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Pourquoi je trouvais toujours le cul de Mat, mon nouveau collègue, sur mon chemin? Je ne débandais plus de la journée et je passais mes soirées à me branler en pensant à son cul. Dès que je sortais de mon bureau, je trouvais ses fesses sur mon passage, m'obligeant à les frôler. À la cafétéria, je cherchais à approcher d'un comptoir, son cul apparaissait entre moi et le met convoité. Il fallait que je réagisse; si je n'avais pas été sur mon lieu de travail où je ne voulais pas me griller, j'aurais depuis longtemps tiré la situation au clair et essayé de le tirer.
Un jour où je venais encore de lui frôler les fesses dans le couloir pour aller aux toilettes, je n'étais pas plutôt installé devant l'urinoir que la porte s'ouvrait: c'était lui. Je me retournais, lui présentant ma bite:
— Regarde dans quel état tu me mets. Soit tu es capable de régler mon problème, soit tu pars en courant très vite, sinon il va y avoir un viol dans cette société.
— Moi je ne demande pas mieux que de me faire violer. Viens dans la cabine, on va voir ce que je peux faire pour ce que tu appelles un problème. Moi j'appelle ça une grosse pine prête à fourrer un trou tout chaud.
Sur ces bons mots, il empoigna ma bite et mes couilles et me tira dans une des cabines.
— Enfin! Depuis le temps que je voulais les voir et là je les ai en main. Allez, on se déshabille.
— Tu ne préférerais pas faire ça ailleurs? On pourrait se retrouver en dehors du bureau.
— Oh non! C'est tellement plus fort avec le risque de se faire surprendre. Pour les plans train-train, j'ai ce qu'il me faut à la maison. Ce que je veux, c'est quelqu'un pour calmer mes envies pressantes au bureau. Mon copain ne veut pas que je ramène du travail à la maison mais tu vas voir, on va bien se trouver des occasions. Je m'en doutais: tu as des pecs superbes.
Après m'avoir déshabillé le bas, il venait de m'ouvrir la chemise, il s'était également entièrement dévêtu. Après un petit passage par mes tétons, il descendit s'occuper de ma bite. Ce qu'elle était bonne sa bouche. En même temps il malaxait mes bourses.
— Ce qu'elles doivent être pleine de bon jus.
— Oui elles ont bien besoin d'une bonne purge. Je n'ai pas la chance d'avoir un petit cul aussi chaud à la maison et au bureau, il y a un gars qui n'arrête pas de me faire monter la pression.
Il me fit asseoir sur la cuvette des toilettes et vint placer son cul au-dessus de ma bite. Prenant ses fesses à pleines mains pour se les écarter, il se laissa descendre sur ma bite.
— Oh oui! Vas-y, descends à fond. Tu la sens bien.
— Ouiii, c’est bon! J’aime ta grosse queue! Défonce mon petit cul avec ton gros piston!
Nos deux corps s'emboîtèrent et je me mis à onduler du bassin au rythme du sien. Je sentis que j'allais jouir et je lui dis entre deux gémissements. Il se releva, puis s'agenouilla pour me sucer jusqu'à ce que j'inonde sa bouche de mon foutre. Il se redressa, venant m'embrasser virilement, m'ouvrant la bouche pour me déverser mon foutre qu'il venait de récolter. Je l'attrape par la queue et de quelques vigoureux coups de poignée, je l'amène à la jouissance, arrosant la porte avec son jet de foutre.
— Tu vois, c'était bon! À plus.
Et il m'abandonna la queue en berne, après s'être essuyé la sienne dans son mini slip qu'il abandonna. Je me rajustais avant de regagner mon bureau. Au passage, je ramassais son sous-vêtement que je glissais en boule dans ma poche.
La pensée de son petit cul et de sa queue libre dans son pantalon n'était pas faite pour m'aider à me concentrer sur mon travail. Aussi quand au moment de la pause-repas, il pénétra dans mon bureau pendant que j'étais au téléphone et qu'il entreprit de me faire un striptease pendant que je continuais ma conversation téléphonique, ma queue se retrouva à l'étroit. Il abandonna ses vêtements un peu partout dans mon bureau et profita de mon impuissance à juguler ses exploits pour se glisser entre mes jambes sous ma table de travail.
Il commença par m'ouvrir la braguette et sortir ma bite sur laquelle il exerça une fellation toujours aussi experte. Comme mon entretien se prolongeait, il entreprit de me retirer mon pantalon. Pour lui faciliter la tâche, je me levais mais le salop en profita pour passer derrière, m'écartant les jambes, il m'incita à prendre appui sur le bureau et commença à me travailler le cul. Je n'étais pas trop d'accord pour le laisser jouer avec mon cul mais je n'arrivais pas à abréger la conversation et quand j'arrivais enfin à raccrocher, son gland était déjà en train de forcer ma rondelle. Je n'ai pas l'habitude de me faire pénétrer mais je dois reconnaître qu'il m'avait bien chauffé et mes gémissements de douleur se transformèrent rapidement en feulements de plaisir.
— Ouah ce qu'il est bon ton petit cul, bien serré!
— Oui ouille! Salop, tu as profité de ce que j'étais coincé au téléphone sinon je ne t'aurais pas laissé approcher de mon cul.
— J'avais bien compris que tu n'étais pas un adepte de la sodomie pour ton petit cul, tu ne te gênes pourtant pas pour aller farfouiller dans celui des copains. J'ai donc sauté sur l'occasion, ce n'est pas tous les jours que j'ai l'opportunité d'explorer un petit cul vierge.
Mon cul s’était bien dilaté et les coups secs de mon partenaire faisaient à chaque fois se dresser de plus en plus raide ma queue. Le salop s'en rendit compte et il entreprit de me branler. Tout d'un coup plus rien, il avait lâché ma bite et déculé. Je restais le cul ouvert, la bite encore raide, tout dans ma recherche de la jouissance. Je me retournais et flash, la pute! Il m'avait photographié avec son portable.
— Bienvenue, dans ma collection de salope en action. Regarde cette photo, on voit que tu en demandes. Je suis certain que tu ne te connaissais pas sous cette face. À qui dit-on merci? Allez d'accord, je te la remets.
Et sous ces bonnes paroles, il me renfila brutalement. Me prenant par les aisselles, il reprit sa saillie.
— Tu sens comme je te la rentre jusqu'à la garde, mes couilles viennent s'écraser entre tes cuisses. Tu aimes ça maintenant.
— Oh! Oh oui, c'est trop bon rentre-la moi à fond.
Mais après quelques va-et-vient, il décula de nouveau, finit de me déshabiller ne me laissant que ma cravate.
— On va changer. Mets toi à quatre pattes, je vais te prendre comme une chienne.
Je le laissais me diriger me plaçant comme il me le demandait, les fesses bien écartées, le cul cambré. Il se positionna au-dessus de moi, les jambes écartées sa bite dressée comme un pieu, il se pencha en avant, orientant sa lance vers mon trou. Il posa son gland sur mon anus. J'eus droit à une nouvelle pénétration virile et m'attrapant par la cravate, il entreprit de me chevaucher vigoureusement.
— Oh oui! Vas-y mon étalon, mon cul est à toi, défonce-moi, je suis ta pute, garnis mon trou d'amour avec ton jus.
Je ne me reconnaissais pas, le sentir me dominer physiquement m'excitait. Je me sentais vraiment son objet sexuel, prêt à tout pour avoir droit à sa saillie. Je commençais à comprendre ce qu'était une relation maître-esclave. Comment aller évoluer notre relation?