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À l'époque j'étais déjà très attiré par les mecs. Et puis la puberté aidant, je ne pouvais contrôler certaine pulsion se dégager de mon corps. Au collège on m'avait surnommé le "bandeur" car lors des cours de sport, ils s'étaient aperçus que mon short se gonflait même par vent calme. Aussi j'étais toujours chahuté et dès qu'il y avait un sale coup à faire, c'était sur moi que cela tombait.
Je faisais donc le maximum pour éviter le petit groupe des quatre qui me taquinaient en permanence. Mais un jour, je me suis retrouvé dans l'obligation de côtoyer un de ces mecs lors de l'absence d'un de nos profs. Nous pouvions soit aller en salle de permanence, soit dans l'atelier d'une prof qui nous y laissait libre accès. D'habitude, Éric partait avec ses copains en ville, mais cette fois-ci, il était venu me rejoindre dans cet atelier.
Éric avait 18 ans, il mesurait 1m75 et était blond aux yeux marrons. J'étais surpris mais je ne lui ai pas montré. Il s'assit à côté de moi et commença à sortir ses affaires de classes, oh, juste pour la forme car aussitôt après, il sortit un livre de cul où des femmes taillaient des pipes à des mecs super membrés et qui se gavaient de leur foutre.
Du coin de l'oeil je regardais ce spectacle en espérant moi aussi en avoir un jour plein la bouche. Déjà lorsque je me branlais, j'adorais avaler mon propre sperme, j'avais super envie de goûter celui des autres. Voyant que ce spectacle ne me rendait pas indifférent, il sortit sa bite se son jeans bleu délavé et commença à se branler.
— Qu'est ce que tu fais?
— Tu le vois bien, je me branle!
— Mais la prof est dans la salle d'à côté.
— Et alors?
Mon regard quittait alors définitivement le livre de cul pour se figer sur son sexe. Tout en se branlant il me posait des questions. Mon corps réclamait le contact les plus intimes avec cette queue mais mon esprit restait pétrifié à l'idée que l'on nous surprenne.
— Tu t'es déjà branlé?
— Ben oui! (pour qui il me prend, s'il savait)
— Tu aimerais te faire sucer?
— Oui. (mais je préférerais sucer la tienne)
— Tu veux me sucer?
— Non. (mais pourquoi j'ai dit ça?)
Je sentais son corps s'enflammer sous ses caresses sa queue irradiait d'une chaleur animale, pourtant je résistais à l'envie de prendre son sexe dans ma bouche.
— Tu ne veux vraiment pas sucer ma queue?
— Non, tu vas le dire à tout le monde...
— Je te promets que cela restera entre nous.
Je le connaissais trop bien, tout seul il pouvait être charmant, mais en bande, il n'arrêtait pas de vanter ses exploits. Je n'avais pas envie de subir tous les sarcasmes du collège, j'en avais déjà bien assez ainsi.
Comme je ne faisais aucun geste vers lui, il continua de se branler de plus belle, son sexe bien développé maintenant sortait hardiment de son jeans. Sa queue, bien que moyennement membrée (16cm), me faisait énormément envie. Puis il se leva d'un bond de sa chaise et se précipita contre un mur pour y éjaculer toute sa semence. Je regardais le liquide gluant couler contre le mur en maudissant mon manque d'audace. Éric reprit ses affaires et l'air dépité, s'en alla sans rien dire.
L'après-midi en cours de travaux manuel, un autre mec de la bande des quatre et moi sommes désignés pour aller chercher du matériel dans une salle très éloignée de la nôtre.
Je ne suis pas mécontent car Stéphane est mon préféré. Il a un menton carré très viril, une barbe très fournie, on dirait toujours qu'il est mal rasé. Il mesure 1m90 et il est brun avec un peu de poils sur la poitrine. Un mec viril comme je les aime. Il a surtout une superbe grosse queue qui me fait fantasmer à mort. Quand je me sodomise avec n'importe quel objet qui puisse me servir de substitut de sexe, c'est à lui que je pense. Sa queue je la mate tous les jours quand il va pisser, je me mets à côté de lui à l'urinoir et fait semblant de pisser tout en regardant sa bite. Chaque fois il me dit:
— Qu'est ce qui a? Tu veux la sucer?
Alors je remballe mes affaires et je m'esquive très vite.
Nous arrivons dans la salle, prenons les affaires dont le prof avait besoin et repartons vers notre salle.
— J'ai envie de pisser.
Nous descendons alors aux toilettes et je recommence mon petit manège comme d'habitude. Mais lorsque je regarde sa queue au-dessus de l'urinoir, ce n'est pas la lourde bite pendante que j'ai l'habitude de voir qu m'apparaît. C'est une grosse matraque bien raide de 19cm par 4cm qui s'offre à ma vision. Je relève alors mon regard et lorsqu'il croise le sien, je comprends ce qu'il attend de moi. Il se dégage de l'urinoir et va ouvrir la porte d'un chiotte. Toutes mes réticences s'écroulent alors et je rentre dans le chiotte avec lui. Je m'assoie sur la cuvette face à son jean à bouton. Il défait alors ces boutons un à un. Je n'en peux plus, j'ai envie d'avoir son sexe dans ma bouche. Il baisse son pantalon et je vois son sexe tout bandé à l'intérieur de son slip qui ne demande qu'à sortir.
— À toi de jouer maintenant...
Je me précipite pour baisser son slip, sa queue libérée bondit et vient frapper mon visage. Je gobe alors goulûment son gland, avale sa verge au plus profond de ma gorge. On dirait une personne morte de faim.
— T'en avais envie, hein salope?
Je ne dis rien, mais mes yeux consentirent.
— Vas-y, continue, suce bien. Ralentis, il y en aura pour tout le monde!
Enfin, j'avais une queue dans la bouche. Depuis le temps que j'en rêvais et en plus d'un beau gabarit. L'odeur de sa queue, son goût tout me plaisait. C'était l'extase. Après 10 minutes de pipe intensive, je sentis son corps se tétaniser. Mais il eut au dernier moment le réflexe de retirer sa queue de ma bouche. Dans un râle, il lâcha sa purée contre ma joue en de longues giclées. Je passais alors ma langue sur mes lèvres pour essuyer le surplus.
— Eh! Tu es dégueulasse! Tu aimes ça?
— Oui, il a le même goût que le mien...
Je voulus finir de lui pomper la sève de sa queue, mais il préféra s'essuyer avec du papier toilette. Puis nous remontèrent en cours comme si de rien n'était.
Deux jours plus tard nous avions cours de sport, la séance se déroula normalement et comme d'habitude nous rentions aux vestiaires. Certains prenaient une douche car ils n'avaient pas honte de leur intimité, la puberté ayant déjà chez eux accompli beaucoup de transformations. Et puis c'était le moment où ils pouvaient comparer la taille de leur sexe sans avoir l'air de "tapette".
J'étais le dernier à me rhabiller et j'entendais les appels répétés de Éric, Stéphane, Jean-claude, Louis qui comme d'habitude me disaient de venir sous les douches avec eux.
— Viens Bandeur, viens voir une bite de mec.
— Viens voir nos queues, elles attendent ton cul!
— Viens nous nettoyer la bite quoi!
— J'ai fait tomber mon savon, viens m'aider à le ramasser...
Avant, je me serais enfui comme d'habitude, mais encouragé par les deux premières expériences que je venais d'avoir, je m'engouffrais alors sous les douches.
C'était une grande salle sans découpe, là, dix pommeaux de douche éparpillés au plafond déversaient une eau chaude qui remontait en vapeur. Ils avaient tous leurs queues à la main bandées raides.
— Approche, me dit Stéphane en tendant sa bite vers moi.
Je n'hésitai pas une seconde, alors que je m'abaissais pour prendre sa queue dans ma bouche, il s'écarta pour laisser sa place à Éric. Je n'eus pas le temps de reculer, il avait déjà enfourné sa queue dans ma bouche, et commença et me pilonner le fond de la gorge.
— Tu avais raison Stéphane, c'est une bonne suceuse!
— Tu aimes salope? Alors tu ne voulais pas me sucer? me disait-il en me bourrant la gueule.
Surpris par cette manoeuvre, je repris mon esprit, et me mis à pomper consciencieusement cette bite qui était plus petite que celle de Stéphane mais très dure. Il me l'enfournait jusqu'aux amygdales. Il continuait à m'insulter, ce qui m'excitait beaucoup.
— Jean-Claude, Louis occupez-vous de son cul!
— Si tu aimes sucer, il n'y a pas de raison que tu n'aimes pas te faire sauter.
Ils s'approchèrent de mon cul et commencèrent à m'écarter les fesses. Jean-Claude et Louis n'étaient pas puceau, au contraire de Stéphane et Éric. C'était deux frères d'origines espagnoles qui avaient déjà au moins baisé une de leur cousine. Ils n'avaient jamais pratiqué la sodomie, mais leur devise était "bite n'a pas d'oeil". Le seul truc qui les gênait, c'était d'avoir de la merde au bout de la bite. L'un des deux m'introduisit un doigt, puis le renifla pour voir le niveau de propreté de mon trou.
J'étais très excité à l'idée de me faire prendre, enfin une vraie queue dans le cul. Cela faisait quelque mois que je m'introduisais dans le fion toutes sortes d'objets pouvant me rappeler une bite (concombre, carotte, manche de pelle), j'avais vraiment envie de passer à l'acte. De plus leurs queues étaient moins grosse que ce que j'avais déjà pu me mettre.
Jean-Claude avait la queue légèrement plus petite que Stéphane (18 par 4), Louis avait une queue toute arquée en demi-cercle avec à l'extrémité un énorme gland comme un champignon, posé sur une verge très épaisse a la base et diminuant énormément en diamètre sous le gland: 18 par 5.
Louis me prit comme un taureau espagnol prend une vache. Il planta sa queue dans mon trou et s'agrippa à mes anches, la sensation fut très vive, puis fort agréable. La chaleur de cette queue dans mon cul m'irradiait dans tout le corps. Tout cela sous le regard de mon beau Stéphane, qui visiblement n'avait pu tenir sa langue et qui m'avait donné en pâture à ses copains, ce spectacle le faisant bander.
Les deux frères se relayaient pour me pilonner le cul, tout en parlant en espagnol et en français.
— Tu es une bonne pute!
— Meilleur que ma copine!
— Quand on en aura fini avec ton cul, tu auras plus besoin de forcer pour chier!
Le moment ultime arriva finalement, Éric m'attrapa la tête et la plaqua sur son pubis. Il déchargea au plus profond de ma gorge, impossible de me dégager, son sperme était amer, une horreur. Jean-Claude alors m'englua le trou en profondeur, super sensation que se foutre brûlant qui se répand en vous. Puis, Louis vint à son tour se décharger dans mes entrailles, pendant que je finissais de nettoyer la queue de Stéphane qui avait joui en me regardant me faire prendre.
À mon grand soulagement et regret après cette expérience ultime, je n'eus plus à supporter les sarcasmes de ces quatre là, mais honteux peut-être de ce qu'ils avaient fait. Nous n'eûmes plus de relation sexuelle ensemble.