’ai trouvé que ça serait bien que je protège le petit frère au cas où... J’ai décidé d’aller surveiller un peu, l’air de rien.
J’attends un tout petit peu et je pars aussi vers les chiottes. Je rentre discrètement pour m’assurer que tout va bien et... y a personne. Pas le grand con, ça c’est bien, mais pas Julien non plus. Bon, on a dû se croiser. Je retourne à notre emplacement et là je vois que sa tente n’est pas fermée. Je me pose sérieusement des questions. Je me dis que j’aurais dû aller voir du côté des douches même si je sais qu’elles sont verrouillées après 23 heures. En fait, les douches ça me fait tripper... alors on sait jamais, ça serait kiffant de le surprendre avec son pote par exemple.
La porte des douches est bien fermée. Merde, c’est pas ça alors. Quoique... je fantasme tellement là-dessus que me vient l’idée de faire le tour du bloc, du côté de la haie de sapins pour vérifier que la fenêtre pourrie qui sert à l’aération est vraiment fermée. J’ai vu le matin – j’ai encore eu trop le temps de regarder! – que la crémone était bloquée par la rouille et que la fenêtre fermait pas trop. Bingo: je pousse un peu et ça s’ouvre. Y a une vague luminosité là dedans qui vient de l’éclairage du camping qui tombe par les Velux. Décidément, ce genre d’ambiance me chauffe carrément. Je décide de me glisser dedans discrètement avec l’espoir absurde de surprendre quelque chose et de me branler un bon coup. Rebingo... il y a comme un bruit dans la grande cabine handicapé qui est bien la seule à être correcte. Je rentre dans celle d’à côté pour me planquer et je tire la porte doucement sans fermer le verrou pour ne pas faire de bruit. Comme maintenant il y a des râles d’homme bien sonores à côté, je me dis que je n’ai pas été repéré. En tous les cas, c’est sûr, c’est pas le frangin, c’est trop viril. Mais maintenant vaut mieux que j’attende la fin pour pas me faire griller.
Vous savez, vous, pourquoi y a des portes aux douches des campings? Y a toujours tellement de trous dans les murs que c’est presque hypocrite je trouve. J’en suis à chercher par lequel je vais mater quand j’entends: «T’es une bonne petite fiotte toi, je suis sûr que je suis pas le premier que tu astiques comme ça, hein petite lope...» Putain! C’est la voix de ma grosse baraque... Un peu tremblant, je me jette sur un des trous et là je m’étrangle. Je vois au fond de la cabine mon frangin, le cul à l’air, qui se branle la queue à toute vitesse, mais je vois surtout sa bouche déchirée par le braquemart vraiment épais de la brute qui lui laboure la gueule à grands coups puissants. L’autre râle sans retenue et il y va vraiment fort. Je vois mon frère au bord de gerber et pourtant, il tend toujours plus le cou vers cette queue. Il est comme hypnotisé par cette bite, complètement obéissant à cette brute! «Eh oh, fait gaffe aux dents! Ça fait deux fois!» et le connard se retire juste pour lui mettre deux baffes qui claquent dans le silence. Y a mon frangin qui alors se jette sur la queue qui lui défonce la bouche. Ça excite le mec qui bascule la nuque en arrière et je vois qu’il va venir, il s’enfonce à fond en tenant Julien par les cheveux: «Ouééé, je vais te remplir de mon jus de mec... tu vas tout bouffer!» et c’est clair qu’il se vide dans la gorge de mon frangin qui creuse les joues pour mieux aspirer tout le foutre. Je suis pétrifié. Je sais que je ne vais rien faire, parce que y a rien à faire. Mon frère est juste en train de prend grave son pied à vider le jus d’un mâle qui a le double de son âge! J’ai plus qu’à attendre qu’ils partent tous les deux...
Le grand con satisfait, fait se relever mon frère qui se branle toujours, les yeux hagards, la bouche encore ouverte avec du sperme qui lui coule des lèvres. Le mec lui écarte la main pour secouer lui même sa queue que je découvre pas mal développée. On voit pas grandir ses frangins... Le mec le branle fermement et mon Julien est tout haletant du plaisir qui monte de ses couilles. Très vite, il se convulse et gémit sans retenue. Il lâche son sperme dans la main de l’autre. «C’est bien, tu as autant de jus qu’hier! Tu t’es pas branlé, tu as obéis... Tourne-toi là... Penche-toi maintenant!» Mon frère s’exécute aussitôt et de lui même il dégage ses pieds du slip pour mieux écarter les fesses. La brute avance sa main pleine de foutre vers son cul et introduit d’abord un doigt, puis vite un deuxième. Il tourne ses doigts pour violer le sphincter. Mon frère ne débande même pas. «Ouéé ça va être bon, tu vas finir par être prêt, c’est que j’ai pas une bite de gamin moi... Mais vide-toi bien le cul avant, j’ai ta merde sur les doigts là. On verra ça une autre fois, ma femme a droit aussi à ses gâteries ce soir... Mais tu sais, tu peux être fier, j’ai pas encore mis de doigt à ton connard de frère. Tu vois, c’est toi qui a les honneurs!» s’esclaffe-t-il. Il retire sa main et la fait claquer sur la fesse pâle de mon frangin. Et stupéfait, je vois Julien qui cambre un peu les reins pour tendre plus le cul! La brute regarde ses doigts sale de sperme et de merde et les tends devant la bouche de Julien: «Nettoie-moi ça... et puis tu te rhabilles... C’est bien, t’es une bonne petite pute à jus, t’es comme ton frère je parie, ça se voit...»
«Attends-moi près de l’accueuil!» et le mec a fait sortir Julien le premier par la porte avant de partir lui même en refermant à clé... Bien organisé le mec, il a les clés pour ses coups de bites de la nuit... J’étais scotché sur place de tout ce que je venais de voir sans réagir. Enfin, c’est vite dit ça. En fait, depuis le début, ma queue était tendue à exploser dans mon calebar. Alors là, j’en pouvais plus! J’ai fermé les yeux et je me suis fini en revoyant mon frangin en train de prendre son pied et là, je crois que j’ai imaginé des trucs pas très clairs...
À suivre...