----------------------------

Tout commença dans mon club sportif, après un concours de branlette où j’avais été un des plus rapides car excité par mes camarades. Peu de temps après, l’un d’entre nous eut l’idée, pour corser le jeu, de recommencer en faisant boire au dernier qui éjaculerait l’ensemble de la semence récoltée. Durant les premières secondes, je fus réticent mais changeai rapidement d’idée et ralentis mon mouvement, de telle façon que je fus le dernier à jouir. Nous étions cinq et je devais avaler un fond de verre. Avec un peu d’appréhension, je portai le récipient à mes lèvres et bus les premières gouttes. Y trouvant mon compte, j’avalais le tout. Mes copains furent un peu dégoûtés et me demandèrent si je n’étais pas un vrai pédé: "Tu sais, c’était juste un jeu! Tu aurais juste trempé tes lèvres..." Mais j’y avais pris goût et cela marqua toutes mes expériences après ce moment. Je n’eus de cesse de chercher à voir des mecs jouir pour avaler ensuite leur sperme.
Mon premier cobaye fut mon père. Si j’étais déluré en privé, je passais pour un petit ange en famille, ignorant toute chose impure. Il me prit l’envie de voir le sperme paternel. Je tentai alors une première approche en jouant les candides. Je me lançai à l’eau un jour que nous étions tous les deux:
— Tu sais papa, j’ai un problème. On se moque de moi car à 16 ans, je ne sais pas ce qu’est le sperme.
— Mais tu ne t’es jamais masturbé?
— Non et ça non plus je ne sais pas comment on fait. (Un ange passa)
— Mais enfin, tu as bien vu des films ou regardé des magazines?
— Oui, bien sûr mais il s’agissait de rapports à deux. Qu’est-ce qu’on peut faire tout seul?
— Tu plaisantes ou quoi? Il ne t’est jamais rien arrivé? Tu dois bien bander parfois, être excité?
— Oui mais ça ne va pas plus loin. Ce que je voudrais c’est avoir du sperme!
— Bon et bien je vais chercher de l’info pour toi. Que puis-je faire de plus?
— Tu sais papa, tu n’as qu’à me montrer le tien! lançai-je...
Mon père fut estomaqué. Je me remémorai une ou deux années avant, je l’avais vu une fois regarder un film porno en pleine nuit mais dans la pénombre, j’avais juste deviné le moment où il s’était essuyé. J’avais essayé de le surveiller mais sans résultat.
Il me promit qu’il m’apporterait une réponse d’ici peu. Les jours passèrent et je vis qu’il était gêné. J’en profitai pour augmenter son embarras en le relançant. Il finit par céder et me dit que cela ne lui semblait pas trop normal mais qu’il allait me montrer.
Le jour venu, il me demanda de patienter. Je le suivis en cachette à la salle de bain où il s’était enfermé. Je collai mon oreille à la porte et tentai de regarder par le trou de la serrure. Je le distinguais de dos, le pantalon baissé, en train d’activer son poignet. Il pivota et je vis son sexe épais qu’il tenait solidement en main. J’avais le cœur qui battait. Je rejoignis ma place où il arriva dix minutes plus tard avec un petit gobelet en plastique qu’il me remit. Comme il était gêné, il repartit en me demandant de ne plus lui poser des questions du même genre. Je retournai à la salle de bain où régnait toujours son odeur, forte et masculine et trempai mon doigt dans le nectar encore tiède et qui se liquéfiait. Je reconnus l’odeur caractéristique et le goûtai. Il avait une certaine amertume.
Mais cette victoire ne me suffit pas. Je trouvai rapidement une deuxième victime. Ma sœur qui vivait encore à la maison y emmenait régulièrement son copain Damien. Leur chambre était à côté de la mienne et je les entendais baiser de temps en temps. Je savais qu’elle ne supportait pas la pilule. Ma mission fut donc de découvrir les préservatifs que son copain ne devait pas manquer d’utiliser. Je filai un matin, après une nuit agitée où je les avais entendus faire l’amour, dans la salle de bain que l’on partageait. Bingo du premier coup! Je trouvai dans la poubelle l’étui qu’il avait noué après l’usage et qui contenait un sperme entièrement liquide. J’en fis couler dans ma paume, l’imaginant au sortir de la queue.
J’étais perdu dans mes rêves quand la porte s’ouvrit et je fus pris sur le vif par Damien, lequel, s’il sembla surpris dans un premier temps, recouvra vite ses esprits et referma la porte à clé derrière lui avec un sourire narquois. "Je me doutais que le petit frère était un peu pédé. T’es encore trop jeune pour en avoir pour chercher celui des autres? Si t’en veux, faut demander. Je ne vois pas pourquoi ta sœur aurait tout. Tu sais que tu m’excites en ce moment?"
Il s’approcha de moi et me fit mettre à genoux en me maintenant par les cheveux. De sa main libre, il avait baissé son caleçon, sorti sa queue et commença à se branler, la bite en face de mon visage. Il éjacula en très peu de temps et je reçus le liquide convoité partout sur la face. Il me remercia en me traitant de salope et en me proposant de recommencer.
Je ne savais à qui me confier. J’en parlai cependant à mon voisin en classe. Ce dernier était du genre cool, il me dit qu’il m’en donnerait autant que je voudrais. Je lui répondis que je souhaitais le voir jouir et que ce qui m’excitait, c’était les situations spéciales. J’avais tapé dans le mille, rien de tel pour lui qu’un défi! Il me promit qu’il allait le faire sur-le-champ. Je le vis sortir sa queue et commencer à se branler tout en écrivant de l’autre main. Il s’était placé son mouchoir en tissu pour se protéger. Il m’avertit discrètement qu’il allait jouir et en effet, il me remit son mouchoir bien gluant que je me portai tout de suite au nez et aux lèvres. Il promit de le refaire à la demande.
Très vite ma réputation fut faite. Je m’enfermai dans les toilettes avec des garçons à qui cela faisait plaisir de se branler, même devant quelqu’un, tant que ça n’allait pas plus loin. Arrivé en fin d’année scolaire, j’avais dû goûter la moitié du sperme du lycée quand je me fis prendre par un surveillant. Le garçon qui avait été enfermé avec moi dans les toilettes avait joui à ma demande sur les murs puis était parti. J’étais en train de lécher les traces tout en me branlant quand le pion était arrivé.
Je fus amené dans le bureau du directeur de l’établissement, lequel étant privé, était un prêtre. Il s’agissait d’un homme très grand et plutôt maigre, plutôt traditionaliste d’apparence. Il me dit que mon petit manège avait été repéré et qu’il allait y mettre fin par ses propres moyens. Il mit une vidéo en route sur le magnétoscope de son bureau: c’était un montage d’éjaculations faciales. Je bandais au maximum. Assis à côté de moi, le père D. commença à me caresser puis me déshabilla. Il se mit alors devant moi et commença à me sucer. C’était divin. Il pompait tellement bien que je jouis rapidement. Il avala tout jusqu’à la dernière goutte puis me demanda d’ouvrir la bouche. Il me la tint ouverte en y glissant deux doigts pour écarter mes lèvres puis il m’y cracha ce qu’il avait aspiré. J’en avais un peu qui me coulait sur le menton. Il me lécha puis enfonça sa langue dans ma bouche qui découvrait pour la première fois mon propre goût.
— Alors, tu as aimé? me demanda-t-il. Attends la suite.
Il baissa son pantalon d’où sortit une bite très longue, me retourna et m’encula d’un coup sec. Mon dépucelage me fit hurler mais il mit sa main devant ma bouche pour me faire taire. Il y alla sans douceur et à un moment, il sortit pour me planter sa queue dans ma bouche. Il y jouit en me disant qu’il ne suffisait pas de regarder mais qu’il fallait donner un peu de sa personne. C’est vrai que cela ne m’avait pas déplu et cet élargissement de mes pratiques fut une découverte qui m’ouvrit de nouveaux horizons, tout en restant un amateur forcené de foutre...