Jeudi 17 avril 4 17 /04 /Avr 19:25

J’avais repéré ce mec quand il était venu faire des courses au village. Dans cet environnement tranquille, estival et familial, il n’était pas passé inaperçu: barbe de deux jours, crâne rasé, short en jean ultra court et ultra frangé, débardeur camouflé de l’armée; avec ça, une démarche qui lui faisait rouler les épaules et traîner ses grosses godasses de chantier. De toute façon personne n’aurait eu l’idée de lui reprocher sa tenue, sa stature et une musculature sortant de l’ordinaire imposaient le respect.

Quand il était sorti de l’épicerie, nos regards s’étaient croisés. J’allais mettre une bouteille de gaz dans le coffre de la voiture d’une cliente âgée; je portais mon short du club de gym et un t-shirt sans manche; généralement dans cette tenue j’attire assez les regards avec mon corps de vingt berges à la musculature forgée aux agrès. Alors que je regardais la voiture de la cliente s’engager sur la route, je croisai à nouveau le regard du mec qui montait dans son pick-up. Il me regardait en s’installant à son volant, portière grande ouverte. Pour être mieux installé, certainement, il porta la main à sa braguette et remonta tout son paquet. J’eus l’impression que cette partie de son corps était lourde. Comme il me regardait toujours, j’esquissai un petit sifflement suivi d’un sourire. Le gars claqua la portière et démarra en faisant un grand cercle pour repartir dans l’autre sens. Je devinai qu’il allait passer près de moi, aussi je ne bougeai pas d’un pouce. Effectivement il s’arrêta à ma hauteur, descendit la vitre du passager et me dit d’un voix rauque: «Je suis dans la fôret domaniale, au lieu dit le Trou du Cerf, je finis à cinq heures ce soir, si tu veux voir le chantier...» Je répondis que je verrais et il disparut derrière la côte.

Vers cinq heures, je pris mon VTT et je pédalai très fort pour aller au Trou du Cerf. Je pensais être guidé par le bruit du bulldozer mais je n’entendis rien. Le cœur battant, je me rapprochai de l’endroit et arrivai dans une sorte de clairière. Il y avait le pick-up du gars, une vieille caravane, une cabane de chantier sur roues, le bull et d’autre petit matériel épars. Je posai mon vélo contre un arbre et m’avançai vers la caravane où je pensais trouver le gars puisque je ne voyais personne. Arrivé au coin de la cabane de chantier j’entendis un bruit d’eau. Je tombai sur le gars qui prenait une douche de fortune, sous une grosse poche à eau en plastique accroché à une branche. Je fus un peu surpris; il s’adressa à moi: «Je me demandais si tu allais venir. Tu es là, c’est bien.» Je ne répondis rien, absorbé par la vision que j’avais devant moi: le gars était tout savonné et il se massait doucement tout le corps. Ses poils noirs faisaient comme des vagues d’écume sur ses pecs et ses abdos. Il ne se trompa pas sur l’effet qu’il provoquait chez moi. Il me dit de m’asseoir sur un tronc et de profiter du spectacle.

Il passa ses mains longuement sur tout son corps, soulevant sans vergogne ses attributs virils pour les laisser retomber sur ses cuisses. Au fur et à mesure qu’il étalait la mousse sur son corps, je constatai que ses fameux attributs retombaient de moins en moins. Il présenta bientôt une érection fabuleuse. «Ça te plaît de voir un mâle sous la douche pas vrai? T’en as pas vu souvent je parie!» Je voulus rctifier et répondis que si, que des mecs dans des vestiaires j’en avais vu quotidiennement depuis des années. Il me coupa la parole: «Oui, des brêles, des timides, des mecs comme ça t’en as vu? Regarde mec!» Et il empoigna son sexe et le tendit dans ma direction. Je peinais à avaler ma salive. «Fous-toi à poil mec!» m’ordonna-t-il. Je m’exécutai lentement, avec beaucoup de mal à baisser mon short moulant tant j’avais la trique. Pendant ce temps, je ne quittais pas des yeux sa main qui allait et venait sur toute la longueur de son énorme chibre. Même sous la mousse, on voyait bien son membre tendu, ses boules de taureau. Le reste du corps était à l’avenant: larges pecs qui saillaient à chaque mouvement de ses bras, épaules de déménageur, cuisses de rugbyman.

Quand je fus nu, debout à quelques mètres de lui, il dit: «Putain que t’es bien gaulé! Je crois que je vais aimer, ma bite aussi va aimer.» Sur ce, il me tourna le dos, ce qui me permit d’admirer sa carrure et il tira sur la ficelle qui actionnait le robinet de la pomme de douche. Au fur et à mesure que l’eau coulait sur son corps, la mousse descendait le long de ses muscles et le gars apparaissait sous un nouveau jour: musclé, luisant, puissant. Il continua à se passer les mains sur tout le corps pour enlever le plus possible d’eau puis me dit d’un ton ferme: «Prends la serviette qui est là-bas et viens m’essuyer!» Je m’exécutai.

Quand je me retournai, j’eus un mouvement de surprise. Il avait quitté la douche de fortune et se tenait à peine à un mètre de moi. «Essuie!» me dit-il en me tournant le dos. Je frottai maladroitement ce dos magnifique; chaque mouvement provoquait comme une houle sous cette peau brillante de gouttelettes. «Putain mais tu sais pas essuyer! Appuie!» J’obéis et commençai à passer le tissu éponge sur le dos, puis les reins. Il mit ses mains sur ses genoux, m’offrant son dos à plat. Il était incroyablement beau et puissant. Depuis son bassin, ses grands dorsaux s’évasaient vers les épaules en un trapèze parfait. Plus bas, ses fesses fermes et rebondies contribuaient à donner à tout ce corps une impression de force. Il me laissa essuyer le dos puis il se redressa et me fit face. Il était un peu plus grand que moi et son regard me dominait. Je baissai les yeux et je vis alors le devant de son corps et surtout son sexe tendu vers l’avant qui venait presque toucher le mien. Il avança très légèrement son bassin et son gland vint battre contre mon sexe. Un sourire narquois au coin des lèves, il m’invita à poursuivre mon boulot de séchage.

J’y pris un plaisir sans nom. Malgré l’épaisseur de la serviette, je sentais le moindre de ses muscles. Je frottais ainsi ses larges épaules, puis ses pecs fabuleux, ses abdos très durs. «Au cas où t’aurais oublié, j’ai une bite aussi!» me dit-il d’un ton goguenard. «J’y viens!» osai-je répondre. Il posa un pied sur un tronc et m’offrit son entre-cuisses. Je sentis sous la serviette la vigueur de son sexe que je branlai doucement, à son plus grand plaisir. Je soupesai ses boules lourdes et j’attaquai son scrotum. Il ferma les yeux en murmurant: «Oh la salope! Ouais mec, sèche moi bien la raie, comme ça, oui... Tu vas voir ce que tu vas te prendre tout à l’heure.» Je revins vers son sexe alors qu’il avait saisi le mien et le tenait sans bouger dans sa main. Il m’arracha la serviette des mains, me la passa autour du cou et attira mon visage contre le sien. Il s’ensuivit une série de pelles fantastiques.

C’était un vrai vicelard. Il le prouva encore en me libérant et en laissant tomber la serviette devant lui. Son sexe tendu l’arrêta malgré son poids car elle était gorgée d’eau. Il me faussa compagnie et alla jusqu’à la caravane, portant la serviette avec sa queue comme un taureau aurait porté des banderilles. Il réapparut très vite, toujours le sexe décoré de sa serviette. Il me prit par la main pour m’amener près d’une couverture à même le sol sur laquelle il jeta une poignée de préservatifs et de capsules de gel. Au moins, ses intentions étaient claires!

Il m’attira à nouveau contre lui. Je sentis sur tout le devant de mon corps la chaleur de sa toison épaisse et la dureté de son sexe contre mon ventre. Il me regarda en face puis me cracha sur les lèvres et me roula aussitôt une pelle. J’étais surexcité. Avec mes mains, je lui attrapai les pointes de seins et les tirai vers moi sans ménagement. Il réagit en poussant un grognement puis il m’appuya sur la tête pour fe faire mettre à genoux. Je ne me fis pas prier! L’instant d’après, j’avais la bouche encombrée par un salami dur et chaud qu’il fit coulisser aussitôt. Plusieurs fois, je faillis avoir un haut le cœur tellement il me l’enfonçait loin mais je pus récupérer mon souffle et continuer à pomper.

Pendant que je m’affairais sur sa tige, il mit un genou à terre, puis les deux, et me fit me coucher sur la couverture, sans que jamais je ne me dessaisisse de son membre. Couché sur le dos avec ses quatre-vingt kilos de muscles sur la poitrine, je ne pouvais que lui donner satisfaction. Il me tenait la nuque et me donnait son propre rythme. Je sentais sur mes pecs la douceur des poils de son entrejambes et je profitai de la situation pour le caresser, une mains sur ses pecs et une autre sur son deltoïde si arrondi et si gonflé par la musculation. Je fus encore plus comblé quand il me lâcha la nuque pour aller appuyer ses mains loin derrière ma tête. J’avais tout loisir de contempler alors ses cuisses puissantes tendus vers mon visage, et l’aspect musculeux de tout son torse au-dessus de moi. Il devait aimer cette position car il s’y consacra un long moment, au point que je commençai à avoir des crampes dans les joues. Pompant comme un malheureux, la salive me dégoulinant aux commissures des lèvres, plaqué au sol par ce corps athlétique je ne pouvais pas lui échapper. Enfin il pivota et j’eus droit alors à un soixante neuf mémorable. Il absorba mon sexe avec voracité et force salive et pendant quelques temps, nous ne fûmes plus qu’un enchevêtrement de bras, de jambes, de langues et de bites, le tout animé de râles et de grognements. J’abandonnai au bout de quelques minutes, n’en pouvant plus.

Il tira alors mes genoux vers lui pour dominer ma croupe et se jeta sur ma rondelle pour y donner de grands coups de langue. Ce n’était pas la première fois qu’on me prodiguait cette caresse mais là, je fondis aussitôt. Je ne savais pas ce qui était le meilleur: le contact rugueux de ses joues mal rasées entre mes fesses ou la vivacité de sa langue dure et humide. Avec mes mains, je m’accrochais à ses pointes de seins que je pinçais sans ménagement mais la bête ne semblait pas s’en soucier: il continuait son léchage comme si de rien n’était. En revanche, c’est moi qui me tordis lorsqu’il me ficha un ou deux de ses doigts, je ne sais pas, au plus intime de moi-même. Je trouvai l’intervention un peu brutale mais je finis par m’y habituer. Il s’occupa de moi ainsi un long moment puis me retourna comme une crêpe et me fit asseoir face à lui. Il attrapa un préservatif et me demanda de le lui mettre. Il se montra pressé et me traita de maladroit. Dès que je le lui eus enfilé, il me fit mettre à quatre pattes et me saisit par les hanches. Je m’attendais à une attaque sauvage et j’avais vu juste. Le salaud se lança carrément en moi avec une ardeur qui me secoua tout entier. « Putain que c’est bon! Je me doutais que tu avais un bon petit cul serré. Prends ça, salope! Je vais te bourrer comme on te l’a jamais fait.» Effectivement, la chevauchée fut furieuse; j’avais l’impression qu’il allait m’éclater le ventre. Je sentis des gouttes de sueur tomber sur mon dos. Il se penchait de temps en temps pour me mordiller la nuque, il frappait avec sa main à plat le côté de mes cuisses. Je me pris à remercier le ciel d’être au fin fond d’une forêt car l’assaut devenait de plus en plus bruyant.

Au bout d’un long moment il se calma. Je pus alors profiter pleinement de son sexe que je pouvais prendre le temps de sentir entrer et sortir de mon corps. Se faire pénétrer par une tige aussi raide, grosse et brûlante me comblait de plaisir. Je me cambrais pour mieux le sentir et mieux le prendre, ce qui m’attira ses insultes mais je n’en avais que faire, je jouissais de ce corps viril qui me faisait du bien mais que par certain côté, je manoeuvrais avec mes mouvements de reins.

Ce fut encore plus merveilleux quand il me fit mettre sur le dos. Il m’embrocha en plantant son regard dans le mien. Il essayait de voir dans mes yeux l’effet de ses coups de reins, de ses fausses sorties, de ses plongeons, de ses contractions de son sexe que je sentais au fond de moi. «Putain, t’es un sacré coup!» me dit-il, ravi. Je lui rétorquai je j’étais un bon coup parce j’avais affaire avec un sacré étalon, ce qui lui donna encore une vigueur supplémentaire. Pendant qu’il me limait, je m’accrochai à ses bras énormes, sentant sous mes doigts le modelé de ses triceps. Pour corser la position, je réussis à glisser mes jambes entre nous deux. J’étais complètement renversé, mes genoux de chaque côté de ma tête, le derrière de mes cuisses contres ses pectoraux velus, plié en deux sous le mâle qui me défonçait. Pour me faire entendre au milieu de ses grognements de plaisir, je dus lui crier que j’étais au bord de l’éjaculation et que je voulais jouir sur lui. Il tira ma nuque vers lui et se jeta en arrière. Je me retrouvai à califourchon sur lui. Je me finis à la main le temps qu’il s’arrachait la capote et je giclai sur la fourrure de sa poitrine plusieurs jets de foutre. Comme un as du timing, il lui suffit de quelques mouvements de poignet pour arriver lui aussi au bout de sa jouissance. Puissant, il l’était aussi dans sa façon d’envoyer la purée! Dans des grands cris de bête, il lâcha plusieurs jets de sperme. J’en évitais un de justesse mais les suivants m’atteignirent sur l’épaule et en plein visage. Un peu surpris par la violence de l’arrosage, je devais faire une drôle de tête car à la vue de ma mine surprise, une fois qu’il eut fini de jouir, il éclata de rire. Comme pour se faire pardonner, il m’attira vers lui et se mit à lécher son propre foutre sur mon visage, puis il me roula une pelle généreuse et très humide.

Superman remit le couvert plusieurs fois dans la soirée, jusqu’à ce que la fraîcheur de la forêt nous fasse frissonner. Je rentrai au village assez tard, après avoir dîné avec lui, et j’avoue que sur le chemin du retour, chaque irrégularité du chemin transmise par la selle me faisait autant de mal que ce qu’il m’avait fait de bien auparavant...

Par Lucas - Publié dans : Histoires
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