Je faisais de la gymnastique le soir. Après avoir terminé ma séance d'entraînement, j'allais prendre une douche. Je me savonnais le haut du corps lorsqu'il entra. Je n'avais jamais vu un corps si parfait: une peau mate, des cheveux bruns et des yeux noirs, construit comme un lutteur. À un moment, j'ai dû le regarder sans savoir. Il me demanda ce que je regardais, j'étais gêné et j'ai marmonné quelque chose comme quoi je ne regardais rien.

C'était impossible pour mes yeux de ne pas regarder ce corps si parfait. À un moment, il s'est touché la queue et ma machoire s'ouvrit machinalement dans le vide. Il a terminé sa toilette puis est parti. Quant à moi, je me suis vite mis à me branler, bien décidé à cracher mon désir.

Au cours du week-end, je ne pus le faire sortir de mon esprit. Lundi j'ai continué à être obsédé par lui. Je ne savais rien de lui. Ou presque, je connaissais son zob!

Le soir, je suis allé à la gymnastique. Je faisais quelques abdos au banc quand il est entré. Il est venu et a offert de s'entraîner avec moi. Après une heure d'entraînement, je sentais l'arôme fauve de son corps. Nous avons ensuite parlé pendant quelques minutes. Il s'appelait Said, il avait 24 ans et aimait le football et les jeux d'équipes, le parfait petit hétéro.

Nous continuâmes l'entraînement par une séance de musculation. Lui était allongé sur le banc et il commença à soulever la fonte. Ses bras musclés se mirent à travailler. J'ai replié ma serviette et la posai sur mon short pour essayer de cacher mon érection. Je lui ai ensuite rapporté une mesure pour alourdir le poids. Sans problème, il continua sans douleur à soulever le poids. Je suis parvenu à cacher mon excitation... C'est du moins ce que j'ai pensé. Nous avons rediscuté ensemble pendant environ une heure encore. Je redoutais le moment où nous devions nous doucher. Comment lui cacher mon excitation visible?

Je décidai donc de partir directement et de me doucher chez moi lorsque Said m'interrompit dans mon élan et me dit que je ne pouvais pas obtenir un résultat satisfaisant d'une séance sportive si je ne me délassait pas immédiatement sous la douche chaude. Okay je ne pouvais pas me défiler mais j'allais devoir cacher ma bite.

Je sélectionnai une douche opposé de Said et commençai à me savonner. J'essayais de ne pas regarder son corps nu mais c'était trop, j'ai dû regarder. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais: Said se tenait sous l'eau, frottant son sexe massif. Il nota mon regard et me demanda ce que je regardais. J'étais en transe. Il demanda s'il y avait quelque chose que je voulais. Il a commencé à marcher vers moi, son sexe se balançant de gauche à droite.

D'une façon nonchalante, pendant qu'il se tenait face à moi, il plaça ses mains sur mes épaules. Tout en me poussant vers le bas, il dit: "Je sais que tu veux ma queue!" Sa bite n'était seulement qu'à quelques millimètres de mon visage. Je ne regardais que ça. Il plaça ses mains sur ma tête et commença à tirer ma tête vers son membre. Je sortis ma langue et lui léchai délicatement le gland. Il poussa des gémissements pendant que je goûtais son pénis. Il était salé et bonbon en même temps.

Il appuya son phallus sur mes lèvres et dit: "Maintenant suce!" J'ai volontairement séparé mes lèvres et ai laissé son axe glisser entre elles. Il aimait apparemment et rentrait sa queue dans ma bouche puis la ressortait immédiatement la claquant sur ma gueule. "Putain suce, va bien sur toute ma bite... allez... oui... hum t'es un bon suceur toi... ouvre bien la bouche." Ce que je fis et il rentra profondément son zob et son gland glissa dans ma gorge.

Mes lèvres étaient étirées autour de son poteau. Je sentis ses couilles sur mon menton. Je retirai ma bouche de sa queue et commençai à embrasser ma voie vers le bas: ses boules remplies. Je léchais ses boules imberbes. Elles étaient trop grandes pour les prendre toutes les deux dans ma bouche ainsi j'ai dû travailler sur elles une par une.

"Putain que c'est bon un appareil génital masculin!" pensais-je. J'alternais entre son gland, sa verge, ses couilles; je ne voulais perdre aucun centimètre de son sexe. Fallait absolument qu'il garde un bon souvenir de moi et moi de lui. "Vas-y, accélère, branle moi bien en même temps!" me dit-il. Je le tétais pendant que d'une main je lui malaxais les couilles et de l'autre je le branlais. Puis d'un coup, il se mit à se branler lui même, il voulait absolument m'allaiter lui même. Je léchais à présent son gland et effleurais la fente de sa queue. Son robinet se contracta et son foutre éclata dans ma bouche.

Sa queue glissa de ma bouche et il tira un chargement sur mon visage. Je poussai son sexe de nouveau dans ma bouche et suçai tout le sperme restant. Sa queue en ramollissant, glissa de mes lèvres. Je continuais pour ma part à m'astiquer la queue et me mis à jouir presque immédiatement. Je soulevai ma main pleine de mon sperme et l'étalai sur mon visage.

Je repris sa queue et commençai à la lécher tel un cône de crème glacée. Je le regardai et lui sourit, il me lança un: "T'es une vraie salope, toi!" Cette remarque me plut. C'est vrai que j'étais une vraie salope.

— J'ai des potes intéressé par un suceur, t'es okay?

— Tu m'étonnes c'est quand tu veux où tu veux avec qui tu veux!

— J'y penserai, me dit-il.

Il me dit à bientôt et partit.

Moi je restai là encore 15 minutes sous la douche. Le soir depuis ce jour, j'avais gymnastique et fellation. C'est vrai, les lèvres aussi c'est important.